Lorsqu'il est employé avec l'auxiliaire avoir, il s'accorde avec le complément d'objet direct (C.O.D) quand il est placé avant le verbe. par contre, il faut écrire --> Nous n'avons pas volé ces ballons. La leçon qu'il a apprise était difficile ! Mais : Il a appris une leçon difficile !
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire "avoir" s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct (COD), si celui-ci est placé avant : Ces fleurs, je les ai coupées.
(Rappel, pour trouver le COD, on pose la question “quoi?/”qui?” après le verbe. Par exemple, “je mange des pommes” : je mange quoi ? -> des pommes.) Si le COD est placé devant le verbe, le participe passé s'accorde avec le COD. Par exemple, “les pommes qu'il a mangées”: le COD “que” est placé avant le verbe.
donc : Comment s'est passé ta journée : Au moment même où j'écris « passé », je n'ai pas encore écrit ce qui s'était passé (la journée) : pas d'accord à faire ! Comment ta journée s'est-elle passée ? : Au moment même où j'écris « passée », j'ai déjà écrit ce qui s'était passé (la journée) : accord à faire !
Quand le verbe est employé aux temps composés, la place du COD détermine l'accord ou non du participe passé. Dans les exemples suivants, le participe passé s'accorde avec le COD (nom féminin singulier) car celui-ci est placé avant le verbe. Maxime a mangé une pomme. – La pomme que Maxime a mangée.
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Il existe des astuces pour les différencier. Le COD vient généralement après un verbe d'action. L'attribut du sujet vient toujours après un verbe d'état (être, paraître, naître, mourir, sembler, devenir, avoir l'air, passer pour).
Le COD suit généralement le verbe mais il peut être placé avant. Exemple : Maxime mange une pomme. – La pomme que Maxime mange. – Maxime la mange (ici le COD est un pronom).
Le COD complète directement le verbe (transitif direct). Exemple : Zoé aime beaucoup les animaux. Le COI est relié au verbe (transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Exemple : Elle parle souvent de son chien.
Avec l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas au sujet PARTICIPE PASSE. Elle a mangé. Ils ont fait. Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel).
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct placé derrière lui, le participe passé ne s'accorde pas. Exemple : Ils se sont égratigné les genoux. Lorsque le verbe pronominal est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet.
Le participe passé s'accorde toujours en genre et en nombre avec le sujet, même si ce dernier est placé après le verbe. Les bonnes nouvelles sont mieux accueillies que les mauvaises. Ont été achetés des outils et de la peinture.
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
-'après avoir fait' est utilisée avec une action au passé ou pour annoncer une intention au futur(e). Bonjour, C'est une règle du français. Après un adverbe, le verbe qui suit est à l'infinitif!
Le participe passé employé avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le noyau du groupe nominal (GN) ou le pronom qui occupe la fonction de sujet. Alicia est sortie marcher hier soir. Le noyau du GN occupant la fonction de sujet est le nom propre Alicia, qui est féminin singulier.
Les verbes : »Devenir, Revenir, Monter, Rester, Sortir, Venir, Aller, Naître, Descendre, Entrer, Rentrer, Tomber, Retourner, Arriver, Mourir, Partir et Passer » se conjuguent avec l'auxiliaire être au passé composé. Exemple : Paul est venu hier.
Pour rappel, le participe passé d'un verbe pronominal s'accorde en genre et en nombre avec le COD (qui répond à la question «qui?», «quoi?») lorsque celui-ci est placé avant le verbe. A titre d'exemple, dans la phrase «Les lettres qu'ils se sont écrites», le COD («les lettres»), est placé devant le verbe.
Pour trouver le COI, on répond aux questions à qui ?, à quoi ?, de qui ?, de quoi ? Exemple : Ces billes appartiennent à mon frère.
Le complément d'objet direct complète le verbe; il est placé à côté de celui-ci, sans préposition. Il représente la chose ou l'être sur lesquels porte l'action exprimée par le verbe et répond à la question quoi ?, qu'est-ce que ?, qui est-ce que ?
Je conduis la voiture. Maman fait les gâteaux. Pour reconnaître le complément d'objet direct, on pose la question "qui ?" ou "quoi ?" après le verbe. Le complément d'objet indirect (COI) est un mot ou un groupe de mots qui se joint au verbe par l'intermédiaire d'une préposition pour en compléter le sens.
2 - L'attribut du sujet précise (comme son nom l'indique) quelles qualités sont attribuées au sujet du verbe. On peut souvent établir une relation d'équivalence entre le sujet et l'attribut. Exemple : - Son frère deviendra médecin. Son frère (sujet) + verbe d'état + attribut du sujet = médecin.