Généralement, les douleurs musculaires disparaissent en quelques semaines après l'arrêt du traitement. Si elles persistent plus de 3 mois, votre médecin vous recommandera alors de consulter un spécialiste pour rechercher l'origine de ces douleurs.
Pour limiter la survenue d'effets indésirables, la HAS recommande d'utiliser les plus petites doses efficaces et de tout faire pour maintenir une hygiène de vie saine, notamment un régime de type méditerranéen et de l'activité physique régulière.
Moment de l'apparition de ces effets secondaires
Les symptômes des myalgies apparaissent en général une à plusieurs semaines après l'instauration du traitement et non un jour après la prise de statines, comme certains patients le rapportent parfois (probable preuve d'un effet placebo).
Les chercheurs ont conclu que les douleurs ou faiblesses musculaires n'étaient probablement pas causées directement par les statines, mais plutôt par l'effet appelé « nocebo », selon lequel les patients sont plus susceptibles de rapporter un effet secondaire s'ils s'attendent à le subir.
Ezétimibe. L'ézétimibe est souvent utilisé en adjonction aux statines, avec une baisse attendue du LDL-cholestérol d'environ 24 % en association avec la simvastatine.
Une nouvelle classe de médicaments hypocholestérolémiants oraux a été récemment développée. Ils pourraient aider les patients qui ne peuvent pas prendre des statines en raison de leurs effets secondaires, musculaires notamment.
« Les résultats de l'équipe de Philippe Giral et, dans une moindre mesure, les nôtres suggèrent qu'il est délétère d'arrêter les statines chez les personnes âgées à fort risque. En revanche, chez celles à faible risque, il faut peut-être envisager de les dé-prescrire », postule Philippe Gabriel Steg.
Les statines peuvent parfois provoquer de légers troubles digestifs, des insomnies ou de la fatigue, mais la plupart de ces effets sont bénins et transitoires. Des crampes ou des douleurs musculaires, voire articulaires, sont fréquemment observés (7 à 25% des personnes traitées).
Lorsqu'un médicament est justifié, la Haute Autorité de Santé recommande la pravastatine ou la simvastatine comme premier choix car ce sont les hypolipémiants les mieux évalués en termes de morts et d'accidents cardiovasculaires.
Prescrites pour combattre l'excès de cholestérol, les statines font l'objet de critiques dans le livre du Pr Even. Pourtant, leur arrêt expose à un risque accru d'infarctus les patients à risque.
Les statines ne provoqueraient pas de douleurs musculaires, selon une nouvelle étude. Par peur de ces effets, de nombreux patients refusent ces médicaments anti cholestérol pourtant efficaces contre les maladies cardiovasculaires. Pas de risque de douleurs musculaires avec les statines.
Une étude coréenne montre une régression de l'athérosclérose du cœur, grâce au traitement précoce. Bonne nouvelle pour les patients ayant les artères du cœur partiellement obstruées par des plaques d'athérosclérose: un traitement par statines serait un bon moyen de faire régresser ces plaques.
Adopter l'huile d'olive, de colza ou de lin, également source de bons acides gras. Consommer quotidiennement des fruits et des légumes, frais et de saison si possible. Boire chaque jour deux grands verres de jus de radis noir, de céleri... Grignoter des graines de courge dans la journée ou à l'apéritif.
1,30 et 2,30 entre 20 et 44 ans ; 1,35 et 2,50 entre 45 et 60 ans ; 1,40 et 2,65 au-delà de 60 ans.
Un taux de cholestérol inférieur à 189 mg/dL, chez le sujet de plus de 75 ans, doit être un signe d'alarme de pathologies occultes ou de déclin fonctionnel rapide.
En effet, la celle ci contient des monacolines K qui ont la capacité d'inhiber une enzyme (HMG-CoA réductase) intervenant dans la voie de synthèse du cholestérol comme les statines. Sa consommation via des compléments alimentaires par des patients traités avec des statines pourraient donc entraîner un surdosage.
L'evolocumab fait partie d'une nouvelle catégorie de médicaments appelés inhibiteurs de la PCSK9. Ceux-ci inhibent l'activité de la molécule PCSK9, qui, ainsi, augmentent la capacité naturelle du corps à éliminer le cholestérol du flux sanguin.
Si la première année, les patients sous statines prennent moins de calories que les personnes qui ne sont pas sous statines, la différence a tendance à disparaitre dans les années qui suivent.
Les effets indésirables observés peuvent varier selon les substances : Digestion difficile, nausées ou diarrhée, démangeaisons, urticaire, photosensibilité, vertiges ou fatigue. Des cas de calculs biliaires ont également été rapportés.
Ils ont tendance à avoir une glycémie à jeun élevée et sont déjà en voie d'être diabétiques. Les statines peuvent également entraîner une élévation des enzymes hépatiques. Nous surveillons les enzymes hépatiques dans certaines situations, mais cet effet secondaire est très rare.
L'une des eaux minérales que produisent ces inépuisables monts, l'hydroxydase, semble éliminer le cholestérol et les triglycérides en excès. Des patients soumis pendant vingt et un jours à cette diète hydrique peuvent en témoigner.
Il s'avère que la spiruline a un bon effet sur plusieurs de ces caractéristiques. Elle peut, par exemple, réduire le cholestérol total, le « mauvais » cholestérol LDL et les triglycérides tout en augmentant le « bon » cholestérol HDL.
La spiruline, de plus en plus populaire dans les officines, contribue notamment à faire baisser le taux de cholestérol, ainsi qu'à réguler le taux d'insuline chez les diabétiques. Quant aux flavonoïdes, elles sont utiles dans la lutte contre les maladies cardiovasculaires.