Cette date peut être fixée dans le règlement de copropriété, prise par le conseil syndical ou définie à la suite d'un vote des copropriétaires en assemblée générale. La mise en route du chauffage collectif est pour autant souvent fixée au 15 octobre chaque année.
Il est difficile de donner une date précise pour allumer votre système de chauffage puisque cela dépend de la température extérieure, de la qualité de l'isolation thermique de votre logement et de votre ressenti. La période de chauffage la plus courante se situe entre le 15 octobre et le 15 avril de l'année suivante.
Il n'existe pas de date légale pour la mise en service du chauffage collectif dans les logements. Dans les ensembles immobiliers, c'est le syndic qui fixe par décision de l'assemblée de copropriété ou par règlement intérieur les dates de mise en route du chauffage collectif.
Généralement, le chauffage collectif fonctionne entre le 15 octobre et le 15 avril. Toutefois, il n'existe pas de réglementation nationale, et les dates peuvent donc varier d'une copropriété à une autre.
Généralement, la mise en route du chauffage collectif s'effectue autour de la même période soit du 15 octobre au 15 avril de l'année suivante. A savoir que ces dates ne sont nullement imposées par la loi, aucun texte légal n'ayant été prévu à ce sujet.
Il est souvent recommandé de mettre en marche le chauffage lorsque la température extérieure avoisine les 19 °C. Il s'agit en fait de la température recommandée dans les pièces à vivre d'un logement et ce tout au long de l'année. En France, ces températures automnales surviennent fréquemment à partir du 15 octobre.
Quelle est la température réglementaire d'un logement ? Dans un logement chauffé, la moyenne des températures mesurées au centre de chaque pièce est réglementairement limitée à 19°C.
Pour les immeubles construits après le 1er juin 2001, les équipements de chauffage du logement doivent permettre de maintenir à 18° C la température au centre des pièces du logement.
Lorsque la mise en conformité avec la législation n'est pas effectuée dans un délai raisonnable, le locataire dispose de plusieurs recours : lettre recommandée de mise en demeure avec accusé réception, saisie de la commission départementale de conciliation, procédure judiciaire auprès du tribunal compétent.
Oui, le chauffage collectif est en effet pris en compte dans les charges locatives. La répartition des charges se divise. Le locataire prend ainsi en charge le coût de l'énergie et de l'entretien courant des infrastructures de chauffage collectif.
La loi Elan oblige désormais les copropriétés à installer un système d'individualisation. Les copropriétaires partagent les frais d'entretien. Cela permet également un gain d'espace, puisque les appareils sont installés dans la chaufferie centralisée de l'immeuble, et non dans chaque appartement.
Ce n'est donc pas recommandé d'éteindre totalement vos radiateurs la nuit car le matin, votre système de chauffage devra surconsommer de l'énergie pour atteindre sa température de consigne. Préférez une baisse de quelques degrés le soir afin de profiter d'une température ambiante idéale.
Les températures pour chaque pièce sont adaptées selon différentes caractéristiques : pour les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine) la température recommandée est de 19°C, alors que pour la chambre elle est de 16°C. Pour la salle de bain elle se situe entre 17°C (inoccupée) et 22°C (en cas d'utilisation).
Comme pour une maison, la bonne température de chauffage pour un appartement varie, selon les pièces, entre 16° et 22°C. Les températures les plus basses pour l'entrée et les chambres, 19°C pour le salon et la chambre de bébé, et la température la plus haute pour la salle de bains.
Une des obligations qui incombe au locataire est en effet de payer son loyer. Cette règle s'applique également lorsque le logement n'est plus approvisionné en eau chaude ou en chauffage. Il n'est pas autorisé de se faire justice soi-même.
Les études montrent que la température moyenne d'un logement non chauffé est de 10 °C, de quoi rafraîchir nos idées !
Non, il n'est pas légal de louer un appartement sans chauffage. Selon la Cour de Cassation, un logement doit nécessairement comporter un appareil de chauffage pour être considéré comme décent. En effet, les critères d'un logement décent incluent l'accès au chauffage et à l'eau chaude.
17 degrés, c'est la température qu'il fait parfois l'hiver, au soleil, à l'abri derrière la digue. 17 degrés, ça suffit pour prendre des coups de soleil – on croit qu'il fait froid mais le soleil cogne et l'air de rien, on rougit. 17 degrés, surtout, c'est la température de la Manche en juillet.
19°C dans les pièces de vie lorsqu'elles sont occupées, 16 à 17°C en cas d'absence ; 17°C dans les chambres, la nuit et en cas d'absence ; 19°C dans les chambres d'enfant en journée, 17°C la nuit ; 22°C dans la salle de bain quand on s'y trouve et 16 à 17°C le reste du temps.
Quel que soit votre système de chauffage (pompe à chaleur, chaudière gaz, radiateur électrique, chauffage au fioul, chauffages d'appoint, etc.), veillez à toujours avoir 19°C dans vos pièces à vivre pour éviter la sensation de froid.
Pour les pièces à vivre comme un salon, nous vous conseillons de régler la consigne à 19 - 20 °C. Pour les chambres à coucher, 16 à 18 °C sont généralement préconisés.
La température de chauffage idéale en termes de santé est de 18°C. En effet, il a été montré que surchauffer son logement est néfaste pour les occupants, empêche de bien dormir et augmente votre consommation d'énergie.
Il est recommandé de ne pas éteindre complètement le chauffage pour la journée, en votre absence, car rallumer le chauffage à votre retour consomme plus d'énergie que si vous l'aviez laissé allumé (et puis vous aurez une petite sensation d'inconfort le temps de regagner les degrés souhaités).