Les grands calvaires, appelés communément calvaires monumentaux, sont des œuvres que l'on rencontre seulement en Bretagne. Construits entre les années 1450 et 1610, ils sont les témoins de la prospérité d'un territoire alliée à la ferveur religieuse de la population.
Le calvaire rappelle alors divers évènements : une fête pour la paroisse, un temps de prière (Fête Dieu), un lieu de rassemblement pour fêter les vendanges ou la récolte du blé. Ils jouent aussi le rôle de poteau indicateur, signalant depuis un endroit plat, l'approche d'un carrefour.
En bordure des chemins et principalement aux croisements, se trouvent des croix de direction. Très répandues au Moyen Âge pour christianiser les lieux, elles guident et protègent le voyageur sur les chemins de pèlerinage.
Souffrance morale, épreuve : La maladie de son mari a été pour elle un calvaire.
Dans ce cas, le calvaire est réputé appartenir à la commune sur le territoire de laquelle il est implanté [1]. Si la commune renonce à son droit, la propriété du calvaire revient à l'Etat. [1] Article 713 du code civil ; article L. 1123-1 du code général de la propriété des personnes publiques.
Les grands calvaires, appelés communément calvaires monumentaux, sont des œuvres que l'on rencontre seulement en Bretagne. Construits entre les années 1450 et 1610, ils sont les témoins de la prospérité d'un territoire alliée à la ferveur religieuse de la population.
Une croix : simple symbole ; Un crucifix : une croix avec une statue de Jésus cloué ; Un calvaire : une croix ou un crucifix et les deux croix des Larrons ; La 14e et dernière station (elles étaient 15 avant le XVII e siècle, mais le tombeau, vide, en est exclu) d'un chemin de croix, la Passion du Christ.
Les communautés les ont disposés aux carrefours pour guider les voyageurs, les protéger sur les routes dangereuses du moyen âge (mauvais temps, accidents, brigands…) et manifester leur foi. Certaines familles ont également fait dresser ces monuments qui portent parfois le nom de la famille, voire son blason.
Elles sont dues à la volonté publique des communautés ou celle privée des familles. Les premières agrémentent les bourgs et les hameaux et symbolisent l'acte de foi de la communauté. On les rencontre souvent aux carrefours, elles guident le voyageur et le protègent de l'inconnu et des mauvaises rencontres.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
On place aux carrefours des obélisques, des pierres, des pyramides, des statues et, à l'époque contemporaine, des croix faisant office de protection des voyageurs de l'inconnu et des mauvaises rencontres, et des habitants contre les intempéries, les maladies, les étrangers.
Un calvaire, c'est le nom de ces croix qui jalonnent un chemin.
L'hermine héraldique, la queue d'hermine stylisée, devient l'emblème de la Bretagne, comme la fleur de Lys symbolise le Royaume de France.
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s'affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne. Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d'un semis d'hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne.
Les cinq bandes noires représentent les cinq provinces de la Haute-Bretagne (Dol, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Nantais et Rennais) et les quatre bandes blanches représentent les quatre provinces de la Basse-Bretagne (Cornouaille, Léon, Trégor et Vannetais).
Le Triskel est un symbole solaire qui est lié à plusieurs interprétations, la plus populaire est un lien avec les éléments naturels : l'eau, la terre et le feu. Dans d'autres croyances, le Triskel est lié au ciel plutôt qu'au feu.
Signification : Situation particulièrement longue et difficile. Origine : Expression française qui puise ses origines dans la bible où le calvaire est défini comme étant un lieu où s'effectuait les exécutions capitales et où Jésus a été crucifié.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Il existe quantité de gens qui sont en enfer parce qu'ils dépendent du jugement d'autrui ». Si on résume et simplifie, l'enfer c'est les autres parce qu'ils sont des miroirs déformants de nous-mêmes. Déformants car nous avons de mauvais rapports entre nous. Dans la pièce, Estelle vit comme un drame l'absence de miroir.
Le premier, nâr, signifie « feu » tandis que le second, Jahannam (arabe : جهنم / ǧahánnam ; turc : cehennem ; bosnien : džehennem), provient de l'hébreu Ge Ben-Hinnôm et désigne la « vallée des enfants de Hinnôm », terme lié à l'immolation d'enfants dans le cadre du culte de Baâl.
Foyer de chaleur. Synonyme : feu, fournaise, incendie.
Sentier rectiligne ouvert en forêt pour séparer les parcelles ou les coupes et pour permettre la circulation.
Personne gaie, insouciante : Un joyeux luron. 2. Familier et vieux.
Locution-phrase
(Figuré) (Plus courant) Une circonstance favorable fait souvent faire quelque chose à quoi on n'aurait peut-être pas pensé autrement.