Arrêt du médicament : il ne faut pas mettre fin subitement à la prise de citalopram en raison du risque de symptômes liés à l'arrêt du traitement. Il est recommandé de réduire graduellement les doses sur une certaine période de temps.
En général, les spécialistes estiment qu'un traitement antidépresseur peut être arrêté à partir du moment où, depuis 3 mois, on est revenu à l'état antérieur à la période dépressive (cet état étant différent pour chacun, il n'y a pas de normalité en la matière).
Il est préférable d'arrêter le traitement progressivement en diminuant la posologie ou en espaçant les prises pour éviter ces effets indésirables observés en particulier en cas d'interruption brutale.
Le sport, la relaxation et la méditation peuvent aider à arrêter les antidépresseurs et améliorent la santé mentale d'un sujet anxieux ou stressé.
Il est recommandé de diminuer progressivement les antidépresseurs sur une période d'au moins 2 à 4 semaines, la demi-vie de l'antidépresseur étant un facteur important.
Arrêt du médicament : il ne faut pas mettre fin subitement à la prise de citalopram en raison du risque de symptômes liés à l'arrêt du traitement. Il est recommandé de réduire graduellement les doses sur une certaine période de temps.
Un antidépresseur pourra par exemple commen-cer par fatiguer et modérer l'activité d'une personne concernée, qui devra attendre quelques semaines avant de sentir son humeur s'améliorer.
des saignements tels que des bleus, des saignements de nez, des hémorragies génitales ou digestives ; de rares cas de syndrome sérotoninergique dont les principales manifestations sont : tremblements, confusion, agitation, exagération des réflexes, rigidité musculaire, vertiges, fièvre inexpliquée, sueurs.
Du coup, l'activité neuronale de l'amygdale baisse et l'anxiété diminue. Pour les dépressions, “différentes régions régulant les émotions négatives ou celles chargées de renforcer les sentiments positifs ont une activité trop basse”. Donc, un médicament type antidépresseur va rétablir le frein qui régule les émotions.
L'oubli occasionnel de son traitement est sans conséquence notoire. Cependant vous ne devez pas modifier la dose prescrite ni le nombre de prises pour compenser un oubli sans en parler avec votre médecin. L'oubli régulier de son traitement antidépresseur compromet sérieusement son efficacité.
Somnolence ou vigilance réduite : le citalopram peut causer de la somnolence pour quelques personnes.
Une prise de poids est possible avec le citalopram, tout comme de façon moins fréquente une perte de poids. Le citalopram a aussi des effets secondaires possibles au niveau des plaquettes sanguines (effet inhibiteur), il peut s'en suivre par exemple des saignements gastro-intestinaux.
Trois antidépresseurs ont récemment démontré leur efficacité dans l'anxiété généralisée: la venlafaxine, la paroxétine et l'escitalopram.
Chez certaines personnes sensibles, le fait d'oublier de prendre ses médicaments ou d'arrêter soudainement de les prendre peut entraîner des symptômes désagréables tels que les suivants Sentiment d'avoir la grippe, avec une sensation de fatigue et de douleur ; maux de tête ; troubles du sommeil ; sensations de choc ...
Lorsque l'on prend un antidépresseur, l'absorption d'alcool est fortement déconseillée. Les effets combinés des deux substances entraînent des troubles du comportement et une ivresse plus rapide. Les antidépresseurs peuvent interagir avec d'autres types de médicaments.
Phytothérapie : le Millepertuis, pour retrouver la joie de vivre.
Parmi ces médicaments, soulignons la fluoxétine (Prozac), le citalopram (Celexa), la sertraline (Zoloft) et l'escitalopram (Cipralex). Les ISRS agissent sur certains produits chimiques naturels (les neurotransmetteurs) du cerveau qui sont utilisés pour communiquer entre les cellules cérébrales, et ils gèrent l'humeur.
Lors de l'arrêt d'antidépresseurs, environ une personne sur deux subit un syndrome de sevrage. Ce syndrome est dû à une sorte de manque et se manifeste par des maux physiques (maux de tête, troubles digestifs, fatigue) comme psychiques (insomnie, anxiété, idées suicidaires…).
En termes d'efficacité, le citalopram était plus efficace que d'autres composés de référence comme la paroxétine ou la réboxétine, mais plus mauvais que l'escitalopram. En termes d'effets secondaires, le citalopram était plus acceptable que des antidépresseurs plus anciens, comme les antidépresseurs tricycliques.
Le citalopram, ou plus exactement le bromhydrate de citalopram, est un antidépresseur inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS), il est utilisé pour le traitement de la dépression, associé ou non à des troubles de l'humeur, et dans l'ensemble des troubles de l'anxiété.
Ce médicament est habituellement utilisé pour la dépression. On l'emploie aussi pour d'autres indications. Lorsqu'utilisé pour le traitement d'un trouble de l'humeur, le médicament ne produit son plein effet qu'après quelques semaines.
Les symptômes physiques de la dépression
Ainsi, les symptômes physiques sont nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, et peu réparateur avec des réveils précoces.
5 molécules s'avéraient plus efficaces que la moyenne des 21 antidépresseurs (OR 1,19 – 1,96) : en tête la vortioxetine (BRINTELLIX), puis l'escitalopram, la mirtazapine, l'amitriptyline, l'agomélatine, la paroxetine et la venlafaxine.
La prise de médicaments antidépresseurs peut accélérer la guérison. Ces médicaments sont plus efficaces si vous suivez en même temps une psychothérapie. Beaucoup croient faussement qu'il faut choisir entre psychothérapie et médicament. Il n'en est rien, bien au contraire, les deux traitement se complètent.