Peut-on se connaitre sois même ? Introduction La connaissance de nos émotions, nos particularités, nos goûts, nos choix, nos désirs est ce qui fait de nous un être humain si spécifique. La connaissance de soi est le savoir que l'on acquiert sur nous même au cours de notre vie et grâce a nos expériences.
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
C'est dire que, même si une pleine et entière connaissance de soi est impossible, nous avons beaucoup à gagner à nous en approcher. Il est indispensable de connaître ses limites pour les dépasser, d'accéder à ses désirs pour les réaliser, être plus libre.
Puis-je me connaître moi même ? La connaissance de soi même ne semble pas problématique, en effet si il y a bien une chose que je pense véritablement connaître c'est bien moi même : J'ai conscience de moi et de mes actes et je connais mes goûts, mes émotions.
Se connaître soi-même, c'est bien davantage se reconnaître dans ses propres choix, dans la manière de les assumer en étant capable, par exemple, de tenir ses promesses. La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous.
La connaissance de soi est indispensable pour avoir plus confiance en soi ! Se connaître en sachant ce qui nous convient ou pas et pourquoi permet d'avoir une meilleure confiance en soi. On peut plus facilement se respecter et donc se faire respecter par les autres ce qui augmente aussi notre confiance en nous.
La connaissance de soi
Nous agirons de manière rationnelle, et la qualité de nos relations sera meilleure. Le fait de connaître notre manière de fonctionner, de penser et de réagir permettra de mieux appréhender les situations et les réactions de l'autre.
La connaissance de soi nous permet de prendre conscience de nos besoins, nos valeurs, nos aptitudes particulières, nos limites, de ce qui nous inspire, nous fait vibrer, ce qui nous rend heureux(se) ou pas,...
« Puis-je savoir qui je suis ? » La conscience est propre à l'homme ; c'est le savoir immédiat, ou réfléchi, non seulement de ce qui se passe autour de nous, mais aussi de ce qui se passe en nous. En ce sens, elle fait de l'homme un sujet capable de dire « Je ».
Il est très difficile de se connaître soi-même, d'une part parce qu'une partie de nous-mêmes est inaccessible (cf. Freud, "le moi n'est pas maître de sa propre maison"). D'autre part, parce qu'un sujet ne peut devenir objet pour lui-même. En ce sens, la connaissance d'autrui est plus aisée.
La connaissance de soi favorise l'acceptation de soi.
Elle aide à se libérer de ses automatismes, se dégager des contraintes de son image, s'ouvrir aux relations authentiques, savoir recevoir avec gratitude. Voilà l'intérêt d'apprendre à se connaître.
Soyez honnête avec vous-même sans être critique à l'excès. Cela veut dire que vous ne devez pas vous dire : « je suis laid » ou encore « je suis stupide ». N'oubliez surtout jamais que personne d'autre que vous ne peut vous définir. Vous serez toujours le seul qui puisse décider de qui vous êtes réellement.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
Pour se connaître soi-même et se construire, il nous faut donc avant tout prendre conscience de notre existence, et la comprendre. Trouver à travers les autres qui nous sommes, en interagissent avec eux, pour savoir qui l'on est vraiment.
La question «qui suis-je?» englobe toutes les dimensions de l'existence, qu'elles soient temporelles ou spirituelles, y compris la quête de qui nous pourrions ou devrions être.
Plus loin, le sociologue David Le Breton soutient que le savoir fournit des outils conceptuels et théoriques afin de comprendre et interpréter notre société : « le savoir est une clé pour projeter du sens sur le monde et en ouvrir les innombrables portes, parcourir ses dimensions différentes » (p. 198).
Le plus connu est le Test MBTI (myers Briggs Type Indicator). Ce test permet de déterminer le type psychologique d'une personne. C'est assez bluffant comme test. Il est très simple et nécessite 15 minutes environ.
Donc si la conscience de soi se définit comme une présence à soi médiatisée par la compréhension de l'objet, elle est une connaissance. Le sujet prend conscience qu'il est et se donne à lui-même une représentation de ses actions. Il apprend au fur et à mesure à se connaître et à se comprendre.
Dans une société toujours tournée vers l'avenir et les progrès technologiques, s'arrêter sur le passé pourrait sembler être une perte de temps. Ce qui est passé est passé nous dit le dicton et l'on n'y peut plus rien.
Vouloir se connaître c'est donner un sens à sa vie. Dès lors « se connaître » se présente davantage comme un idéal que comme une réalité. Le sujet ne se laissant pas objectiver, la connaissance de soi ne peut être du même ordre qu'une connaissance scientifique, expliquant un objet extérieur, ou distinct du scientifique ...
- En conséquence le « soi-même » dont il est question ici est à distinguer de moi-même. Si l'homme doit chercher à se connaître soi-même c'est parce que l'humanité en nous, ce qu'il y a d'universel dans notre condition, le sens de l'existence, n'est ni donné immédiatement, ni définitivement découvert.
Nul ne se connaît mieux que soi-même.
En effet, qui d'autre que moi peut savoir, mieux que moi, ce que je pense et ce que je ressens ? Je suis le mieux placé pour avoir accès à moi-même ; je peux en outre toujours dissimuler mes pensées et mes sentiments, ne serait-ce que pour préserver mon indépendance.