Puis-je dormir sur mon lieu de travail ? Aucun texte officiel ne régulant le sommeil au travail, vous avez « a priori » le droit de dormir sur votre lieu de travail. Néanmoins, cela peut être très mal vu de piquer du nez en pleine journée. Votre employeur peut vous le reprocher, par avertissement ou faute grave.
Non, en principe, vous n'avez pas le droit de dormir pendant les heures effectives de travail.
La sieste réparatrice dure en moyenne de 30 à 60 minutes. Comme son nom l'indique, elle permet de récupérer de la fatigue accumulée. Elle est souvent pratiquée en milieu d'après-midi. Cette sieste est particulièrement bénéfique pour les travailleurs dont les tâches exigent une concentration mentale soutenue.
se concentrer sur sa respiration, qui doit être d'une grande amplitude, calme et profonde ; bien relâcher tous ses muscles. Décontracter discrètement les muscles du cou, de la mâchoire, du dos, des bras, des jambes et de toutes les parties de votre corps ; ralentir le rythme de ses pensées.
Pour la plupart d'entre nous, la durée idéale de la sieste est de 10 à 20 minutes, de préférence entre 12 h et 15 h. Si possible, buvez une boisson contenant de la caféine tout de suite avant. Faire la sieste peut s'avérer un complément sain à une saine hygiène du sommeil. Mais ne dormez que si vous en avez besoin.
Il suffit, à son bureau, de fermer les yeux, de poser ses coudes sur la table, de laisser reposer son front sur ses mains pour relâcher le cou et le dos, le tout le temps d'une grande respiration", détaille Bruno Comby. "C'est une technique basée sur la respiration inspirée du yoga.
Vous avez sûrement déjà ressenti ce coup de barre au travail. Il est 15h00 et vos paupières sont lourdes ? Pas d'inquiétude, il est tout à fait normal de sentir cette sensation d'endormissement après un repas. En effet, le taux de mélatonine, l'hormone du sommeil, est plus élevé en début d'après-midi.
Sieste courte (20-30 minutes) : En s'étendant un peu plus, cette sieste renforce non seulement la vigilance, mais aussi la mémoire à court terme, favorisant ainsi la créativité et la mémorisation. Sieste longue (60 minutes et plus) : Cette sieste, plus complète, permet d'entrer dans les phases de sommeil profond.
La sieste standard, aussi appelée sieste « énergisante » ou sieste « parking », car elle peut être réalisée dans sa voiture, sur un parking. Elle dure 20 à 30 minutes, vous relaxe et vous rend plus productif pour le reste de la journée. La sieste longue. Elle dure un cycle de sommeil complet, soit une heure et demie.
“Accordez-vous de petites pauses pour respirer et retrouver votre concentration. Pensez à faire une courte balade ou un exercice de pleine conscience pour vous ancrer”, conseille encore Eva. Il est prouvé que le mouvement stimule la vivacité du cerveau, et que prendre l'air est bénéfique pour se sentir plus éveillé·e.
Lorsque l'on est amené(e) à travailler de nuit, il est important de s'exposer à des lumières vives avec quelques temps de pause. Les espaces lumineux vous permettront de ne pas trop forcer sur vos yeux et donc de limiter la fatigue que peut occasionner l'obscurité.
Les obligations de l'employeur
En cas de réalisation de travail de nuit au sein de son entreprise, l'employeur devra prendre en considération 2 aspects : En raison de son obligation de sécurité envers ses salariés, il devra impérativement prendre en compte la protection de la santé et de la sécurité de ses employés.
L'employeur n'est donc pas obligé de majorer les heures de nuit. Cependant, à l'exception de certains secteurs d'activité comme l'hôtellerie ou la restauration par exemple, les conventions collectives ou accords collectifs prévoient une compensation salariale pour les salariés effectuant un travail de nuit.
Les experts recommandent de maintenir la même routine de sommeil même la fin de semaine, mais c'est difficilement compatible avec la vie familiale. Pour les travailleurs de nuit (minuit à 8 h), on peut faire un compromis en essayant de se coucher vers 3 h du matin pour se lever vers midi les jours de congé.
Si les siestes courtes (15 à 30 minutes) sont excellentes pour augmenter l'énergie, les siestes plus longues sont plus réparatrices et bénéfiques, notamment pour la mémoire.
Il a en effet été prouvé que la sieste améliore les fonctions cognitives. Une meilleure énergie : la sieste permet au corps de s'offrir une pause bien méritée et propose en cela l'opportunité de profiter d'un véritable regain d'énergie.
L'asthénie liée à la prise de substances toxiques ou de médicaments. Une fatigue peut aussi être engendrée par : des médicaments : psychotropes , sédatifs , antidépresseurs, diurétiques , antalgiques, antihistaminiques , interféron , certains médicaments antihypertenseurs, etc.
La fatigue physique survient souvent lors d'une activité prolongée (p. ex. : travail à haute intensité, longues heures de travail, postures inadéquates). Un effort dynamique du muscle (impulsion) ou un effort statique (contraction maintenue) peuvent engendrer de la fatigue physique.
Manque de sommeil prolongé : Une mauvaise qualité de sommeil ou une insomnie chronique peut entraîner une fatigue persistante. Surmenage : Un excès de travail, une charge mentale ou émotionnelle excessive et un manque de repos adéquat peuvent contribuer à l'asthénie.
Lecture, nature et solitude : les clés du repos
Écouter de la musique et ne rien faire en particulier se classent également dans le top 5 des activités-clés de la détente. Peu importe les moyens pour mettre corps et cerveau en mode off, le principal est de le faire régulièrement, afin d'optimiser son capital bien-être.
Rester actif (loisir) même en période de repos
Il faut donc penser à créer des brèches de créativité, ruser et maintenir son cerveau dans une activité simple, récréative, qui sollicitera autrement votre tête, comme faire une activité physique ou écouter de la musique.