Il y a cependant une exception: pour faciliter la prononciation, on ajoute un «s» quand ces formes sont suivies des pronoms adverbiaux «en» et «y». On les lie alors par un trait d'union au verbe. Exemples: «Vas-y», «manges-en».
L'orthographe correcte est « vas-y » avec un « s » et un trait d'union. Ce « s » n'est présent que pour une question d'euphonie, autrement dit pour faciliter la prononciation et rendre le son plus agréable à l'oreille.
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
Faut-il mettre un "s" à "cent" ou pas ? Concernant les chiffres, la règle veut qu'ils soient invariables à l'exception de "vingt" et de "cent" qui prennent un "s" lorsqu'ils sont multipliés et qu'ils sont à la fin.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) !
Au fil des siècles, on a rajouté un -s à l'impératif de tous les verbes, même des verbes en -er, par analogie avec la 2e personne du singulier de l'indicatif présent, puisque ces formes se prononcent de la même façon et que le -s est perçu comme la marque de cette personne.
- Va te coucher! - Allons-y!
L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
La phrase impérative (dite aussi « injonctive ») se termine par un point ou un point d'exclamation. Elle sert à exprimer : un ordre : Écoute-moi !
Ainsi, cent et vingt prennent la marque du pluriel lorsqu'ils ne sont pas suivis d'un autre adjectif numéral. On écrira donc: «quatre-vingts» mais «quatre-vingt-dix». De la même manière, on notera: «Cinq cents» mais «cinq cent cinquante».
va-de-l'avant — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Je vous présente ici quelques situations sources de difficultés orthographiques. Tu vas à l'école. Va à l'école. A l'impératif, "va" ne prend jamais de 's', sauf quand il est suivi de '-y'.
L'essentiel. La seule orthographe possible est « ça va ». « Ça » est un pronom démonstratif. « Sa » est un adjectif possessif qui n'a rien à voir avec « ça ».
Vas-y est composé de deux mots : le verbe aller à l'impératif et le pronom y . Cette courte expression, qui exprime l'ordre d'aller quelque part ou le signal pour démarrer une action, s'écrit avec un s au mot vas et avec un trait d'union entre les deux mots.
Forme impérative de y aller conjuguée à la deuxième personne du singulier.
J'y vais exprime l'idée que celui qui parle va quelque part. Y réprésente le lieu de destination. Ex. : Tu vas à l'école ? - Oui, j'y vais.
C'est le cas avec les pronoms « moi » et « toi », qui s'élident devant les pronoms « en » et « y ». Les voyelles de ces pronoms sont remplacées par une apostrophe : « Donne-m'en » et non « donne-moi s'en », avec un « s » ou un « z » qui sortirait d'on ne sait où.
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. L'impératif passé permet d'introduire une notion d'antériorité avant une autre action.
Niveau A1 : La construction de l'impératif
À la forme affirmative, la conjugaison est similaire à la conjugaison des verbes du présent de l'indicatif : Prendre → Prends ! / Prenons → Prenez ! Finir → Finis ! / Finissons → Finissez ! Faire → Fais ! / Faisons → Faites !
On lie le tout par un trait d'union. On écrit donc « profite bien » et « profites-en bien ». Attention – cas particulier du cas particulier, c'est le comble ! – si les pronoms « en » ou « y » dépendent d'un infinitif et non directement du verbe à l'impératif, il n'y a ni « s » ni trait d'union.
Pour former l'impératif présent des verbes pronominaux, on fait suivre le verbe du pronom tonique relié par un trait d'union : tais-toi, arrêtons-nous, souvenez-vous. Cependant, à la forme négative, on utilise le pronom atone avant le verbe : ne te tais pas.
Les homophones quand et quant. La conjonction quand, qui signifie « lorsque », s'écrit avec un d à la finale; la forme quant, que l'on ne trouve que dans la préposition composée quant à, au sens de « en ce qui concerne », et dans le nom quant‑à‑soi, s'écrit avec un t à la finale.
Oui, on en met un, on écrit tu vas bien . Quelques exemples : tu vas bien ? , est-ce que tu vas bien ? , j'espère que tu vas bien . Tu vas , c'est le verbe aller conjugué au présent, avec le sujet tu .