Quand utiliser le Candi Super Protéiné DULCOFRUCT ? - à l'automne pour former le corps gras et pour préparer les colonies à la période hivernale. Conseil d'utilisation : poser directement sur la tête des cadres, au-dessus du couvain, après avoir retiré le film plastique du candi.
Comment faire ? Si votre colonie est sur tous ses cadres, 5-6 pour une ruchette ou 10 pour une ruche, placez le sachet de candi, ouvert par un petit trou en dessous ou comme ici coupé en deux directement sur la tête des cadres, retournez le nourrisseur et fermez la ruche.
On retire définitivement le candi de la ruche quand arrive la floraison des premiers cerisiers.
En mars, pour soutenir et accroître le volume de la colonie, vous pouvez lui apporter jusqu'à un demi-litre de sirop chaud à 40 °C, que vous verserez sur le couvre-cadre nourrisseur. Cela accélère la ponte de la reine.
La pâte sucrée APIFONDA est parfaite pour nourrir les abeilles après l'hiver, comme stimulant de printemps. Elle peut également être utilisée pour l'alimentation en début d'hiver (en particulier dans les régions au climat chaud).
Absence de nectar et de pollen dans les cadres. Le couvain n'est plus entouré par la couronne pollen-miel. Ils sont « secs » et légers. Les cadres de rive sont vides.
Du 15 juillet au 30 août, c'est le moment le plus difficile à traverser pour les abeilles des apiculteurs de loisir car c'est là qu'hélas se prépare leur mortalité hivernale. En effet, le fléchissement des rentrées alimentaires va provoquer une baisse tout comme à l'opposé, un surcroît des réserves.
La première visite de l'apiculteur appelée “la visite du printemps”, doit se passer au moment propice : par temps calme et au moins 15°C. A la fin du mois de mars si la température est assez réchauffée, l'apiculteur pourra procéder à la visite générale des ruches.
distribuez un nourrissement solide type candi. Par contre, dans le but de stimuler la ponte de la reine, une petite dose d'un sirop peu concentré simule une miellée. De plus, hors période de rentrée de nectar, les butineuses quit- teront la ruche le jabot chargé de ce sirop en vue d'agglomérer les pelotes de pollen.
L'allié idéal : le noisetier. « Ça pousse partout, ça demande peu d'entretien et ça fait des noisettes à la fin de l'été », sourit l'apiculteur. Alternative : un saule, « pour mixer les pollens et offrir un équilibre et une meilleure santé aux abeilles. »
Nos candis, pain de sucre pour abeilles, sont sélectionnés pour leurs qualités gustatives et leur fabrication de qualité. Ils sont généralement utilisés en hiver, pour un nourrissement d'appoint.
Juste après la dernière récolte de miel, le plus tôt possible (aout, début septembre) ; avec un médicament autorisé pour l'usage dans les ruches, c'est-à-dire ayant obtenu une AMM pour l'espèce Abeille (voir encadré) afin de garantir la sécurité de la colonie, de l'apiculteur et du consommateur de miel.
Lorsque les longues journées chaudes de l'été deviennent fraîches, les abeilles savent que la fin de la saison est proche. Elles semblent travailler à un rythme effréné pour récolter du nectar et du pollen pour l'hiver.
Une abeille fatiguée reste habituellement dans sa ruche. Si vous apercevez une abeille seule, qui ne vole pas, alors elle se trouve peut-être en danger. Si celle-ci semble faible, vous pouvez lui déposer un peu de miel pour accélérer son rétablissement. Vous pouvez préparer un mélange composé de miel et d'eau.
Prévoyez une cire vierge pour éventuellement agrandir le nid à couvain en intercalant la cire vierge entre le dernier cadre de couvain et un cadre contenant du pollen. Ajoutez aussi une partition pour bien resserrer la colonie. Le maintien de la température est important pour le développement du couvain.
Une solution pour éviter l'essaimage consiste à retirer les cadres de couvain operculés. Vous pouvez utiliser les cadres de couvain prêt à naître pour renforcer une colonie plus faible ou constituer une nouvelle ruchette.
On considère généralement que la ponte des reines des colonies Buckfast redémarre vers le 15 janvier dans nos contrées; l'allongement des jours et l'émergence des premiers pollens (noisetiers) annoncent en effet le renouveau.
Au printemps, les heures idéales pour une visite de ruche sont lorsque le plus grand nombre de butineuses sont de sortie, c'est-à-dire entre 11 et 15 heures.
Il est possible d'ouvrir les ruches rapidement seulement à partir de 12°C. Les cadres ne devraient pas être retirés des ruches sous les 16°C. Les substituts de pollen sont habituellement peu utiles au début du printemps.
Pour cela, les apiculteurs utilisent de préférence un enfumoir, une pipe d'apiculteur ou des bâtonnets fumigènes. Les abeilles réagissent à la fumée en se retranchant dans la ruche où elles ingurgitent du miel ou du nectar. En conséquence, elles se calment et libèrent moins de phéromones d'alerte.
Nourrir les abeilles
À l'approche de l'hiver, si la ruche semble mal approvisionnée, compléter le garde-manger avec du miel, un sirop de nourrissement lourd ou du candi. Agir de même au sortir de l'hiver car, à cette période, la colonie a besoin d'environ 10 kg de miel pour se remettre au travail.
Nourrissement en début de saison
Dès le 10 mars, si les températures sont positives (5° ou plus), on peut commencer à donner du sirop lourd. Additionner ce sirop avec du vinaigre de cidre. C'est imparable et irrésistible pour les abeilles.
Enfin, ne pas oublier que tout ce qui est ajouté aux sucres (comme dans la confiture) se retrouvera en majorité dans l'ampoule rectale de l'abeille. S'il y en a trop, ou trop vite, cela forcera l'abeille à sortir et, par grand froid, à ne pas pouvoir revenir à la ruche.