La Lamaline est un médicament composé de paracétamol, d'opium et de caféine. Ces composants vont apaiser vos douleurs en quelques jours. De plus, la dose de paracétamol dans chaque comprimé (ou suppositoires) est inférieure à 500 mg.
Ce médicament antalgique associe du paracétamol, qui empêche la transmission de la douleur, un opiacé (extrait d'opium), qui agit directement sur le cerveau, et de la caféine. Il est utilisé dans le traitement symptomatique de la douleur (rhumatismes, douleurs dentaires, migraine, règles douloureuses...).
Indications de la Lamaline®
Administrée par voie orale, la Lamaline® a une posologie usuelle de 3 à 5 gélules par jour avec 1 à 2 gélules par prise (ou 1 suppositoire). Le seuil de 10 gélules par jour (ou 6 suppositoires) ne doit pas être dépassé à raison de 4 heures minimum entre chaque prise.
En raison de la présence de caféine, ce médicament peut entraîner une insomnie, éviter la prise en fin de journée. L'attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient de la morphine et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
Les effets indésirables les plus fréquents ont été : des troubles neuropsychiques (78 cas), notamment des confusions et des hallucinations ; des troubles digestifs (56 cas), dont 26 pancréatites aiguës (avec ce seul médicament impliqué dans 11 cas).
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Ex: Lamaline® gélule (= 300 mg de paracétamol + 10 mg d'opium + 30mg de caféine par gélule) associé à Doliprane® 1g (= 1000 mg de paracétamol par comprimé) → il ne faudra pas dépasser les 4000 mg de paracétamol au total. ✓ Si différents antalgiques vous sont prescrits, veillez à les alterner dans la journée!
Chez le patient cholécystectomisé, la poudre d'opium peut provoquer un syndrome douloureux abdominal aigu de type biliaire ou pancréatique, le plus souvent associé à des anomalies biologiques, évocateur d'un spasme du sphincter d'Oddi. En cas de toux productive, la poudre d'opium peut entraver l'expectoration.
En raison de la présence de caféine, ce médicament peut entraîner une insomnie, éviter la prise en fin de journée. L'attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient de la morphine et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur.
Les morphiniques purs sont les analgésiques les plus puissants. La morphine est le produit de référence. Ils sont indiqués dans des douleurs intenses et/ou rebelles (niveau III OMS) aux antalgiques de niveau plus faible.
Les antalgiques : du paracétamol à la morphine ; Certains antidépresseurs et antiépileptiques, pour traiter les douleurs d'origine neuropathiques ; Les co-antalgiques, pour renforcer ou compléter l'efficacité du traitement.
La Lamaline comme alternative aux antalgiques périphériques utilisés seuls. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont des médicaments antalgiques et antipyrétiques. Ils sont très efficaces pour traiter les douleurs et les fièvres.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Il possède un pouvoir analgésique légèrement plus fort que la codéine (bien que cela varie en fonction du métabolisme de chacun, la dose équivalente à 10 mg de morphine ingérés serait de 50 mg de tramadol).
Tolérance et hyperalgésie. La tolérance à la morphine se traduit par une diminution de l'effet antalgique, une dose plus importante est nécessaire pour obtenir un effet équivalent. L'hyperalgésie induite par les opioïdes est définie comme un état de sensibilisation nociceptive causée par l'exposition aux opiacés.
Vous pouvez donner au patient une autre dose de 2 à 4 mg à prendre chez lui plus tard dans la journée s'il continue à éprouver des symptômes de sevrage. Avertissez le patient qu'il est dangereux de donner cette dose à des tiers ou de la prendre après avoir pris de l'alcool, des benzodiazépines ou d'autres opioïdes.
En cas de douleur, le premier antalgique à utiliser est le paracétamol, car il a le rapport bénéfices-risques le moins élevé. Il ne faut pas en consommer plus de 3 grammes par jour, ce qui revient à une dose maximum de 1 gramme de paracétamol toutes les huit heures.
Les antalgiques non opiacés (anciennement dit « périphériques ») constituent une vaste famille de produits aux structures et aux modes d'action divers dont le chef de file est le paracétamol. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), avec l'aspirine, sont également des antalgiques non opiacés.
Les opiacés (opium, morphine, codéine) constituent des dérivés naturels du pavot, alors que les opioïdes sont des composés semi-synthétiques (héroïne, buprénorphine) ou synthétiques (fentanyl), dont les propriétés analgésiques sont beaucoup plus puissantes.
Palier I : Antalgiques périphériques (pour les douleurs légères à moyennes) Palier II : Antalgiques centraux faibles (pour les douleurs moyennes à intenses) Palier III : Antalgiques centraux forts ( pour les douleurs très intenses voire rebelles)
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.