Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
La cause de cette mésentente est souvent liée au sentiment d'amour pour cet enfant, et par la peur de le voir commettre d'éventuelles erreurs. Résultat : le parent se sent obligé de dire ce qu'il pense, pour protéger son enfant, même si celui-ci est un adulte libre de prendre ses propres décisions.
Cela survient généralement vers l'âge de 2 ans et peut durer jusqu'à 5 ou 6 ans. La plupart des enfants alternent : ils ont des périodes où ils préfèrent un parent plutôt que l'autre, ensuite c'est l'autre qui devient leur parent préféré. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette situation.
Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce. Il a également été rejeté dans l'enfance et répète maintenant ce comportement avec ses enfants.
Il est peut-être trop en colère ou trop triste pour pouvoir parler. Il a peut-être besoin d'un câlin, d'une présence non jugeante, d'une personne auprès de qui il peut pleurer, de solitude, de temps pour libérer son énergie de colère avant de pouvoir réfléchir…
Respectez les limites que votre enfant adulte a fixées concernant votre relation et n'essayez pas de les repousser, fixez-en plutôt quelques-unes vous-même. Apprenez à accepter votre enfant tel qu'il est et admettez le fait qu'il soit une personne indépendante et capable de faire ses propres choix.
L' enfant adulte peut avoir des choses qui se passent avec lui qu'il ne veut pas nécessairement partager avec son parent. Leur colère ou leur manque de respect peuvent avoir des racines dans des problèmes que vous n'êtes pas en mesure d'aborder de façon significative, comme une maladie mentale ou un traumatisme.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
Quel que soit le rapport qu'entretient l'enfant avec son père, il est donc rare (même si « l'élève a dépassé le maître ») qu'aucun sentiment ne soit ressenti. Cependant, certaines personnes ont bel et bien grandi sans amour paternel et déclarent ne pas ressentir la moindre affection pour leur père.
Ils sont centrés sur ce qu'ils ressentent dans le moment présent : une frustration, un besoin d'attention ou l'exploration des réactions. Vous devez donc accompagner votre enfant pour qu'il devienne sensible aux autres. Il doit comprendre que certains mots font de la peine et peuvent nuire à ses amitiés.
Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
La réconciliation passe alors souvent par un acte volontaire. Il peut être nécessaire de faire le premier pas en commençant par nous interroger sur nous-mêmes, avant de lancer la discussion et de pardonner, peut-être, en premier. Même si cela nous coûte un peu!
Ainsi, quand nous parlons avec ces enfants déjà adultes pour comprendre les causes de cette distance et de ce besoin de couper le lien familial, nous retrouvons les raisons suivantes : Ils sont convaincus que leurs parents (ou l'un d'entre eux) n'a pas agi correctement.
Voici donc quelques pistes pour vous aider à traiter ce problème : Prêcher par l'exemple : on ne peut pas s'attendre à qu'un enfant se montre poli et content de ce qu'il a si l'on se plaint soi-même sans cesse. Il ne sert à rien de lui apprendre à dire merci si on ne le fait pas!
Rivalité père/fils : Quand faut-il s'inquiéter ? Le complexe se résout souvent par l'acceptation de la loi (interdiction de l'inceste) et la mise en place de l'instance psychique "interdictrice" (le surmoi), à l'identification au père et aussi avec le temps, de la patience et quelques recadrages.
Pour discuter avec ton père, prends rendez-vous
Ça sous-entend « ce jour-là, à cette heure-là, j'aimerais bien qu'on se parle, toi et moi ». Ça n'est pas négligeable. Ça vous permet à tous les deux de vous préparer, de savoir de quoi vous allez parler.
Le seul moyen de limiter les effets des adultes tyrans sur les autres est de le ramener à la réalité, car seule la réalité peut l'arrêter. C'est un être qui souffre, car cette recherche du plaisir à tout prix ne sera jamais satisfaite. Il sera donc incapable d'être heureux.
Il ne faut pas crier mais se faire comprendre. Il est essentiel de se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler et de capter son regard même si cela implique de lui tenir le visage. Chez les plus jeunes, il ne faut pas uniquement punir.
Évitez donc à tout prix, même si cela part d'une bonne intention, de dire à votre enfant que vous allez être triste sans lui, et que vous avez peur de le voir partir. Bien entendu, vous pouvez lui dire qu'il va vous manquer et que vous l'aimez, mais ne lui laissez pas entendre que cela va vous faire de la peine.
La personne qui souffre d'un manque de respect chronique finit par penser qu'en fait, elle ne mérite pas le respect. Son estime d'elle-même chute. Et dans un double mouvement, l'autre se met à le penser également. Lorsque la machine est enclenchée, il n'est plus possible de faire marche-arrière.