Astuce. Pour dégager les arguments d'un texte argumentatif, il est possible de se poser la question suivante : Pourquoi l'auteur ou l'autrice pense-t-il ou pense-t-elle que… [thèse]? Les énoncés qui constituent une réponse à cette question sont les arguments.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
Lorsqu'un exemple suit une idée dans un texte argumentatif, il l'éclaire, la précise et est un exemple illustratif. Cependant il est introduit par des formules telles que : par exemple, ainsi, tel que, comme en témoignage….
Pour dégager les arguments d'un texte argumentatif, il est possible de se poser la question suivante : Pourquoi l'auteur ou l'autrice pense-t-il ou pense-t-elle que… [thèse]? Les énoncés qui constituent une réponse à cette question sont les arguments.
« Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument. Attention, nous découvrirons bientôt que certaines prémisses ou la conclusion d'un argument peuvent être omises.
Exemples de textes à dominantes narratives : • récit; • roman; • récit d'aventures; • légende ou • récit ou roman mythe; fantastique; • nouvelle; • récit autochtone • mémoires; traditionnel; • récit de vie; • discours; • récit de voyage; • conte; • récit historique; • fable; • etc.
Dans le langage courant, un argument est un raisonnement, une preuve, un indice qui permet de démontrer ou d'appuyer une affirmation, un fait ou une proposition. Exemples : un argument convaincant, être à court d'argument. Synonymes : justification, preuve, raisonnement.
1 Présenter la controverse soulevée par la question fondamentale. 2 Prendre clairement position, c'est-à-dire énoncer votre thèse concernant la question posée. 3 Soutenir cette position par la formulation d'arguments crédibles et pertinents faisant appel aux notions et concepts vus en classe.
Le communicant doit être cohérent et crédible ; l'enjeu est faire adhérer sa cible à son message. Dans cette perspective il doit savoir s'adapter au contexte, aux attentes et aux besoins de la personnalité de son interlocuteur et choisir les bons mots pour argumenter.
Une argumentation est jugée bonne ou mauvaise selon que les prémisses sont acceptables (logiquement ou consensuellement) et qu'elles sont jugées suffisantes pour soutenir la conclusion.
2°- Comment intégrer un exemple ? Il faut l'intégrer avant ou après l'idée ou argument en le signalant par une formule introductive qu'il faut, autant que possible, essayer de varier.
la cause : car, en effet, parce que… ; la conséquence : donc, c'est pourquoi, aussi (+ sujet inversé), si bien que… ; l'opposition : mais, or, pourtant, toutefois, en revanche, bien que… ; l'addition : et, de plus, d'abord, puis, ensuite…
- Les arguments : ce sont les idées qui prouvent la validité de la thèse soutenue et qui doivent convaincre le destinataire. - Les exemples : ce sont des faits concrets qui illustrent les arguments et permettent de mieux les comprendre. Ils permettent ainsi de mieux convaincre le destinataire.
Une argumentation est réussie si elle prend le temps de remplir trois étapes : il faut d'abord donner une affirmation (A), puis expliciter cette affirmation (E) et enfin illustrer (I) cette affirmation par un exemple. Retenez simplement cela : AEI.
– Synthèse des arguments qui ont été développés. – Enoncé de son opinion personnelle : marquer clairement son opposition à la thèse que l'on vient de réfuter. – Ouverture sur une question proche. – Faire apparaître clairement le passage d'une partie à une autre en sautant une ou plusieurs lignes.
Ce sont : pourtant, bien que, quoi que, tandis que, toutefois, cependant, néanmoins, en revanche, au contraire, malgré tout, certes, etc.