Les économistes anglophones situent plutôt la « première » mondialisation moderne (globalization) entre les années 1880 et 1914 en raison de l'adhésion de nombreux dirigeants politiques à la thèse du libre-échange d'Adam Smith.
Une mondialisation centrée sur l'Atlantique culmine au XIXe siècle : entre 1870 et 1914 naît un espace mondial des échanges comparable dans son ampleur à la séquence actuelle.
Nées au lendemain de la découverte de l'Amérique dans l'essor du commerce transatlantique, la mondialisation s'accélère au cours du XIX° siècle et connaît une première phase d'apogée entre 1880 et 1914 sous l'impulsion des grandes puissances européennes dont le rayonnement devient planétaire.
Née au lendemain de la découverte de l'Amérique dans l'essor du commerce transatlantique, la mondialisation s'accélère au cours du XIXe siècle et connaît une première phase d'apogée entre 1880 et 1914 sous l'impulsion des grandes puissances européennes dont le rayonnement devient planétaire.
La mondialisation
Le développement des échanges s'est accompagné d'une libéralisation des marchés (c'est-à-dire un abaissement des barrières à l'échange, comme les barrières douanières) ainsi que d'une accélération des échanges de tous types. La nature même des produits échangés a évolué.
Les étapes de la mondialisation : internationalisation, transnationalisation, globalisation. douane -dans le cadre du GATT puis de l'OMC- et la formation d'associations économiques régionales (UE, ALENA,..) Tous droits de l'auteur des œuvres réservés.
Certains historiens ou économistes, à l'image de Suzanne Berger, qualifient de « première mondialisation » la période d'expansion du commerce et d'intensification des échanges de capitaux qui se manifeste entre le milieu du XIX e siècle et le début de la Première Guerre mondiale.
Sur les marchés de capitaux, la première mondialisation a vu l'intégration croissante des marchés financiers des pays avancés. Cette intégration financière a été favorisée par la stabilité des changes qu'autorisait le système de l'étalon or.
La mondialisation favorise un développement à deux vitesses au bénéfice des pays les plus compétitifs et, en raison de ses effets négatifs sur les dépenses publiques, de santé et d'éducation notamment, elle affecte surtout les femmes qui, plus que les hommes, ont besoin des programmes sociaux.
La mondialisation représente ainsi un frein au développement de certains pays. De ce fait, le principal enjeu de la mondialisation est de savoir s'il faut ou non laisser se creuser un tel fossé et laisser le marché seul maître de la répartition des flux commerciaux.
Les principaux avantages de la mondialisation pour les consommateurs sont une baisse des prix et une augmentation des choix. Les principaux inconvénients de la mondialisation pour les consommateurs sont la suppression des emplois liés à la mondialisation et les inégalités de salaire.
Dans ce cadre limité, la mondialisation que l'on représente volontiers comme un fleuve, se heurte à de nombreux obstacles : enclavement, frontières plus ou moins perméables, diversité des langues, analphabétisme, guerres etc.
David Ricardo, économiste anglais du 18e siècle, est considéré comme le “père du libéralisme”, comme celui qui a théorisé la mondialisation. L'économiste anglais, connu surtout pour sa théorie des avantages comparatifs, a posé avec Adam Smith les bases de la science économique moderne.
Les principaux d'entre eux sont les firmes multinationales, les États, les organisations non gouvernementales (ONG), les réseaux marchands informels et les mafieux.
Qu'est-ce que la mondialisation? La «mondialisation» est un processus historique qui est le fruit de l'innovation humaine et du progrès technique. Elle évoque l'intégration croissante des économies dans le monde entier, au moyen surtout des courants d'échanges et des flux financiers.
Ces « grandes découvertes » marquent le point de départ d'un processus de mondialisation en développant fortement les échanges entre continents : le « commerce triangulaire » entre l'Europe, l'Afrique et les Amériques, les échanges entre l'Europe et l'Asie grâce aux métaux précieux récupérés dans les colonies du « ...
La France est la 5e puissance économique du monde. Elle représente 5 % du PIB mondial et c'est la deuxième puissance économique européenne derrière l'Allemagne. La France participe au commerce mondial avec 4 % des échanges mondiaux. Les services sont l'atout majeur de ses exportations.
Pour un état des techniques donné, l'augmentation de la production s'accompagne d'un accroissement des émissions de polluants et des prélèvements sur le milieu naturel, ce qui est défavorable à l'environnement.
Quatre principaux types d'acteurs à la fois sont transformés par la mondialisation et se servent d'elle pour leurs buts propres : les individus, les entreprises, les États et les mouvements transnationaux.
La globalisation repose sur trois facteurs qui ont contribué à son développement : la désintermédiation, la déréglementation et le décloisonnement des activités financières.
À l'origine, on identifiait trois grands pôles de la mondialisation. Apparu dans les années 1980, le terme de « Triade » sert à désigner ces trois pôles : l'Amérique du Nord, c'est-à-dire les États-Unis et le Canada, l'Europe de l'Ouest et le Japon.
La mondialisation est un processus continu d'intensification et de fluidification des échanges, porté par l'essor des transports et des mobilités (populations, entreprises, etc.) et accéléré depuis les années 1970 par les systèmes contemporains de communication et de circulation de l'information.
La mondialisation influence l'éducation et pousse les acteurs du milieu éducatif et les gouvernements à projeter l'éducation au-delà des frontières. Outre la libéralisation accrue des marchés et des biens, les technologies favorisent la «nouvelle éducation».