La vraie question est donc de savoir si l'on doit mettre ou non l'article défini. En général, s'il s'agit d'un cas général, on ne le met pas et on utilise donc juste DE. Autres exemples: un biller de train, le billet du train qui part pour Paris, une table de nuit, la table de la cuisine…
L'élision se fait lorsque ces mots sont suivis d'un mot commençant par une voyelle ou un h muet. Ainsi on a : la + apostrophe → l'apostrophe, le + oiseau → l'oiseau, si + il → s'il, que + elle/il → qu'elle/qu'il, presque + île → presqu'île, le + homme → l'homme, le + hôtel → l'hôtel, le + hôpital → l'hôpital.
Une apostrophe est une figure de rhétorique ou un procédé oratoire consistant à interpeller vivement et par surprise une personne (présente ou absente) ou une chose personnifiée. C'est également une fonction grammaticale du mot qui désigne la personne ou la chose personnifiée à qui l'on s'adresse.
Le mot mis en apostrophe, nom ou pronom, désigne l'être animé ou la chose personnifiée à qui l'on parle. C'est un mot indépendant, sans fonction dans la phrase.
Règle. Le mot des devient d' lorsqu'il est suivi d'un mot commençant par une voyelle ou par un h muet et qu'il participe à la construction d'une phrase de forme négative.
Une apostrophe consiste à interpeler quelqu'un ou une idée personnifiée au milieu du discours. En poésie et dans le théâtre en vers, l'apostrophe permet d'exprimer une émotion forte (douleur, colère, nostalgie, désespoir…). Elle s'accompagne souvent de l'interjection « ô » et d'un point d'exclamation.
des., du. Indique l'origine, le point de départ, la source de quelque chose.
Reconnaître une apposition
L'apposition se rattache à un nom auquel elle apporte un complément d'information sur une qualité ou sur la nature. Elle peut être reliée à ce nom soit directement, soit par la préposition de. L'apposition désigne la même réalité que le nom auquel elle se rapporte.
Le son [ t ] qu'on entend quand on dit est-elle correspond à la dernière lettre du verbe est , et il ne doit pas être noté par un t supplémentaire. On n'écrit pas est-t-elle .
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
d'en : préposition de (e élidé devant un mot commençant par une voyelle) suivie de en, pronom ou adverbe. Il est suivi d'un verbe à l'infinitif : « Il s'est perdu et n'arrête pas d'en parler ». d'en peut également faire partie de locutions comme d'en arrière, d'en bas, etc. d'en veut souvent dire de cela, de là.
La première utilisation, c'est pour exprimer la possession. On dit : « C'est la maison de mon frère, la maison lui appartient. » « C'est le livre de Johan, ce livre lui appartient ; il appartient à Johan. » Donc, on utilise « de » pour exprimer la possession. On utilise également « de » pour exprimer l'origine.
L'élision est la suppression de la voyelle finale (a, e ou i) d'un mot devant un h muet ou un mot commençant par une voyelle. L'apostrophe (') est le signe graphique de l'élision en français : l'hôtel (et non : le hôtel) je n'irai pas (et non : je ne irai pas)
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs. Comment les utiliser ? Qui remplace un nom sujet.
Quand est une conjonction qui signifie "lorsque", "au moment où" ou "pendant que". Il peut également s'agir d'un adverbe pour poser une question de temps. Dans ce cas, on peut le retrouver en se posant la question "à quel moment".
Que = pronom relatif : il introduit une proposition subordonnée relative. Que représente l'antécédent qui se trouve dans la proposition principale. Que: conjonction de subordination : il introduit une proposition subordonnée conjonctive.
La quatrième lettre de l'alphabet et la troisième des consonnes. Le d appartient aux consonnes nommées dentales.
de prép. Indique dans le groupe du verbe : l'origine dans l'espace ou... dé n.m.
En est un pronom personnel complément. Les chats restent devant l'aquarium, ils ne veulent plus s'en éloigner ! En est un adverbe (appelé aussi pronom adverbial). En bons amis, les deux mistigris espèrent partager une proie.
La tonalité lyrique est l'expression poétique des sentiments personnels.
L'apostrophe. Ce signe a été introduit dans le français en 1531 par Tory. L'apostrophe est dérivée du comma ou barre qui séparait les mots, elle est apparentée à la virgule qui dérive aussi de ce signe mais qui est descendue à la ligne.
L'apostrophe permet par conséquent de rompre la continuité diégétique du texte, en marquant une pause sous la forme d'une adresse de l'auteur à son lecteur. Les textes narratifs, comme l'épopée, y ont particulièrement recours.