A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
On ne s'habitue pas aux bras, on ne devient pas capricieux à 3 mois. Profitez de votre temps précieux, de cette période unique dans la vie et passez du temps avec votre bébé. Elle trouvera son rythme, vous allez lui apprendre la tolérance à la frustration, mais ce n'est pas maintenant.
Les crises de colère sont une étape normale du développement de l'enfant, qui survient surtout entre 18 et 36 mois. Lorsque votre enfant fait une crise de colère, tentez de garder votre calme. Vous fâcher ne ferait qu'aggraver les choses.
Cette période est caractérisée par la confrontation et les sautes d'humeur, car lui-même ne fait pas la différence entre ses besoins et ses désirs! À cet âge, toutes les crises (et elles peuvent être nombreuses) ne sont pas nécessairement des caprices. C'est donc à vous de vous exercer à les reconnaître.
Lorsqu'un tout-petit se fâche, crie et pleure après s'être fait refuser quelque chose, on dit souvent qu'il fait un caprice.
À mi-chemin entre les deux courants de pensée qui consistent, d'un côté, à laisser pleurer un enfant et, de l'autre, à répondre à chacune de ses sollicitations, cette méthode s'adresse aux bébés en âge de faire leur nuit, c'est-à-dire vers 3 ou 4 mois.
Entre 9 mois et 12 mois, la plupart de enfants sont capables de se déplacer efficacement à quatre pattes. D'autres ne le font jamais, car ils découvrent d'autres moyens de se déplacer au sol (sur le ventre, assis en s'aidant des mains…).
Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
Il n'est pas recommandé de laisser pleurer un bébé, même s'il n'est plus un nouveau-né. Un bébé ne pleure jamais pour manipuler. Son cerveau n'est pas encore assez développé pour lui permettre de manipuler ses parents. Il ne possède pas non plus la capacité de gérer ses émotions.
Non, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras ». Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.
2 ans, le début des véritables caprices
A partir de 2 ans, l'enfant s'affirme et acquière de l'autonomie. Par la même, il commence à exprimer ses désirs et ses envies, ce qui peut générer des conflits et des crises face aux adultes.
L'enfant doit être le moins surpris possible. Évitez le plus possible les moments pendant lesquels vous avez bébé dans les bras et faites quelque chose d'autre en même temps. Il faut que vous lui fassiez perdre cette habitude et que vous diminuiez les minutes où vous le portez.
Avant 7 mois
Avant ce stade, votre bébé peut vous sembler capricieux mais, en réalité, il ne l'est pas. Il fait simplement l'expérience du monde sans ordre ni but défini. Bébé pense également que ce monde lui appartient.
Comme les pleurs sont l'unique moyen de communication du nouveau-né, si ces derniers sont ignorés, cela va augmenter son stress, et peut, sur la durée, endommager son système nerveux central, sa croissance ou encore son potentiel d'apprentissage.
Lorsqu'il vous tape, "cela ne signifie par que votre enfant soit méchant ou ait une intention mauvaise", rassure-t-elle "certains sont simplement plus leaders ou frustrés en fonction de leur caractère, du déroulement de leur naissance, du contexte familial".
Les bébés s'attendraient donc non seulement à être portés, mais aussi transportés. Selon les chercheurs japonais, la nature aurait favorisé ce type de comportement, car cela assure la survie des petits. Cette réaction au portage en mouvement serait donc un vestige de l'évolution.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Jusqu'à 6 mois, votre bébé n'a pas besoin de boire d'eau. Le lait maternel ou la préparation pour nourrissons assure son hydratation. À partir de 6 mois, offrez de petites quantités d'eau à votre bébé à quelques reprises durant la journée. Ne le forcez pas à boire.
Le miroir et la découverte de son image
À sa naissance, le bébé n'a pas conscience de l'entité de son corps. Il joue avec ses mains ou ses pieds sans savoir qu'ils font partie de lui. À partir trois mois, si vous le placez devant un miroir, il le regardera comme n'importe quel objet.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
Commencez à placer votre bébé sur le ventre dès l'âge de 2 semaines ou dès que son cordon ombilical est tombé et bien cicatrisé afin qu'il puisse apprivoiser doucement cette position. Privilégiez la fréquence plutôt que la durée. Lorsque votre bébé est sur le dos, faites-le tourner doucement sur le ventre.
« Souvent, le pain est l'un des premiers aliments solides que le bébé porte à sa bouche. C'est donc un aliment dans lequel les parents ont confiance », souligne Annabelle Biotti. On peut commencer à l'introduire dans la vie du bébé vers l'âge de 6-7 mois, après les débuts de la diversification alimentaire.
Vers 6 mois
Votre bébé peut maintenant lever sa tête spontanément. Lorsque vous le tirez doucement par les bras pour l'asseoir, il rentre son menton sur son thorax et tient sa tête.