Les scellés sont une étape obligatoire afin de garantir que les cercueils n'ont pas été ouverts après le déroulement des funérailles.
Certains souhaitent un service à cercueil fermé pour honorer les souhaits de la personne défunte, quel que soit l'état de son corps. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de planifier un service funèbre, car la planification d'un service funèbre pour un être cher repose souvent sur des préférences personnelles.
Elle est destinée à rémunérer la police nationale qui surveille les opérations funéraires, notamment la fermeture du cercueil et la pose des scellés. Ce service est à distinguer des taxes d'inhumation, de crémation et de convoi.
L'expression « mise en bière » désigne l'opération qui consiste aux services des pompes funèbres de placer le corps d'un défunt dans son cercueil.
La fermeture du cercueil et la levée du corps
À savoir, dans le cas d'une crémation et/ou en l'absence de la famille, la présence d'un officier de police est obligatoire pour la pose des scellées (c'est la vacation de police).
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Qu'est-ce que l'inhumation en pleine terre ? Le fait d'inhumer un être cher en pleine terre consiste à placer le cercueil au contact direct de la terre, dans une fosse creusée dans le sol. Cela signifie qu'aucune fondation ni infrastructure telles qu'un caveau ne sont mises en place pour accueillir le cercueil.
Un cénotaphe est un monument funéraire élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes et dont la forme ou l'ornementation rappelle un tombeau, mais qui ne contient pas de corps (contrairement au mausolée).
Le porteur accompagne et transporte le défunt de la mise en bière jusqu'au cimetière ou le crématorium.
Cette planche en bois servait à porter les blessés et les morts. À l'époque, les corps des défunts étaient inhumés avec la « béra ». Puis, au fil des siècles, cette sorte de brancard a été remplacée par le cercueil. C'est à ce moment-là que le terme funéraire, « béra », a laissé place au mot « bière ».
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
En effet, la loi française interdit formellement l'inhumation de deux corps dans un même cercueil, quelles que soient les circonstances.
Il existe 4 formes de cercueil : le “parisien”, le “lyonnais”, le “tombeau” et “l'américain”. Ces formes répondent à des besoins esthétiques et correspondent à des gammes de prix différentes.
Pourquoi sceller un cercueil ? Sceller un cercueil est une étape obligatoire lors des funérailles. Les scellées permettent ainsi de garantir que les cercueils n'ont pas été ouverts après le déroulement de la cérémonie civile ou religieuse.
L'inhumation en pleine terre suppose de placer le cercueil dans un trou creusé à même le sol et dépourvu de toute fondation et infrastructure. Ce choix est tout à fait envisageable. La loi ne l'interdit pas, pourvu qu'il n'aille pas à l'encontre des directives du cimetière en termes de sécurité et d'hygiène.
Traditionnellement, les pompes funèbres attendent le jour des funérailles pour procéder à la mise en bière. Le corps du défunt est le plus souvent exposé dans un salon funéraire afin que les proches puissent venir se recueillir et saluer une dernière fois leur ami ou le membre de leur famille.
La tombe est une sépulture dont la réalisation est dite en pleine terre. Une fosse est creusée, et le cercueil, ou l'urne, y est déposé. Vous pouvez ensuite opter pour une tombe paysagée, y ajouter une stèle, ou opter pour un monument.
Description métier
Le thanatopracteur ou la thanatopractrice opère le plus souvent seul, dans une chambre funéraire ou au domicile du défunt dans 85 % des cas. Pour commencer, le thanatopracteur déshabille, nettoie et désinfecte le corps du défunt, avant d'insérer dans les artères un produit à base de formol.
Le travail du fossoyeur se déroule exclusivement sur le terrain. Il creuse les tombes chargées d'accueillir le cercueil, mais pas que ; il intervient également lorsqu'il est question d'une exhumation. Le fossoyeur est également chargé de réduire un caveau, s'il s'avère que celui-ci est plein.
Cénotaphe = tombeau vide, monument élevé à la mémoire d'un mort (du grec kenos, vide, et taphos, tombeau).
Inhumation : Synonyme d'enterrement. Il consiste à mettre en terre le défunt, nécessairement placé dans un cercueil au préalable. Elle s'oppose à la crémation. Dans certains cas inhumation et crémation sont possibles.
Lorsque des pierres étaient placées au-dessus de la tombe généralement peu profonde, ces amas de pierres sont communément appelés des cairns. Bien qu'il s'agisse d'un mot gaélique écossais, on peut trouver des cairns partout dans le monde et leur taille varie de quelques rochers à des collines artificielles.
Dans le cas d'exhumation pour déplacement, le corps subit une réduction funéraire et les restes sont placés dans un reliquaire, lui-même placé en ossuaire communal.
Traditionnellement, le cercueil est déterré à l'occasion de la naissance du premier enfant, histoire d'arroser l'événement comme il se doit.
C'est pourquoi la croix est là, aux funérailles. Mais elle est spontanément associée à l'idée de souffrance (comme dans l'expression « il faut porter sa croix »). Si, en tête du cortège, un parent porte la croix, si on la fixe à proximité du cercueil, elle n'aura pas, par elle-même, le sens pascal de l'espérance.