Des effets secondaires à partir du deuxième trimestre de grossesse. L´UTROGESTAN, un médicament couramment utilisé par les femmes enceintes pour limiter le risque de contractions, ne doit plus être prescrit après le premier trimestre de la grossesse.
Il ne doit pas être utilisé à partir du 4e mois de grossesse.
Les doses d'œstrogènes et progestérones peuvent être réduites de moitié après la 8ème semaine et stoppées définitivement 10 jours après. Veuillez toujours consulter votre médecin pour déterminer les dates d'arrêt précises de prise des médicaments.
Si vous prenez de la Progestérone (Progestan ou Duphaston ou Progiron) et/ou du Provames, arrêtez le traitement. Vos règles reviennent quelques jours après. Les vitamines sont à continuer pour préparer le prochain essai.
Par voie orale uniquement, les effets suivants ont été observés: · risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
La progestérone pourrait aider les femmes victimes de fausses couches récurrentes, rapporte une étude américaine publiée dans le journal scientifique Fertility and Sterility. Des conclusions qui confirment les bienfaits de cette hormone féminine essentielle au bon déroulement d'une grossesse.
Saignements au moment de l'ovulation
On suppose qu'après le jour de l'ovulation, une baisse des niveaux d'œstrogènes et une augmentation simultanée des niveaux de progestérone peuvent entraîner des saignements.
Progestérone durant la grossesse
Elle prévient le début du travail en inhibant les contractions utérines (quiescence myométriale), en s'opposant aux effets de l'ocytocine et des prostaglandines et elle a une action sur le col utérin.
Trop de progestérone
Les symptômes : larmes faciles, seins sensibles ou douloureux, irritabilité, maux de tête, fatigue, vertiges, ballonnements, réveils difficiles…
o 200 mg de progestérone micronisée par jour du 15ème au 25ème jour du cycle, répartis en une ou deux prises par jour puis, o à partir du 26ème jour du cycle et en cas de grossesse débutante, cette dose peut atteindre au maximum 600 mg/jour réparties en 3 prises.
Les saignements peuvent généralement être contrôlés par l'administration d'œstrogènes plus un progestatif (une hormone féminine de synthèse) ou de la progestérone (similaire à l'hormone fabriquée par le corps) ou parfois par l'une de ces hormones seule.
Le taux d'HCG augmente très rapidement jusqu'à 8-10 semaines de grossesse ; elle double en moyenne toutes les 31 heures pour atteindre un pic vers la 10ème semaine. Au 3ème mois, la sécrétion d'HCG diminue très nettement et le placenta prend le relai.
· supplémentation de la phase lutéale au cours de cycles spontanés ou induits, en cas d'hypofertilité ou de stérilité primaire ou secondaire notamment par dysovulation, · en cas de menace d'avortement ou de prévention d'avortement à répétition par insuffisance lutéale, jusqu'à la 12ème semaine de grossesse.
Utrogestan contient comme principe actif de la progestérone, une hormone sexuelle féminine qui appartient à la classe des progestatifs. La progestérone est secrétée par les ovaires. Elle joue un rôle essentiel dans la régulation du cycle menstruel et le déroulement normal de la grossesse.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Sur le sommeil et la fatigue :
La progestérone est parfois appelée “hormone soporifique”, c'est l'une des raisons pour lesquelles on est plus fatiguée en phase lutéale (entre l'ovulation et les règles).
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Dans l'alimentation, la consommation quotidienne de fruits et de légumes frais dans les 3 mois précédant et suivant le début de grossesse diminuerait le risque de fausse couche précoce (2).
L'œstrogène est à son plus haut juste avant l'ovulation et est un coupe-faim, selon la psychologue américaine. La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM.
En théorie, la réponse à ces questions est la même : non. Un traitement substitutif équilibré et calibré pour vos besoins physiologiques hormonaux précis n'entraînera pas de prise de poids définitive. Il pourra en effet induire deux à trois kilos en plus qui disparaitront aussi vite qu'ils sont apparus.
Les hormones
«Les œstrogènes agissent sur plusieurs neurotransmetteurs qui peuvent avoir un impact sur la régulation du sommeil et la progestérone peut avoir un effet hypnotique. La variation de niveau de ces hormones peut affecter notre rythme circadien.»