Antiepileptic drugs Withdrawal Epilepsy Remission L'arrêt du traitement antiépileptique est proposé après 2 à 4 ans sans crise. » L'arrêt du traitement antiépileptique est conditionné par la rémission des crises. » L'identification du syndrome épileptique est essentielle pour évaluer le pronostic d'épilepsie. »
Deux modalités de décroissance sont possibles : – un arrêt définitif et complet en 2 à 3 mois ; – un arrêt partiel « prudent » pour lequel 50 % de la dose initiale est maintenue pendant 6 mois à 1 an, puis une reprise de la décroissance est proposée en l'absence de récidive.
Le patient est considéré comme guéri si, après l'arrêt du traitement, il a passé un an sans présenter de crise d'épilepsie. Toutefois une aggravation de la maladie reste possible malgré la prise d'un antiépileptique.
Habituellement, une durée de deux ans de rémission avant d'envisager l'arrêt du traitement est admise. Dans l'étude du MRC4, le risque de rechute diminuait quand la longueur de la rémission augmentait. Mais cela est vrai que le patient arrête ou non son traitement.
Conformément à la pratique clinique usuelle, l'arrêt éventuel du traitement par Keppra doit être réalisé de manière progressive (par exemple, chez l'adulte, diminution de 500 mg deux fois par jour, toutes les deux à quatre semaines; chez l'enfant, la diminution de dose ne devrait pas dépasser 10 mg/kg 2 fois par jour ...
Quand arrêter un antiépileptique ? Le patient doit justifier d'une rémission complète des crises sous traitement depuis au moins 2 ans. En cas de persistance d'anomalies épileptiques sur l'électroencéphalogramme et d'identification d'une lésion corticale sur l'IRM cérébrale, il faut éviter de proposer le sevrage.
Plus rarement : perte de poids, pancréatite, insuffisance hépatique, augmentation des transaminases, insuffisance rénale aiguë, réaction allergique, perte de cheveux, blessure accidentelle, troubles du rythme cardiaque, anomalie de la numération formule sanguine (voir Attention).
"Le principe de l'épilepsie, c'est que les crises surviennent sans prévenir, un peu au hasard. Mais on sait que des facteurs favorisent, augmentent le risque d'avoir une crise. Parmi ces facteurs, on trouve au premier rang le stress. Il y a aussi le manque de sommeil, les troubles hormonaux, les substances exogènes.
Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. DEPAKINE CHRONO peut provoquer une somnolence, en particulier si vous prenez en même temps un autre médicament anticonvulsivant ou pouvant augmenter la somnolence.
En général, il vaut mieux éviter les sports solitaires (randonnée et alpinisme seul, planche à voile, équitation en solo, etc.) et préférer les sports d'équipe, la gymnastique ou l'athlétisme. La pratique du vélo est possible avec un casque, même s'il existe un faible risque d'accident.
La fatigue est fréquente chez les patients épileptiques. Elle peut être due à la maladie, parfois aux médicaments (que l'on peut éventuellement changer), mais aussi à d'autres causes comme la thyroide, etc. Pour discussion également avec le neurologue.
Pour les personnes souffrant de crises tonico-cloniques généralisées (avec ou sans autres types de crises), le traitement première intention actuel, le valproate de sodium, présente le meilleur profil par rapport à tous les autres traitements.
Certaines personnes épileptiques ressentent des symptômes annonciateurs de la crise qui vient : ce phénomène d' « aura » peut se traduire par des hallucinations, de la nervosité ou de l'irritabilité, un sentiment de peur ou des impressions de « déjà-vu ».
Crassocephalum bauchiense (Asteraceae) est une plante utilisée en médecine traditionnelle pour le traitement de l'épilepsie et de certains troubles neurologiques.
Elles sont dues à une lésion cérébrale : malformation congénitale, encéphalite, séquelles d'une souffrance à la naissance, traumatisme crânien, accident vasculaire cérébral, tumeur, infections du Système Nerveux Central, maladies neurologiques évolutives, anomalies des chromosomes, malformations cérébrales…
Si vous arrêtez de prendre DEPAKINE 500 mg, comprimé gastro-résistant: L'arrêt du traitement doit se faire de manière progressive; en effet l'arrêt brutal du traitement (ou la diminution importante des doses) peut entraîner la réapparition des crises.
· fatigue soudaine, perte d'appétit, abattement, somnolence, gonflement des jambes, malaise général, · vomissements répétés, nausées, douleurs dans le ventre et à l'estomac, coloration jaune de la peau ou des yeux (jaunisse), · réapparition des crises alors que vous suivez correctement votre traitement.
Posologie usuelle :
Adulte et enfant de plus 17 kg : 20 à 30 mg par kg et par jour, répartis en 1 ou 2 prises. Cette posologie est atteinte progressivement, puis adaptée par le médecin en fonction de l'efficacité du traitement.
Après une crise d'épilepsie provoquée par un facteur causal identifiable, peu susceptible de se reproduire au volant, le conducteur peut être déclaré apte à la conduite au cas par cas, et après avis d'un neurologue.
L'épilepsie est une maladie neurologique qui se traduit par une activité électrique anormale du cerveau. Elle touche surtout les enfants, les adolescents et les personnes âgées à des degrés divers. Les causes sont dans certains cas génétiques, mais dans la plupart des cas, elles ne sont pas identifiées.
10. L'épilepsie n'est pas une maladie mortelle. Il demeure qu'elle est parfois une maladie très grave et que certains patients en meurent. Les spécialistes estiment que plusieurs décès chaque année au Canada surviennent suite a des crises prolongées (état de mal épileptique).
Le Keppra® peut entraîner quelques effets indésirables, notamment une somnolence, de la fatigue, des maux de tête, une rhinopharyngite et des sensations vertigineuses.
Il agit sur les concentrations calciques intraneuronales en inhibant partiellement les canaux calciques de type N et en réduisant la libération de calcium des réserves intraneuronales.