Proposition ne dépendant d'aucune autre proposition, et dont aucune proposition ne dépend. Toute phrase simple est donc une proposition indépendante.
La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
Une proposition subordonnée est dépendante d'une proposition principale à laquelle elle se rattache. À elles deux, elles forment l'un des types de phrase complexe.
« Dans son article, le journaliste résume brièvement l'histoire » est une proposition ; cette proposition ne dépend d'aucune autre proposition ; elle ne contient aucun terme dont dépendrait une autre proposition : c'est une proposition indépendante.
Proposition ayant un rôle de COD (complément d'objet direct) dans une phrase. La proposition complétive peut être interrogative, infinitive ou conjonctive. Elle peut être introduite par une conjonction de subordination (ce que, que, si).
la proposition coordonnée ; la proposition subordonnée ; la proposition relative. On l'appelle également la principale.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Lorsque deux propositions sont séparées par une virgule, un point-virgule ou par deux-points, elles sont juxtaposées. Elles ne dépendent ni de l'une ni de l'autre et présentent chacune un sens complet. Elles sont donc indépendantes (la nature des propositions juxtaposées est : « proposition indépendante »).
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
Comment sont-elles séparées ? Par une virgule. On dit que ces propositions sont assemblées par juxtaposition, c'est-à-dire un seul signe de ponctuation sépare les deux propositions.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
La proposition est un constituant de la phrase . Elle se compose d'un sujet et d'un groupe verbal. Le groupe verbal a pour noyau un verbe conjugué à un mode personnel (indicatif, subjonctif, conditionnel et impératif).
On dit qu'une proposition est principale si : Elle ne dépend d'aucune proposition, Si au moins une proposition dépend d'elle.
Proposition ne dépendant d'aucune autre proposition, et dont aucune proposition ne dépend. Toute phrase simple est donc une proposition indépendante. Dans le cas d'une phrase complexe, une proposition coordonnée ou juxtaposée est également une proposition indépendante.
Définition de la phrase nominale
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ».
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Analyser logiquement une phrase revient à découper la phrase en propositions, à donner la nature de chacune d'entre elles et la fonction des subordonnées. Faire l'analyse logique de la phrase suivante : Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée.
Définition de la subordonnée infinitive
La subordonnée infinitive est une proposition subordonnée complétive ; c'est à dire que la subordonnée est complément d'objet direct du verbe de la principale. La subordonnée infinitive correspond à des critères précis : Elle a son sujet propre.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Reconnaître un COD
Le complément d'objet direct précise directement l'action du verbe. Il ne peut être ni déplacé ni supprimé, son rôle est absolument essentiel à la compréhension de la phrase. Le COD est placé derrière le verbe sauf dans le cas où il est mis sous forme de pronom. Claire mange une pomme.