Comme la plupart des maladies psychiques, la dépression personne âgée est le résultat d'un ensemble d'interactions entre des facteurs environnementaux, psychologiques et héréditaires. Des situations et évènements de la vie remontant parfois à l'enfance peuvent aussi favoriser la survenue d'une dépression.
L'anhédonie est un signe manifeste de la dépression. Le malade se plaint également d'une fatigue, d'un manque de vigueur et d'énergie, d'apathie, de désespoir, d'une incapacité à prendre du plaisir à une quelconque activité, d'un sentiment de pessimisme et de colère contre lui-même.
Une psychothérapie et du soutien pour combattre ses maux. La prise en charge d'un état d'angoisse ou d'anxiété chez les personnes âgées peut passer par une psychothérapie de soutien, c'est-à-dire par des consultations et échanges entre la personne et un psychiatre.
L'hygiène de vie
Pratiquer une activité physique régulière favorise le maintien d'une bonne santé. Il permet de se vider l'esprit et produit des effets anxiolytiques et antidépresseurs. Avoir un sommeil réparateur d'une durée suffisante joue aussi un rôle important dans la lutte contre le stress.
Dans cette idée, le meilleur moyen d'y parvenir et, ainsi, d'améliorer la qualité de vie des aînés repose, comme toujours, sur des mesures préventives. Soit ne pas fumer, avoir une activité physique régulière, une alimentation saine et équilibrée et une implication sociale, y compris après la retraite.
Pour rassurer une personne, il est important d'avoir un comportement calme et d'apporter un soutien rapproché à la personne âgée dans n'importe quelle situation. L'aide et le soutien à domicile du senior, apportés par l'entourage et chaque aidant familial, contribuent à le rassurer et à diminuer l'anxiété et la peur.
Ils préconisent d'utiliser en première ligne la sertraline ou l'escitalopram, ou encore le bupropion (commercialisé en France uniquement pour le servage tabagique) en cas d'intolérance aux inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine.
Plusieurs autres symptômes peuvent également être présents : difficultés de concentration, sentiment de culpabilité excessive ou dévalorisation de soi, sentiment de désespoir face à l'avenir, pensées de mort ou de suicide, sommeil perturbé, changements d'appétit ou de poids, et sentiment de grande fatigue ou de manque ...
C'est souvent lié à l'éventuelle perte d'indépendance. Pour donner un exemple concret, une personne âgée qui devient dépendante et qui ne pourrait plus marcher, aurait du mal à s'exprimer, ne peut plus éventuellement partir pour prendre l'air en cas de désaccord avec un proche.
L'enfance est caractérisée par une certaine insouciance. Et aussi par le goût du risque. Ensuite, plus les années filent, plus la peur prend de l'importance. Selon des chercheurs de l'école de médecine de Yale*, la moindre prise de risque chez le sujet âgé s'expliquerait par des modifications cérébrales.
Il existe plusieurs facteurs pouvant expliquer la fréquence plus élevée de difficultés à dormir avec le vieillissement : les problèmes médicaux et émotionnels, les changements dans le style de vie associés à la retraite, la désynchronisation de l'horloge biologique.
Une maladie psychiatrique comme une dépression ou la schizophrénie (qui peut aussi être à l'origine d'hallucinations) ; Une démence (maladie d'Alzheimer…) ; Un délirium.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Bien que rien ne laisse entrevoir encore que le pronostic vital soit engagé, les personnes dont le décès est proche se replient sur elles-mêmes. Elles ressentent un manque d'intérêt pour le monde extérieur alors que nous-mêmes voudrions parler, échanger. Il est important que nous respections ce repli du monde.
Le syndrome de glissement semble partager des symptômes communs avec la dépression, comme une indifférence, une apathie, une clinophilie, un refus de la communication, un repli et un mutisme.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
Les troubles du sommeil sont fréquents chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, et ils affectent tant la personne que ses aidants.
La démence est causée par un ensemble de maladies et de traumatismes qui affectent principalement ou dans une moindre mesure le cerveau, comme la maladie d'Alzheimer ou l'accident vasculaire cérébral. La démence est l'une des causes principales de handicap et de dépendance parmi les personnes âgées dans le monde.