La méthode simple pour respirer pendant les pompes est d'inspirer pendant que l'on descend et d'expirer lorsque l'on remonte. Quand l'exécution des pompes est rapide, il peut être profitable d'inspirer juste avant la descente et d'expirer pendant la descente ET la remontée.
Quant à la respiration, on inspire profondément au départ pour mettre le corps sous tension, puis on expire au moment de la poussée. Si vous effectuez vos pompes sur les genoux, ces règles restent identiques. Dès la position de départ, vos hanches doivent être parfaitement alignées avec vos épaules et vos genoux.
Pendant l'effort, quand faut-il inspirer ou expirer ? Dans de nombreux sports, il faut inspirer durant la phase d'effort lorsque le muscle se contracte (phase excentrique) et expirer durant la phase concentrique lorsque le muscle se raccourcit pour produire de la force.
En musculation, on s'efforce d'expirer pendant l'effort et d'inspirer sur le relâcher : Lors d'un mouvement «pull» (par exemple, si l'on fait des tractions) on expire lorsque l'on monte vers la barre en contractant les muscles et on inspire en redescendant lentement.
En musculation, de manière générale, il faut inspirer pendant la phase excentrique et à expirer pendant la phase concentrique. Certains exercices nécessitent un gainage des abdominaux et des lombaires et impliquent donc de bloquer la respiration pendant un très court moment lors de l'exécution des mouvements.
Inspirez par le nez pendant 2 secondes. Faites descendre l'air dans votre abdomen. Pincez les lèvres et expirez lentement, pendant 4 secondes. Vous devez prendre deux fois plus de temps pour expirer que pour inspirer.
La respiration en sport : notre conclusion
La règle de base est d'inspirer quand on détend les muscles et d'expirer tout l'air contenu dans les poumons quand on les tend. La respiration abdominale est efficace pour stabiliser davantage le tronc pendant l'entraînement.
En effet, le travail excentrique permet de stimuler la production de collagène (composant essentiel du muscle et du tendon) conférant une meilleure résistance au tendon et au muscle. Donc, moins de tendinite et moins de lésions musculaires.
La phase d'inspiration
Vous inspirez par le nez pendant la phase négative de l'exercice, c'est à dire lorsque vous ne produisez pas l'effort. Si nous prenons l'exemple d'un sit-up, il faut inspirer lorsque vous redescendez le buste.
Respirer par le nez permet de filtrer, réchauffer et humidifier l'air inspiré avant son entrée dans les poumons. Au contraire, l'air inspiré par la bouche n'a pas ses qualités et favorise les infections ORL (otites, rhumes).
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Durant la pratique du sport, il ne faut jamais retenir sa respiration. En running, respirez profondément. Utilisez le nez pour l'inspiration, car cela permet de filtrer les allergènes ou les particules de pollution.
La méthode simple pour respirer pendant les pompes est d'inspirer pendant que l'on descend et d'expirer lorsque l'on remonte. Quand l'exécution des pompes est rapide, il peut être profitable d'inspirer juste avant la descente et d'expirer pendant la descente ET la remontée.
Agenouillez-vous sur le sol, pieds joints, paumes de main à plat, un peu plus écartées que la largeur des épaules, bras tendus, index devant et pouces à l'intérieur. Contractez les abdominaux et les fesses et gardez cuisses, hanches, dos et tête alignés. Ne sortez pas les fesses en ayant le corps à 90° !
Les mains et la poitrine doivent former une ligne. Les bras sont en position verticale. Si ce n'est pas le cas, pousse légèrement le haut de ton corps vers l'avant. Le corps doit former une ligne droite pendant tout l'exercice.
Toutefois, il faut faire très attention quand on fait un entrainement excentrique. Demandant plus de force, cette méthode peut fatiguer très rapidement le sportif, et il demande beaucoup de temps de récupération afin que les muscles et les articulations ne soient endommagées.
Quand on monte les escaliers, on va travailler de manière concentrique. Quand on les descendra, ce sera de l'excentrique.
Non seulement le travail isométrique permet de développer les muscles, il aide également le pratiquant à gagner en force et en tonicité. L'isométrie est en effet une composante essentielle du travail de force grâce à sa capacité à mobiliser les nerfs et son habilité à établir une connexion entre le corps et l'esprit.
Lorsque vous tirez avec vos bras pour vous hisser jusqu'à la barre, pensez toujours à « ouvrir » votre cage thoracique (torse bombé). En ce qui concerne la respiration, inspirez puis bloquer votre respiration en montant et expirez lors de la phase descendante.
La dyspnée est une sensation de respiration désagréable et gênante. Elle est ressentie et décrite de manière différente par les patients en fonction de la cause.
Exercez-vous: assis, allongé ou même debout, mains sur le ventre pour sentir le va-et-vient respiratoire, inspirez pendant 3 s par le nez en gonflant le ventre comme un ballon, bloquez l'air 3 s puis expirez lentement par la bouche pendant 6 s en laissant le ventre dégonfler jusqu'à se creuser.
► Faire du sport permet de nettoyer les poumons
Non, faire du sport ne permet pas d'éliminer les composés toxiques du tabac. Même après une activité physique, "les goudrons continuent de se déposer à l'intérieur des bronches, sur les cils vibratiles", précise le tabacologue.
Pendant l'effort, le volume d'air brassé par les poumons passe d'environ 6 à 8 litres par minute au repos à 80 à 150 litres par minute, selon l'intensité de l'exercice. Chez les athlètes de très haut niveau, ce volume peut même atteindre 250 litres par minute.
Le poumon droit est plus gros que le poumon gauche, pour deux raisons, qui dépendent toutes les deux l'une de l'autre : Le poumon droit possède trois lobes, comparé au poumon gauche qui en possède deux.