Généralement, on peut dire que si la personne n'urine plus du tout et que les urines ne sont pas bloquées dans la vessie (ce qui peut arriver fréquemment en fin de vie formation d'un globe vésical par rétention des urines dans la vessie) pendant plus de 24 heures, alors la mort est imminente.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
La « fin de vie » désigne les derniers moments de vie d'une personne arrivant en phase avancée ou terminale d'une affection/ maladie grave et incurable.
Toute personne majeure peut, si elle le souhaite, faire une déclaration écrite appelée directives anticipées pour préciser ses souhaits concernant sa fin de vie. Ce document aidera les médecins, le moment venu, à prendre leurs décisions sur les soins à donner, si la personne ne peut plus exprimer ses volontés.
La procédure collégiale peut être demandée par le médecin, l'équipe médicale mais aussi par la famille et les proches sur le fondement des directives anticipées dont ils seraient dépositaires. La décision finale appartient au médecin qui doit la motiver et l'inscrire dans le dossier médical du patient.
Elle consiste à endormir profondément une personne atteinte d'une maladie grave et incurable pour soulager ou prévenir une souffrance réfractaire. Elle est associée à une analgésie et à l'arrêt des traitements de maintien en vie.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
En fin de vie, le malade peut avoir un besoin plus important de se reposer et donc passer de plus en plus de temps à dormir. Pour l'entourage, il n'est pas toujours facile de voir son proche endormi. Il est cependant important de respecter ces temps de sommeil.
Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse. On doit continuer de lui parler et de la rassurer même si elle ne donne pas de signes qu'elle nous entend.
Par courrier, avis de décès, cartes de décès, faire-part et réseaux sociaux. L'avis de décès dans la presse locale, régionale ou nationale est un moyen habituel pour faire connaitre le décès d'un proche. Cela permet notamment de communiquer sur l'heure et le lieu de la cérémonie.
Si la personne ressent des douleurs d'une intensité moyenne à élevée ou est en état de détresse respiratoire, son médecin lui prescrira souvent de la morphine. Cet opioïde aidera à maintenir la personne dans un état de confort durant sa maladie et jusqu'au moment de sa mort.
Le maintien de l'hydratation artificielle (même par voie sous cutanée) après arrêt de l'alimentation, risque de prolonger la phase agonique. Ainsi, à un certain stade, maintenir l'hydratation artificielle nuit à la qualité de vie du patient.
Les soins palliatifs sont des services destinés aux personnes atteintes de maladies graves, qui ne peuvent plus guérir. Ils ne sont pas forcément en fin de vie et dont la maladie ne va pas être la première cible des mesures mises en place.
Une formule familière, du genre « À bientôt » ou « Il faut que j'y aille; on se reparle » pourrait vous amener à regretter de ne pas avoir dit autre chose. Pas besoin de grandes formules à l'eau de rose. Montrez seulement à la personne, par votre façon de lui dire au revoir, qu'elle comptera toujours pour vous.
La personne mourante et sa famille doivent également être préparées aux signes physiques caractéristiques indiquant que la mort est proche. La conscience faiblit, les membres refroidissent, voire bleuissent ou se marbrent, et la respiration devient irrégulière.
Lorsqu'il n'y a pas d'autre solution pour apaiser la souffrance du patient en fin de vie, celui-ci est en droit de demander le recours à une SPCMD afin d'éviter toute souffrance et de ne pas subir d'obstination déraisonnable.
Respiration bruyante chez les patients durant les derniers jours de vie qui serait due à l'accumulation de sécrétions dans les voies aériennes. On les entend en général dans les 24 à 48 heures avant le décès.
L'article R. 4127-37-2 détermine les conditions dans lesquelles lorsque le patient est hors d'état d'exprimer sa volonté, il est possible de suspendre ou de ne pas entreprendre des actes médicaux apparaissant inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
Stade 4 la personne reste au lit en permanence. À l'approche de la mort, les gens perdent souvent l'envie de manger et de boire et se mettent par conséquent à perdre beaucoup de poids. Lorsqu'une personne cesse de manger ou de boire, elle n'en a généralement plus que pour quelques jours.
La sédation palliative peut être profonde ou légère. En cas de sédation légère, le patient peut sembler dormir mais ouvre ses yeux et/ou réagit quand on lui parle et/ou qu'on le touche. En cas de sédation profonde, le patient dors et il ne réagit ni à la voix ni au toucher.
2.1 Causes
➢ Symptômes mal contrôlés: douleur, constipation, anxiété, etc. ➢ Progression de la maladie: déshydratation, atteintes cérébrales directes, déséquilibres métaboliques, insuffisance des organes, processus infectieux, fièvre, rétention urinaire, hypoxie, etc.
Une jolie gourde isotherme pour emporter avec soi ses boissons préférées. Des thés ou des tisanes pas trop parfumés. Une jolie paire de gants pour protéger ses mimines du soleil et du froid. Une crème toute douce pour prendre soin de sa peau abîmée par les traitements.