L'éthique intervient de façon positive sur toutes les dimensions du management : gestion des objectifs, aide à l'analyse/décisions, résolution des conflits, intégration du point de vue des différents acteurs, responsabilisation, réduction des coûts, culture d'entreprise...
Les membres de professions doivent posséder des qualités comme l'intégrité, la compétence, la responsabilité, le respect et la confiance, en vue de se protéger eux-mêmes ainsi que les autres1. C'est ce qu'on appelle souvent avoir une « conduite professionnelle ».
Le but de la réflexion éthique est de déterminer non pas les valeurs les plus motivantes, sur le plan subjectif, mais celles qui peuvent justifier rationnellement notre action, celles qui constituent de bonnes raisons d'agir dans un sens ou dans l'autre.
L'objectif de l'éthique, c'est le respect, la protection, la promotion de la personne humaine : non seulement des personnes concrètes, existantes, mais encore de la personne, de ce qui en constitue la nature, les éléments, la valeur, la dignité.
En affaires, l'éthique détermine la meilleure ligne d'action qui reflète ces valeurs morales. Une petite entreprise doit établir un code de conduite éthique et mettre en œuvre un programme qui favorise l'adhésion au code.
C'est la frontière franchie par Robespierre et Staline. C'est pourquoi la non malfaisance, plutôt que la bienveillance, mérite de figurer en tête des principes éthiques du travail social. Ne pas faire de mal à autrui, plutôt que la volonté de faire son bien, est au fondement de l'éthique professionnelle.
Dans une perspective éthique, une valeur représente ce qui inspire, motive et guide nos décisions et nos actions dans nos rapports avec autrui. Elle constitue la fin visée par la décision ou l'action envisagée et se traduit verbalement comme raison d'agir et comme sens de l'action (Legault, 1999).
L'éthique se fait donc une place au cœur de ce qui caractérise la bonne gouvernance. S'il fallait se résumer, l'éthique d'entreprise peut se définir comme l'ensemble des règles qui régissent les comportements de la société en tant que personne morale, et qui influent sur l'impact social et sociétal de ses activités.
La démarche privilégiée en formation à l'éthique professionnelle, l'étude de cas, permet d'intégrer les composantes pratiques de la profession, les connaissances à mobiliser pour l'exercice professionnel et le sens de la profession elle-même.
l'éthique professionnelle » dresse le tableau des questions qui se posent devant le développement des dispositifs éthiques dans notre société. Ce cadre général indique les chemins pour comprendre ce qui se joue dans notre société à travers les multiples expériences relevant de l'éthique.
L'éthique fait référence aux valeurs (intégrité, impartialité, respect, compétence et loyauté) permettant de veiller à l'intérêt public.
On est en présence d'un enjeu éthique lorsqu'une valeur ou un principe moral est mis en jeu dans une question ou une situation. Par exemple, on dira que la liberté de choix est un enjeu éthique soulevé par l'avortement; ou encore que l'avortement soulève ou comporte des enjeux éthiques.
L'éthique des travailleurs sociaux est constituée de valeurs essentielles qui forment le socle de leur identité, et dans le respect desquelles ils entendent effectuer la plupart de leurs activités.
Dans cet ordre d'esprit, l'éthique sert surtout à construire le propre point de vue de l'entreprise, sans la déconnecter de son environnement, mais au contraire en lui permettant d'y créer ses repères en relation avec les autres acteurs.
Tirée du mot grec « ethos » qui signifie « manière de vivre », l'éthique est une branche de la philosophie qui s'intéresse aux comportements humains et, plus précisément, à la conduite des individus en société.
Les valeurs professionnelles, ce sont finalement les valeurs propres à chaque individu qui, au-delà de leur vie personnelle, s'expriment dans leur travail. Car quelqu'un qui prône l'humanisme et la bienveillance dans son cercle familial et amical conserve généralement ces valeurs au travail.
En leadership éthique, les personnes se comportent selon un ensemble de principes et de valeurs que la majorité reconnaissent comme formant les pierres angulaires du bien commun. Elles englobent l'intégrité, le respect, la confiance, l'équité, la transparence et l'honnêteté.
Les principaux sont l'éthique appliquée, l'éthique normative et la méta-éthique (ou éthique fondamentale). L'éthique normative et la méta-éthique appartiennent à la philosophie et s'intéressent aux fondements de la morale. On les regroupe donc sous l'expression « philosophie morale ».
D'où il découle, en un sens plus restreint, que la morale professionnelle n'est rien d'autre que l'éthique professionnelle : c'est-à-dire l'ensemble des règles, principes et valeurs que l'on est tenu de respecter dans un champ d'activité professionnelle donné.
Ensemble de principes moraux. Synonyme : morale, moralité.
Quel est le rôle de l'éthique et la déontologie dans les relations professionnelles et Extra-professionnels ? L'éthique suggère ce qui est souhaitable et condamne ce qui ne doit pas se faire tandis que la déontologie compte sur les outils administratifs afin de garantir que la profession soit exercée en toute éthique.
L'éthique personnelle fait référence à la morale personnelle et au code de conduite d'une personne. Dès le début de la compréhension d'une personne, cette éthique est inculquée à l'individu par ses parents, sa famille et ses amis. Sans aucune éthique personnelle, la vie de l'être humain est incomplète et superficielle.
À la différence de l'éthique professionnelle, qui définit ce qu'un individu particulier estime comme moralement correct dans sa profession, la déontologie professionnelle est un code de conduite qui s'applique à tous les professionnels.