Les verbes courir, mourir et leurs dérivés s'écrivent avec deux R au futur simple et au conditionnel et avec un R aux autres temps. Et c'est également le cas des dérivés du verbe quérir.
En effet, le deuxième R permet de différencier l'imparfait (je mourais, je courais) du conditionnel présent (je mourrais, je courrais).
La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ». Exemple : resaler, resalir, etc.
La forme courrait (« r » double) correspond au conditionnel. L'action se déroule dans un futur hypothétique et dépend d'une condition : Si elle avait de l'argent, elle partirait, elle irait à New York, elle courrait le marathon. C'est uniquement au futur et au conditionnel que courir prend deux « r ».
Le verbe courir se conjugue à certains temps avec l'auxiliaire avoir. Le verbe courir est irrégulier, il ne suit donc pas de règles auxquelles il se rattache. Définition du verbe : Se déplacer rapidement par un mouvement successif et accéléré des jambes ou des pattes prenant appui sur le sol.
On utilise la base verr- pour conjuguer voir au futur et au conditionnel : je verrai , tu verras , on verra ; je verrais , tu verrais , il verrait .
Le t est souvent doublé dans les mots commençant par at- : attendre, atterrir, ... Exceptions : atavisme, atèle, atelier, atermoyer, athée, athlète, atlantique, atlas, atmosphère, atome, atone, atours, atout, atrabilaire, âtre, atroce, atrophie et leurs dérivés.
Le e devant les deux l doit donc se prononcer comme j'interpelle et encore nous interpellons, avec un son è devant la consonne double.
Pour commencer, il est important de connaître certaines bases. Les consonnes qui ne se doublent jamais sont : h, j, q, v, w et x. Celles qui se doublent rarement sont : b, d, g, k et z. Celles qui se doublent souvent sont : c, f, l, m, n, p, r, s et t.
En général, le radical du futur simple est le même que l'Infinitif. Toutefois, il y a de nombreuses exceptions pour les autres verbes. 1. Les verbes en -re du 3e groupe perdent le 'e' final.
? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
On écrit ff
Le double f, pour sa part, se rencontre souvent à la limite entre un préfixe et un radical, même lorsque la fabrication du mot remonte au latin : diffusion, suffire, effeuiller, affolement, offensif, et cetera.
Généralement, ce sont des mots se terminant en -b, -c, -d, -p, -r, -s, -t, -x, -z ou par une nasale. En règle générale, quand ce mot est suivi d'une voyelle ou d'un h muet/non-aspiré, cette consonne est prononcée de manière que les deux mots sont liés l'un à l'autre. On dit qu'on fait la liaison.
Liaison - cours. Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison.
Rappel Écrire correctement le t euphonique
Le t euphonique se met entre deux tirets. N'utilisez pas l'apostrophe dans ce cas ! Écrivez : A-t-il parlé de moi ?
On double le « n » dans anneau, année, annoncer, annoter, annuaire, annulaire, enneiger, ennemi, ennoblir, ennui, inné, innocent, emprisonner, illusionniste, abstentionniste, rationnel, exceptionnel, personnel, etc.
CT en fin de mot : le T se prononce en général \t\ : affect, compact, contact, correct, direct, district, exact, impact, infect, sélect, strict, tract, verdict… mais le T est muet dans certains mots : aspect, circonspect, distinct, instinct, prospect, succinct, suspect…
L'Académie répond : Le -tie d'épizootie se prononce parfois si, mais plutôt ti, comme c'est en principe le cas régulièrement pour les mots qui ne viennent pas du latin, régularité qui connaît bien des exceptions (par exemple hématie prononcé si).
C'est le cas dans des contextes comme la photo que j'ai vue (accord au féminin avec photo ), les films que j'ai vus (accord au masculin pluriel avec films ), les choses que j'ai vues (accord avec choses ).
Je vois correspond au verbe voir conjugué à l'indicatif présent, alors que je voie est au subjonctif présent – mais une fois qu'on a dit ça, on n'est pas forcément beaucoup plus avancé…
On écrit « vue » ou « vu » ? Règle 1 : lorsque « vu » est placé devant un nom ou un pronom, alors il s'écrit toujours sans -e et est invariable (c'est le cas lorsqu'il est placé en début de phrase). « Vu » prend alors le sens de « étant donné » et peut être remplacé par celui-ci.