La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
Contextualisation. Si le débarquement en Normandie a permis la libération du nord-ouest du pays entre juin et septembre 1944, le débarquement de Provence (15-16 août 1944) a ouvert la route vers la Bourgogne et permis la jonction des troupes alliées à Nod-sur-Seine dès le 12 septembre.
France. Après plusieurs jours d'insurrection, Paris est libérée le 25 août grâce a la deuxième division blindée du général Leclerc.
La libération de Paris en images
La libération de Paris se déroule du 19 au 24 août 1944. Alors que les troupes alliées débarquées en Normandie en juin avancent vers l'est et prennent la poche de Falaise (12-21 août), une insurrection populaire est organisée et menée par la Résistance dans la capitale.
25 août 1944 : la Libération de Paris par la division Leclerc et les FFI de Rol-Tanguy [archive]. (es) La 9e compagnie libère Paris sous le commandement du capitaine Raymond Dronne [archive].
Les troupes alliées de l'Ouest font leur jonction avec les troupes soviétiques de l'Est en avril 1945. Le 7 mai 1945 à Reims, le colonel général Alfred Jodl signe l'acte de reddition inconditionnelle des forces armées allemandes, le lendemain le 8 mai à Berlin est signé la capitulation allemande.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Victoire des Alliés et fin du régime de Vichy. La campagne de France de 1944 est la libération de la France par les Américains, les Anglais et les Canadiens, et les FFL commandés par De Lattre de Tassigny et le général Leclerc participent aux combats.
Après l'attaque de Pearl Harbor par le Japon, Hitler saisit l'occasion pour déclarer la guerre aux États-Unis. Le 11 décembre 1941, le chargé d'affaires américain à Berlin reçoit une note signée Ribbentrop qui annonce la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays et officialise la déclaration de guerre.
Quand la défaite tourne à la débâcle, Pétain demande l'armistice tandis qu'un général inconnu allume la flamme de l'espoir. C'est un coup de dés comme l'Histoire n'en a jamais connu en France.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Le 22 juin 1940, la France est vaincue par l'offensive allemande et le maréchal Pétain est contraint de signer l'armistice.
La libération
C'est l'armée anglaise du général Birdwood qui libère Lille, le 17 octobre 1918. Toute la presse ressuscitée fête la délivrance (l'Echo du Nord, le Progrès du Nord ...). Le premier soldat français à entrer dans la ville libérée est le fils du maire, Carl Delesalle.
25 août 1944 : Paris libéré, Maillé martyrisé…
A l'issue de quelques jours d'affrontement, la ville de Paris est libérée le 25 août. Une phrase du discours du Général de Gaulle entre alors dans l'histoire et dans la mémoire collective : « Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé !
Il y a plus de 70 ans, les forces alliées libéraient la poche de Saint-Nazaire, dernier bastion nazi sur le territoire. 130 000 Nazairiens étaient encore piégés dans la ville portuaire.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Le refus de la collaboration
Ils agissent d'abord contre l'occupant allemand ; très vite, avec le début de la collaboration, ils se dressent également contre le régime de Vichy. Ces résistants n'ont pas tous les mêmes idées politiques, mais tous se battent d'abord pour l'honneur et pour leur patrie, contre le fascisme.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Le 5 juin 1940, l'armée allemande lance l'invasion de la France (Fall Rot), que les restes de l'armée française ont du mal à empêcher. Le 10 juin, le front est percé sur la Somme. Les Allemands prennent Paris le 14 juin, puis Orléans le 16 juin.
Les représentants du Haut Commandement allemand signent un nouvel acte de capitulation à Berlin le 8 mai 1945 à 23h01 en présence des représentants de l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France.
L'histoire militaire des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale débute lorsque les États-Unis entrent dans la Seconde Guerre mondiale en déclarant la guerre contre les puissances de l'Axe à la suite de l'attaque japonaise du 7 décembre 1941 contre la base navale américaine de Pearl Harbor.
Ils visent à intervenir contre d'éventuelles menaces terroristes, sous strictes conditions. C'est une première depuis la seconde guerre mondiale. C'est la Cour constitutionnelle allemande qui a rendu cette décision vendredi.