Lorsqu'un cheval se montre agressif, c'est généralement en réponse à une menace perçue dans son environnement immédiat ou à un stimulus désagréable provenant de l'animal lui-même, par exemple une douleur. comme la nourriture, l'eau, un abri viennent à manquer, en particulier chez les chevaux domestiques.
Pour exprimer une frustration liée à la nourriture. Lors d'un entraînement au clicker par exemple, si le timing n'est pas correct, cela peut engendrer de la frustration chez le cheval et il peut exprimer cela par la morsure.
Essayez de détourner son attention de ce qui le perturbe par des caresses sur le garrot, par des promenades en rond, par des paroles douces et une respiration profonde et régulière. Afin de calmer votre cheval, il est important de le mettre dans une situation connue.
Il développe des tics
Le "tic à l'appui" est celui lors duquel le cheval prend appui avec ses incisives sur un support quelconque (porte, ou autre), contracte son encolure et émet un bruit. C'est un stress difficile à corriger. Il peut être lié à des troubles gastriques.
L'état dépressif du cheval se caractérise par une posture physique très caractéristique : cou étiré (angle nuque-garrot-dos de 180°), fixité du regard, de la tête et des oreilles.
En cas de réaction de panique (démarrage ou écart), demandez le pas ou l'arrêt dans le calme, sans tirer sur les rênes ou la longe, et rassurez-le. À pied ou à cheval, dès que vous sentez que votre cheval a pris sur lui et qu'il a peu ou pas réagit à un élément extérieur, récompensez-le fortement.
Dans un premier temps, faites marcher votre cheval puis varier tranquillement les trois allures sans précipitations pour ne pas le brusquer ou lui demander trop d'efforts s'il est encore "froid". Le but de cette étape et de rendre votre cheval tonique, mais aussi attentif et totalement disponible dans le travail.
Lorsque le cheval se cabre brusquement et violemment, l'action du cavalier est beaucoup plus limitée. Cette situation peut même être très dangereuse. Pour tenter d'arrêter la cabrade, il est conseillé d'attirer vivement sur le côté la tête du cheval.
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
Si la tête de votre cheval est légèrement baissée (ni trop haute, ni près du sol), le dos bien droit, les muscles détendus et la queue pendante normalement… Alors sans aucun doute votre animal se sent-il frais et de bonne humeur.
Le besoin d'attention ou l'ennui : un cheval pince, mordille ou mord pour attirer l'attention humaine. Certains propriétaires aiment apprendre à leur monture à attraper leur casquette ou un objet qu'il portent sur eux. Avec le temps, le cheval peut être amené à solliciter son humain via le coup de dents.
Le mouvement vers l'avant est souvent la meilleure solution pour canaliser votre cheval. Un cheval chaud a souvent du mal à accepter les jambes, laissant le cavalier absolument hors de contrôle. Progressivement, corrigez la situation en gardant les mollets au contact. Votre cheval doit vous sentir présent et affirmé.
L'échauffement
En ligne droite ou sur de grandes courbes, ne vous focalisez pas sur la place de la tête de votre cheval. Bien que celle-ci doit être correctement orientée, et vos rênes ajustées, ce n'est qu'un réveil musculaire. L'encolure de votre cheval ne doit en aucun cas être figée.
Pour cela, fournissez-leur une aire de repos propre et sèche, et installez-leur un couchage avec de la paille afin de le rendre confortable. Les box doivent être suffisamment grands pour chacun de vos chevaux. L'environnement doit être dénué de stress, afin de favoriser le sommeil de vos animaux.
Marcher, trotter, galoper, sauter… sont les résultats de la contraction musculaire. Pour produire un mouvement efficace, il faut contracter les muscles participant au mouvement (muscles agonistes) mais aussi relâcher les muscles opposés au sens du mouvement (muscles antagonistes).
Un changement d'environnement : lors de l'achat ou d'un déménagement, tout ce qui est nouveau est source d'angoisse pour la plupart des chevaux. Le travail, les transports et les compétitions sont également sources de stress chez le cheval.
Le cheval tourne sur lui même, vous lâchez sa tête quand il s'arrête. Bien sûr ne serrez pas les jambes si vous voulez qu'il s'arrête, tenez vous plutôt à la selle si besoin. Lorsque vous êtes au galop, pour arrêter votre cheval, tirez progressivement la tête de votre cheval vers votre étrier.
Avec un cheval qui charge à l'obstacle, il faut être très rigoureux sur la rectitude pour qu'il soit en équilibre. Ainsi, il ne faut pas les laisser dévaler la courbe en étant en déséquilibre avant et après l'obstacle. Vous pouvez également réaliser cet exercice en transformant le vertical en barre au sol.
Soyez progressif, et ne lui en demandez pas trop d'un coup au risque d'obtenir une forte réaction de fuite et de renforcer sa peur. Contentez-vous de peu, et récompensez beaucoup avant de redemander. Restez rênes longues. En effet moins le cheval est tenu dans les moments de peur, plus il est rassuré.
Comment savoir si notre cheval s'ennuie ? – le tic rongeur : votre cheval passe son temps à ronger la porte de son box, sa mangeoire, ses couvertures etc… Il ne faut surtout pas vous culpabiliser, ce n'est pas de votre faute si votre cheval s'ennuie et se met à tiquer.
Il a été démontré que les chevaux souffrant de headshaking présentent une hypersensibilité trigéminale (du trijumeau) sans lésion identifiée associée. Ainsi, le cheval perçoit un stimulus, même mineur, de ce nerf, comme une douleur. La cause sous-jacente de cette hypersensibilité reste à ce jour inconnue.
Si un cheval vous tapote doucement avec sa tête, il vous sollicite, demande votre attention.