Une femme mariée peut-elle garder son nom de famille ("nom de jeune fille") ? Oui, en se mariant, une femme conserve son nom de famille. Elle n'a aucune démarche à faire.
Oui, en se mariant, une femme conserve son nom de famille : Nom qui figure sur l'acte de naissance (appelé aussi nom de naissance ou nom patronymique). Elle n'a aucune démarche à faire. Toutefois, le mariage permet à chaque époux d'utiliser le nom de l'autre époux ou un double-nom : il s'agit d'un nom d'usage.
Pour une première utilisation. Pour une première utilisation du nom d'usage, il faut fournir : soit l'acte de naissance (extrait ou copie intégrale) de moins de 3 mois mentionnant le mariage, soit une copie intégrale de l'acte de mariage de moins de 3 mois.
À la suite d'un divorce, vous perdez l'usage du nom de votre mari ou de votre femme. Toutefois, vous pouvez en conserver l'usage soit avec l'accord de votre ex-époux ou ex-épouse, soit avec l'accord du juge.
Ainsi, l'adoption du nom d'usage après le mariage est un acte chargé de significations. C'est une manifestation de l'union, un symbole tangible de l'amour et de l'engagement pris devant les proches et la société. Cependant, il est crucial de comprendre que cette démarche ne modifie pas le nom de famille officiel.
- Le numéro de sécurité sociale de l'assuré ; - Ses nom et prénom (nom de famille ou, si la personne en fait la demande, le nom d'usage).
Où s'adresser ? L'officier de l'état civil donne à l'enfant un double nom, composé des 2 noms des parents accolés par ordre alphabétique. Si un parent a lui même un double nom, l'officier ne retient que le 1er pour composer le nom de l'enfant. Le nom donné à cet enfant s'impose aux enfants suivants du couple.
Désormais, avec cette loi, la possibilité de porter le nom de son conjoint est inscrite dans le Code civil avec l'article 225-1 qui dispose que « chacun des époux peut porter, à titre d'usage, le nom de l'autre époux, par substitution ou adjonction à son propre nom dans l'ordre qu'il choisit ».
Si vous êtes marié(e), vous pouvez utiliser le nom de votre époux(se) ou uniquement votre propre nom de famille. Il s'agit d'un choix personnel qui ne peut pas vous être imposé.
C'est la mariée qui signe le registre en premier de son nom de jeune fille. En effet, porter le nom de son mari n'est pas automatique. Tant que vous n'en ferez pas la demande vous porterez toujours votre nom de jeune fille aux yeux de l'administration. Vient ensuite la signature du marié puis celles des témoins.
Dans de nombreuses cultures, prendre le nom de son mari est souvent considéré comme un geste de respect envers sa famille, ce qui peut renforcer la conformité à cette pratique.
Si l'époux refuse que son conjoint continue de porter son nom à titre de nom d'usage, ce dernier peut tout de même passer outre ce refus s'il obtient l'autorisation du juge aux affaires familiales. Pour obtenir cette autorisation, il faut justifier d'un intérêt particulier, pour soi-même ou pour les enfants.
Vous pouvez utiliser comme nom d'usage le nom de votre époux(se) ou le nom du parent qui ne vous a pas transmis son nom à la naissance. Le nom marital est un nom d'usage. C'est le nom de votre époux(se).
L'épouse qui demande l'autorisation d'utiliser le nom marital doit en principe justifier un « intérêt particulier pour elle ou pour ses enfants » (article 264 du Code civil). Justifier cet intérêt n'est pas obligatoire dans un divorce à l'amiable : seul l'accord du conjoint suffit.
Idéaliser le changement de nom
Lorsqu'une femme se marie, elle prend généralement le nom de son époux, afin de privilégier l'unité familiale, de perpétuer la tradition et de prêter serment. C'est un très beau geste que je ne me permettrai certainement pas de critiquer: chaque femme est libre de ses choix.
Le nom d'usage, pour l'enfant, permet de lui adjoindre, en plus de son nom de naissance, le nom du deuxième parent.
Vous devrez informer de votre choix la Sécurité Sociale (CPAM), votre mutuelle, votre Caisse d'Allocations Familiales, le Bureau du Service National mais aussi votre employeur, banque et assurances. Si vous décidez de changer de nom, vous devrez également actualiser votre carte d'identité et votre passeport.
Lorsque vous réservez un billet, saisissez toujours votre premier prénom et votre premier nom de famille, tels qu'ils apparaissent sur votre passeport ou carte d'identité. Il n'est pas rare que les voyageurs indiquent leur surnom, tandis que celui-ci n'est mentionné nulle part sur leur passeport.
Nous devons obligatoirement réserver les billets d'avion avec le nom qui est inscrit sur le passeport. Si vous l'avez fait refaire après votre mariage il est inscrit madame Y épouse X, vous êtes alors libre d'utiliser les 2 noms.
1) Votre époux vous autorise à garder son nom. Il est rare mais possible que votre époux ou épouse vous le propose de lui-même. Si ce n'est pas le cas, avant le prononcé du divorce, vous devez lui demander son accord. Cette demande n'a pas à être motivée.
L'enfant pourrait décider à sa majorité quel nom il souhaite
À sa majorité, l'enfant déciderait ensuite de garder les deux ou d'en choisir un. "Cela peut soulager des enfants qui ont été abandonnés par l'un de leurs parents et qui ne souhaitent garder le nom de famille que de celui qui a été présent.
Le remariage annule le droit à la pension de réversion. L'époux survivant doit avoir au moins 50 ans lorsqu'il fait la demande mais cette condition disparaît s'il a au moins 2 enfants à charge. Le calcul est simple : le montant de la pension de réversion correspond à 50 % de la pension qu'aurait perçue le défunt.
Il vous suffit, si vous êtes majeur, d'en faire la demande auprès de votre mairie ou celle de votre lieu de naissance, en remplissant un formulaire prévu à cet effet. Un délai de réflexion d'un mois vous sera donné, car ce changement ne peut être effectué qu'une seule fois au cours d'une vie.
Le changement de votre nom impacte le nom de vos enfants, mineurs ou majeurs, qui portent votre nom, en totalité ou en partie. Si votre enfant a moins de 13 ans, informez son autre parent des conséquences de votre changement de nom sur celui de votre enfant commun.
En cas d'adoption simple, l'enfant peut substituer le nom de son beau-père à celui de son père, soit porter les deux noms, soit garder son seul nom d'origine. S'il a plus de 13 ans, l'enfant doit donner son consentement.