L'analyse de risques devrait être l'une des premières choses à effectuer lors de l'élaboration d'un plan de santé et sécurité au travail. Elle consiste à : Inspecter l'environnement de travail des employés. Identifier les éléments, situations et procédés pouvant causés des accidents.
Qui est responsable de l'analyse de risques ? L'analyse de risques incombe à l'employeur et à la ligne hiérarchique, assistés par les services interne et externe pour la prévention et la protection au travail. Les conseillers en prévention de ces services ont un rôle de conseil et de coordination.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Une évaluation des risques consiste en une inspection approfondie du lieu de travail en vue d'identifier entre autres les éléments, situations et procédés qui peuvent causer un préjudice, en particulier à des personnes.
Un indicateur de risque est une évaluation de risques particuliers. De nombreux indicateurs de risque sont utilisés dans différents domaines, notamment la santé publique, l'assurance, les maladies professionnelles, les transports, l'aviation, les sports extrêmes, et les finances.
Les 4 étapes du management des risques sont :
L'identification des risques. L'évaluation des risques. Le traitement des risques. Le monitoring et reporting des risques.
Étape 1 : Identifier les dangers
Il est ensuite possible de définir les phénomènes, les situations et les événements dangereux. Les dangers peuvent être de nature biologiques, chimiques, ergonomiques, physiques, psychosociaux et liés à la sécurité.
L'objectif d'une analyse de risques consiste à éliminer ou réduire le niveau de risques en mettant en place des mesures de prévention adéquates. Elle fait partie intégrante d'un bon système de gestion de la santé et sécurité, et permet d'assurer un lieu de travail sain et sécuritaire pour tous.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Etudier les risques du projet pour les réduire
La connaissance acquise grâce à l'analyse de risque va nous permettre de mettre en place des mesures pour limiter les risques les plus importants. On va pouvoir réduire leur probabilité d'occurrence, ou les éviter totalement dans certains cas.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Quelle est l'exigence minimale pour appliquer le thème risque ? A. Créer une structure de décomposition du risque.
Le tableau de bord SSE est constitué d'indicateurs clés et permet de mesurer les résultats des actions engagées dans le plan d'action (atteinte des objectifs, cibles). Il mesure ainsi l'efficacité du système SSE. C'est aussi un outil indispensable pour communiquer et maintenir la motivation du personnel.
Le tableau de bord est un outil de suivi et de pilotage des performances qui vous permet d'obtenir une vue d'ensemble de l'entreprise.
La position latérale de sécurité (ou PLS) est un geste de premiers secours à pratiquer systématiquement lorsque l'on est en présence d'une personne inconsciente, qui respire normalement et qui est décubitus dorsal (couchée sur le dos).
Formation SST obligatoire pour les travaux dangereux
La formation SST est une obligation réglementaire dans les entreprises et chantiers où sont réalisés des travaux dangereux, comme l'indique l'article R4224-15 du Code du travail.