Si vous avez le rire ou le sourire facile, c'est peut-être lié à votre ADN. Une étude scientifique menée par des chercheuses américaines et suisses a analysé les ADN des personnes sujettes à des réactions positives spontanées. Les résultats mettent bien en avant une cause génétique probable.
Il peut être considéré comme la résultante de deux phénomènes : d'une part, des actes moteurs complexes, d'autre part, un sentiment d'humeur positive et euphorique. Quand on rit, les muscles du visage impriment la physionomie de l'hilarité, et certains muscles respiratoires produisent des secousses caractéristiques.
- Au niveau neuro-hormonal : le rire augmente la synthèse des hormones de la série des endorphines qui ont une action anti douleur, diminuent l'anxiété et régularisent l'humeur. Le rire entraîne en particulier une augmentation de la synthèse de la sérotonine, neuromédiateur qui est diminué dans la dépression.
Contribue à réduire le stress et l'anxiété. Renforce le système immunitaire. Facilite le sommeil, améliore la mémoire et les capacités intellectuelles. Permet de lutter contre la fatigue.
Rire permet de positiver et sécrète l'hormone du bonheur : l'endorphine. Vous ressentez une sensation de plaisir et de relaxation qui vous met de bonne humeur. Un bon fou rire est plutôt épuisant, mais on se sent bien après, notre joie de vivre est reboostée. Après un fou rire, vous serez également plus optimiste.
“Dans notre recherche, nous avons constaté que lorsque vous pratiquez avec force le sourire, cela stimule l'amygdale, le centre émotionnel du cerveau, qui libère des neurotransmetteurs pour encourager un état émotionnellement positif”, décrit le chercheur.
Les bienfaits du rire sur la santé sont reconnus depuis l'Antiquité. De nombreuses études scientifiques montrent que le rire diminue le stress et les tensions, et plus généralement améliore le bien-être et la santé morale. En effet, lorsque vous riez, c'est un véritable massage qui s'effectue sur votre organisme !
Une étude norvégienne de grande ampleur portant sur 53 000 participants a révélé que rire et avoir le sens de l'humour pourraient allonger la durée de vie. Dans le détail, les chiffres sont impressionnants. L'étude évoque une durée de vie allongée de près de 20 %, soit un gain de sept années.
Le rire sollicite aussi près de 130 muscles, dont les abdominaux et les muscles respiratoires. Avoir un fou rire c'est aussi faire du sport ! Les contractions musculaires engendrées procurent un effet de détente qui peut être comparé à celui qu'un exercice physique d'intensité modérée.
Seul bémol, le rire fatigue les zygomatiques, ces muscles du visage qui vont des pommettes aux commissures des lèvres, et certains muscles à l'arrière du cou qui donnent des crampes, signe qu'ils ne travaillent pas assez !
Si chacun réagit différemment face à une crise, nous avons le pouvoir de stimuler notre bonne humeur grâce à l'humour. Il est prouvé que le rire augmente l'estime de soi, la résilience et le bien-être tout en diminuant les pensées négatives, la dépression et l'anxiété.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
On peut mourir de rire
L'expression mourir de rire peut aussi se révéler dramatiquement exacte puisque la littérature médicale rapporte des cas de fous rires ayant entrainé la mort par arrêt cardiaque. Se tordre de rire est tout aussi préjudiciable puisque dans ce cas, c'est l'œsophage qui trinque et se tord.
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
Le rire pathologique s'observe notamment en cas de sclérose en plaques, de paralysie pseudobulbaire (par atteinte du bulbe rachidien qui relie le cerveau et la moelle épinière), de tumeur, de sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot, affection dégénérative de la moelle épinière).
Le muscle risorius est, lui, le muscle du sourire ; il est propre à l'homme et c'est son action, séparée de celle du grand zygomatique, qui crée ces fossettes si charmantes chez certaines personnes.
Elles contiennent des hormones et des endorphines en réponse au stress, qui aident à réguler les émotions. C'est pourquoi les gens disent qu'ils se sentent soulagés après avoir pleuré. De même, le rire diminue les hormones du stress et déclenche la libération d'endorphines, ce qui crée également un effet de bien-être.
sombre. qui n'est pas clair, en parlant d'une affaire, d'une proposition...
Un égoïste ne sourit jamais :
Résultat : les sondés les moins altruistes et généreux sourient moins souvent et contractent moins, voire pas du tout, leurs muscles orbiculaires. Et curieusement, ils ont tendance à sourire d'un seul côté de la bouche (le droit) !
Le sourire est un lien social essentiel chez l'homme. Sourire au quotidien offre des bienfaits insoupçonnés tant sur le plan physique que psychique. Entre autres, il a la capacité d'apaiser une personne confrontée à une situation stressante ou de favoriser une baisse des émotions négatives.
En 1989, Ole Bentzen, un audiologiste danois, est mort de rire en regardant Un poisson nommé Wanda. Son rythme cardiaque serait monté à une fréquence de 250 à 500 battement par minute avant de subir un arrêt cardiaque.
Produite par les testicules et les glandes surrénales de l'homme, la testostérone est considérée comme l'hormone mâle par excellence. Pourtant, elle est aussi l'hormone clé du désir…
Plus attentif à la nouveauté Celle-ci ne procure pas seulement du bien-être, elle va littéralement changer votre perception du monde. Car, une fois libérée, la dopamine se propage dans le cortex préfrontal, la partie du cerveau chargée des processus cognitifs.