difficultés scolaires. malaises, épilepsies, épilepsie du nouveau-né et épilepsie rares. céphalées, migraine. problèmes d'origine génétique (neurofibromatose, sclérose tubéreuse de Bourneville, syndrome de Willi-Prader, syndrome d'Angelman, syndrome de Rett, patient porteur d'une trisomie 21,...)
Par la suite : l'intervention d'un neuropédiatre est requise chez un enfant présentant un retard d'apparition du langage, des problèmes de concentration avec ou sans hyperactivité, des céphalées, crises épileptiques, vertiges, troubles de l'équilibre ou de la marche, ...
En résumé, le neuropédiatre intervient pour toute manifestation (aigue ou chronique) liée à un dysfonctionnement du système nerveux central et/ou périphérique. Par ailleurs, les troubles d'apprentissage scolaire font aussi partie intégrante des domaines de compétence du neuro-pédiatre.
1Le bilan neuropédiatrique chez des enfants présentant une déficience ou un trouble des fonctions supérieures vise, d'une part, à rechercher une étiologie, d'autre part, à évaluer d'éventuels handicaps ou pathologies associés tels qu'une épilepsie, des mouvements anormaux, des troubles sensori-moteurs ou sensoriels qui ...
Un bilan peut être demandé par le médecin lorsqu'un patient présente des symptômes évocateurs de troubles cognitifs, mais également par le patient lui-même qui s'inquiète de ses propres difficultés ou encore par ses proches s'ils observent chez lui des changements de comportement ou des difficultés à réaliser certaines ...
"On réalise cet examen systématiquement chez tout patient qui se plaint d'un symptôme "neurologique" (maux de tête, vertiges, traumatisme crânien…). Vous pouvez par exemple venir pour une chute et une entorse, mais il est fondamental de vérifier qu'un malaise n'a pas provoqué cette chute."
La consultation de neuropédiatrie : Lors de la consultation (durée 1h), le médecin neuropédiatre interroge l'enfant et la famille, réalise un examen neurologique. En fin d'examen, le médecin décide de l'indication à des examens (imagerie cérébrale, électroencéphalogramme).
Le neurologue pédiatre assure la prise en charge prise en charge des nourrissons, des enfants et des adolescents présentant un trouble du système nerveux central (cerveau ou moelle) ou du système nerveux périphérique (nerfs ou muscles).
Un examen de la vue, des pupilles, des mouvements des yeux et du fond de l'œil ; Un test d'audition ; Un test de langage (capacité à trouver le bon mot par exemple), de lecture, d'écriture ou de dessin ; Des exercices mentaux (calculs simples), tests de mémoire, de compréhension, etc.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Les symptômes neurologiques peuvent donc comprendre une faiblesse musculaire ou un manque de coordination, une sensibilité anormale de la peau et des troubles de la vision, du goût, de l'odeur et de l'ouïe.
Quand il y a le terme « neuro », c'est qu'il s'agit d'un professionnel qui va s'occuper de difficultés cognitives. Généralement, on passe d'abord par un neuropsychologue et puis, si celui-ci le conseille, par un neuropédiatre.
« Comment ça va ? » est la première question que le·la neurologue nous pose lors d'une consultation. C'est une question essentielle à se poser quand on va voir le·la neurologue : si on ne lui raconte pas notre état, comment peut-il·elle le deviner et comment peut-il·elle nous venir en aide ?
Notre service traite toute maladie qui atteint le système nerveux central ou périphérique. Les principales maladies traitées sont notamment les suivantes: Accidents vasculaires cérébraux. Maladie de Parkinson et mouvements apparentés.
Les parents trouveront auprès de ces spécialistes de l'enfant une aide précieuse pour les accompagner dans cette situation. Seul un médecin psychiatre ou pédopsychiatre est habilité à poser un diagnostic médical. Il prendra le temps, sur une ou plusieurs consultations, de comprendre les symptômes de l'enfant.
Il est conseillé de consulter un médecin ou un psychologue si votre enfant est toujours agité ou si son agitation perturbe ses relations et ses apprentissages et rend impossible la vie de famille. Pour en savoir plus, consultez notre fiche sur le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH).
Concernant les difficultés scolaires, des séances avec un orthophoniste ou un psychomotricien peuvent être conseillées par le médecin ou le pédopsychiatre. Vous pouvez aussi consulter un psychopédagogue qui permettra à l'enfant de se réconcilier avec l'école et les apprentissages.
Le neuropédiatre est un pédiatre spécialisé dans le développement et les maladies du cerveau de l'enfant.
Le neurologue se concentrera sur le traitement du volet neuronal, le neuropsychologue se concentrera sur la cognition, le psychiatre se concentrera sur les problèmes de l'ordre plus psychologique et pourrait proposer un médicament pour traiter ces symptômes, alors que le psychologue pourrait proposer des interventions ...
Un neuropsychiatre s'intéresse à la fois aux troubles liés aux maladies psychiatriques et à ceux liés aux maladies neurologiques. Pourtant, il n'est ni psychiatre, ni neurologue. Ce médecin étudie les maladies qui ont des symptômes et des causes à la fois neurologiques et psychiatriques.
LE CAS D'UNE PREMIÈRE CONSULTATION
L'objectif de cette première consultation est de poser ou confirmer le diagnostic. Dans ce but, le neurologue vous posera des questions très précises selon un protocole prédéterminé au niveau international. Il est important de répondre avec sincérité et précision, autant que possible.
Comment se déroule la consultation ? Le neurologue vous soumet à un interrogatoire afin de connaître les motifs de la consultation. Il procède ensuite à un examen clinique exhaustif lui permettant d'établir un diagnostic précis.
Tout symptôme inhabituel brutal, transitoire ou prolongé peut être le signe d'une urgence médicale neurologique, nécessitant une prise en charge médicale rapide. Mais attention, la régression complète des signes, si elle se produit, ne doit pas faussement rassurer.