En début de phrase, introduit d'ordinaire une interrogative ou une circonstancielle de temps. Les locutions "quand même" et "quand bien même" se construisent avec le conditionnel, mais "quand même" peut être utilisé adverbialement ("il viendra quand même !").
Une phrase commence toujours par une majuscule et finit toujours par un point (que ce soit un point simple, un point d'exclamation ou un point d'interrogation). La phrase est composée d'un ensemble de mots placés dans un ordre logique afin d'avoir un sens et permettant d'exprimer une action ou un état.
Quel(s) avec ou sans « s » à la fin est un déterminant interrogatif ou exclamatif masculin, il s'accorde donc en genre et en nombre avec le nom qu'il accompagne. Exemple : On écrit : « Quel examen passes tu aujourd'hui ? ». On constate qu'il s'agit d'une phrase interrogative.
Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement. quand conj. Exprime la simultanéité, la correspondance temporelle ; lorsque.
En effet, en tête de phrase ou en tête de proposition, aussi est une conjonction et introduit une conséquence ou une explication et prend le sens de « c'est pourquoi » ou de « par conséquent ». Il n'est alors pas considéré comme un marqueur, c'est pourquoi aucune virgule ne le suit.
La conjonction et peut s'employer en début de phrase pour marquer une opposition ou un sentiment, ou pour souligner l'enchaînement des idées, accélérer un dialogue ou un récit : Vous avez tout dépensé. Et vous venez me réclamer de l'argent, à moi qui n'ai plus un sou.
Quand la phrase désigne un objectif, on utilise « pour ». « Pour » peut être suivi par un verbe, un nom ou un pronom.
Quand il fait beau, je sors. = Lorsqu'il fait beau, je sors. Quand il est entré, j'ai ri. = Au moment où il est entré, j'ai ri.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Résumé : - La phrase déclarative permet de donner une opinion ou de raconter un événement. - La phrase interrogative permet de poser une question. - La phrase impérative permet de donner un ordre ou un conseil.
Il faut écrire : Il ne réussira qu'en se pliant aux règles. Peut-on décomposer « quand » en « que en » ? Oui (« Il ne réussira que en se pliant aux règles »). Il faut donc écrire « qu'en », et non « quand ».
La phrase de base est une phrase qui doit comprendre les cinq aspects suivants : 1. Elle est déclarative, c'est-à-dire qu'elle ne contient aucune marque d'interrogation, d'exclamation et aucune formulation impérative (qui contient le mode impératif).
Quand appartient à tous les niveaux de langue, y compris la langue familière; lorsque est d'un niveau plus soutenu et est le terme à privilégier, la plupart du temps, dans les textes juridiques.
On dit d'une personne qu'elle reste sur son quant-à-moi lorsque cette dernière met des distances entre elle et les autres.
Exemple 1 : Quand tu sortiras, pourras-tu acheter du pain? Exemple 2 : Mes parents arriveront dans la journée; quant à ma sœur, elle sera là demain. Exemple 3: Je ne bois qu'en mangeant.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.
- le passé antérieur après quand, lorsque, après que, etc. quand le verbe principal est au passé simple. Pour parler de deux actions simultanées, on utilise : - l'imparfait dans la plupart des cas.
QUAND exprime une date, un moment. On peut généralement le remplacer par LORSQUE. QU'EN est la forme contractée de "QUE EN", qui n'existe pas (il y aurait alors un hiatus sinon). QUANT s'écrit ainsi si on peut le remplacer par EN CE QUI CONCERNE.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
2) Puisque
Marque la cause, connue ou évidente pour tous. Le plus souvent en début de phrase !