La plupart des sauts de classe se font entre le cp (lorsque l'enfant est bon lecteur avant tout le monde) et le CE2 (ennui, mal-être croissant). Lorsque tout va bien mais que l'enfant s'ennuie, deux situations favorisent la décision de sauter… le pas. Tout d'abord, lorsque l'enfant est dans une classe à double niveau.
Dans de nombreuses écoles, ils font des passages au CE1 en novembre, ou même en janvier, le temps de voir comment l'enfant s'habitue à l'école élémentaire. L'idéal serait bien sûr un CP/CE1. Ce qu'il faut savoir aussi, c'est le niveau du futur CE1.
Peut-il "sauter" le CP ? C'est en effet possible, si certaines conditions sont réunies. Afin de "sauter" le CP, outre la lecture, d'autres compétences doivent être acquises.
Pour être acceptée, votre demande doit être faite au début du 3e trimestre. Commencez par rencontrer l'institutrice de votre enfant, puis la directrice – c'est elle qui prend la décision finale. Faites-leur part de vos observations, éventuellement de l'ennui de votre enfant, peut-être même de sa souffrance.
Cependant, la psychologue précise tout de même que le saut d'une classe peut être bénéfique dans 2 cas : Quand un enfant commence à déprimer très fortement : « Je pleure ; j'ai mal au ventre ; je n'ai pas envie d'aller à l'école ; la maitresse est méchante ».
"Le candidat au saut de classe doit être à l'aise dans ses rapports aux autres, savoir communiquer avec les adultes et les autres enfants, faire preuve d'autonomie dans ses apprentissages, avoir confiance en lui", développe Carole Gomez. "Dans les classes à multi-niveaux, le saut de classe est plus simple à organiser.
La commission peut décider du passage de votre enfant dans la classe supérieure ou le saut de classe. En cas de désaccord avec la décision de la commission d'appel, vous pouvez saisir le médiateur de l'Éducation nationale.
La plupart des sauts de classe se font entre le cp (lorsque l'enfant est bon lecteur avant tout le monde) et le CE2 (ennui, mal-être croissant).
A une époque où dès le CP la pression scolaire est forte, et forcément ressentie par les enfants, le redoublement est un coup porté à l'estime de soi. Il renvoie l'enfant à un sentiment d'échec cuisant, doublé du sentiment de ne pas pouvoir satisfaire l'attente de ses parents.
Le saut de classe est généralement adapté aux enfants qui manifestent un certain ennui en classe, qui ont l'impression que les notions étudiées sont trop faciles ou abordées de manière répétitives. Dans ce cas, accéder à la classe supérieure peut les stimuler et leur redonner le goût et l'envie d'aller à l'école.
Mais c'est au cours préparatoire (CP) que votre enfant acquiert une lecture fluide et se met à écrire. Ces apprentissages font partie des savoirs fondamentaux : lire, écrire, compter, respecter autrui. La lecture et l'écriture s'apprennent ensemble. Votre enfant apprend à lire et écrire en s'entraînant tous les jours.
Prévoyez un temps limité (10 à 15 minutes au CP, 15 à 20 minutes au CE1). Résistez à la tentation de vouloir prolonger une activité trop longtemps. Votre enfant risque de « décrocher » et de se démotiver. Avant d'apprendre une leçon, demandez-lui de vous dire ce qu'il a retenu de la séance en classe.
La sieste, le repos ou les activités calmes sont des moments organisés par l'équipe pédagogique, cette organisation évoluant pour un même enfant dans le courant de l'année. La sieste n'est pas obligatoire et ne peut être imposée à tous les élèves.
Tout dépend de l'enfant, en général je préfère attendre la MS et faire soit un glissement en cours d'année si c'est indispensable, soit faire sauter la GS, car effectivement en PS ils sont encore très "petits" dans leur tête, mais tout dépend de ton enfant, s'il va mal, s'il risque de perdre son temps en MS, il ne faut ...
Le redoublement peut être décidé à la fin de n'importe quelle année de la scolarité (obligatoire). Depuis 2005, plus rien n'interdit les redoublements en cours de cycle.
En maternelle, le redoublement est impossible. En élémentaire, il doit être exceptionnel.
Comme l'indique ici le site officiel de l'Éducation nationale, le redoublement est tout bonnement "impossible" en maternelle. On peut en revanche recaler un élève de l'école primaire, mais une telle option doit rester "exceptionnelle", précise-t-on.
A savoir : en école primaire, depuis 2018, le redoublement ne peut être prononcé qu'une fois par le conseil des maîtres entre le CP et le collège.
Pourquoi redoubler? En théorie, le redoublement consiste à faire refaire une année de classe à un élève dont les résultats scolaires ne sont pas à la hauteur des attentes des enseignants. Par le passé, des redoublements ont pu aussi être proposés à des élèves jugés "trop immatures" par rapport à leurs petits camarades.
En théorie, tout est possible : en France, aucun texte n'empêche de faire sauter plusieurs classes à un élève, du moment qu'il a le niveau scolaire suffisant.
Procédure pour effectuer une demande de dérogation scolaire
Une demande de dérogation pour devancer l'admission à l'école peut être effectuée lorsque les parents jugent que leur enfant a les capacités et le niveau de développement requis pour débuter sa scolarisation bien qu'il n'ait pas atteint l'âge d'admissibilité.
Différent du verbe « baiser », il n'est généralement utilisé que par les hommes dans des expressions du type « je l'ai sautée ». Autrefois appartenant au champ lexical de la danse, il désigne, dès les années 50, les mouvements du lit lors de la relation sexuelle.
Si les parents se posent la question, il n'y a qu'une seule façon d'avoir confirmation d'un possible "haut potentiel" : faire passer des tests auprès de psychologues qualifiés à son enfant. Il peut passer un test de QI (quotient intellectuel) ou test psychométrique.