On trouve des mots qui se terminent par a, c : le tabac, l'estomac et leurs composés (bar-tabac). Mais aussi par o, c, un croc, un escroc, un accroc (dans le sens « déchirure », parce que l'accro, le passionné, ne prend pas de c), par o, u, c, le caoutchouc.
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. gu comme dans gare. je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
CT en fin de mot : le T se prononce en général \t\ : affect, compact, contact, correct, direct, district, exact, impact, infect, sélect, strict, tract, verdict… mais le T est muet dans certains mots : aspect, circonspect, distinct, instinct, prospect, succinct, suspect…
Un banc : un siège, un amas
Banc, écrit avec un c, désigne un siège, un appareil de mesure ou encore un amas.
On écrit en effet les dérivés tabagisme avec un g, caoutchouteux avec un t, franque (le féminin de franc, au sens de « peuple germanique ») avec q, u. Attention au mot donc, d, o, n, c, qu'il ne faut pas confondre avec dont, d, o, n, t ! Donc possède en effet deux prononciations : [dɔ̃k] et [dɔ̃].
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
Deux mots ont la lettre « q » à la fin et n'ont pas besoin d'un « u ». Il s'agit de coq et de cinq. Le pluriel de coq est avec un « s » : des coqs. Quant aux mots dérivés, ils reprennent un « u » lorsque le « q » n'est plus la lettre finale.
Q, ou le digraphe qu, correspondent en français à une consonne vélaire sourde ; elle a donc la même valeur que k ou c dur. En français, ce u n'est pas prononcé sauf dans les emprunts directs au latin (ex.
Il s'agit de la contraction de l'adjectif possessif mon et du nom commun sieur, qui est lui-même une contraction de seigneur. Il est donc une forme simplifiée de monseigneur. Par l'usage, il ne se prononce plus comme il s'écrit. La prononciation moderne est /mǝ.
Un dernier mot prononcé aujourd'hui avec le son [e] se disait autrefois avec [a] : hennir, le hennissement. On disait donc le cheval [ani]. Vous aurez surement remarqué que, dans tous les mots concernés, le e prononcé comme un a précède soit deux n, soit deux m, soit deux l. Et il y a une bonne raison à cela.
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux.
En effet, leurs étymologies sont différentes. Ainsi, l'origine latine de fille est figlia. Alors que celle de ville est villa. Si les deux ont perdu leur consonance latine (le "a" final), le premier a naturellement évolué vers le "ille".
Il faut un long détour par l'histoire de la langue pour démontrer, d'après les règles de l'évolution du français, que la prononciation <fa-m> est régulière, tandis que la graphie femme l'est moins. Et, qu'à l'inverse, la prononciation <flè-m> est irrégulière, alors que la graphie flemme se justifie.
Étymologie. (Adverbe) Agglutination de la locution, autrefois pléonastique au jour d'hui où hui signifiait « en ce jour », comme le latin hodie dont il provient. Intégré dans la langue française approximativement au XVI e siècle. De nos jours, hui a disparu du français et le mot a perdu son caractère pléonastique.
Il y a doublement du "m" lorsque l'adjectif que l'on veut transformer en adverbe se termine par –ant ou –ent. À son radical, on ajoute le suffixe –ment. Prenons l'adjectif bruyant, par exemple. Si on ajoute le suffixe –ment, on obtient bruyant + ment → bruyan – ment.
 â [ɑ], Ê ê [ɛ], Î î [i], Ô ô [o], Û û [y]. Avec l'e, il produit le même résultat que l'accent grave. L'accent circonflexe résulte généralement de la disparition d'une lettre, bien souvent un s (Pâques/pascal, fenêtre/défenestré, épître/épistolaire, hôpital/hospitalisation, etc. ).
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Qu'en est-il de ces dames? Si Matignon a gommé le mot «mademoiselle» des formulaires administratifs en 2012, on se souviendra toutefois que son abréviation est «Mlle». Le raccourci du mot madame est quant à lui «Mme» et «Mmes» lorsque ces dernières sont a minima deux.
On écrit toujours « M. » : l'abréviation de « monsieur » s'écrit toujours « M. » et non « Mr ». Au pluriel, l'abréviation de « des messieurs » s'écrit « MM. » et non « Mrs ». Pour rappel, « monsieur » vient de la contraction de « mon » et « seigneur ».
Une constante de la lettre v minuscule à la majuscule
De plus, la lettre V majuscule cursive ne nécessite aucune levée de la main et ne s'attache pas à la lettre qui suit lorsqu'elle est en début de mot malgré sa ressemblance formelle avec le v minuscule cursive.
Même forme et même association de forme qu'en minuscule: W = U + V. La lettre W majuscule cursive est identique à son équivalent minuscule, hors mis les proportion qui changent. Comme pour w minuscule cursive, on se rend aussi compte qu'elle est constituée de U et V jumelés.
Dans l'écriture cursive de la lettre w, on voit au moins une fois la lettre v. Même si en écriture script il est clair que w est formé par deux v, en cursive, cela saute aux yeux que c'est plutôt un u accolé à un v.