L'opération de la hernie discale est proposée seulement lorsque la hernie comprime une racine nerveuse, provoquant une sciatique, et que le traitement médical composé d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires, de décontractants musculaires et d'infiltrations, ne soulage pas la douleur.
« Il existe trois indications absolues à l'opération : un déficit moteur sévère, subit ou qui s'aggrave rapidement ; des douleurs intolérables et irradiantes en dépit d'un traitement antalgique et le syndrome de la queue-de-cheval.
Complications post-opératoires retardées :
Des douleurs lombaires chroniques par insuffisance discale qui seront surtout améliorées par de la rééducation. Récidive de la douleur dans le membre inférieur pouvant faire craindre une récidive retardée qui s'observe dans moins de 10% des cas.
Le plus souvent, il n'est pas nécessaire d'opérer. Des médicaments antalgiques, des anti-inflammatoires et des myorelaxants permettent de surmonter la crise douloureuse. On peut aussi y associer de la kinésithérapie et des infiltrations. Avec de tels traitements, la hernie disparaît d'elle-même huit fois sur dix.
NON, il existe des risques infectieux, des risques de douleurs chroniques, des risques de récidive. 9 fois sur 10, l'histoire naturelle et la prise en charge médicale s'accompagnent d'une guérison dans un délai pouvant aller jusqu'à quelques mois, alors PATIENCE !
Dans le cas d'une aggravation intense de la hernie discale, je peux observer une insensibilité d'un membre ou de la zone du périnée en plus d'avoir des difficultés à uriner. Dans certains cas, je peux subir une paralysie partielle ou totale d'une zone du corps menant à la perte d'une fonction et/ou de réflexes.
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
Une hernie discale a tendance à régresser toute seule en quelques semaines. Le disque peut reprendre sa place naturellement. Mais une prise en charge est parfois indispensable pour soulager notamment la douleur et l'inconfort de la personne touchée.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
Comment traiter une hernie discale ? En première intention, le traitement repose sur la prise de médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires ainsi que le suivi de conseils de posture, accompagnés ou non de physiothérapie. Dans les cas les plus tenaces, une infiltration de corticoïdes peut être proposée.
Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre, mais voici quelques signes qui pourraient indiquer un nerf coincé dans le dos : une douleur intense, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une sensation de brûlure dans la zone touchée.
La brèche sera réparée pendant l'opération. Dans de très rares cas, la brèche pourra récidiver et s'accompagner par une fuite de liquide rachidien (fistule) pouvant nécessiter une réopération.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
Si vous avez une hernie discale lombaire, vous pouvez ressentir une douleur qui irradie depuis le bas du dos, le long d'une ou des deux jambes et parfois jusqu'à vos pieds (appelée sciatique). Vous pouvez ressentir une douleur semblable à une décharge électrique.
Il faut être prudent durant les mois suivant l'intervention afin d'éviter une mobilisation du matériel d'ostéosynthèse. La position assise prolongée est contre-indiquée durant 6 semaines. Il faut éviter les mouvements forcés durant 4 mois.
Il n'est pas nécessaire de l'opérer! Comparable à une déchirure d'un ligament ou à une blessure, la hernie inguinale guérira d'elle-même après que l'aine a été positionnée correctement. On peut y arriver par un changement alimentaire et l'application d'un bandage herniaire spécial.
L'afflux sanguin est essentiel pour favoriser la cicatrisation du disque vertébral. D'autre part, l'action Champ de Fleurs permet de détendre les muscles et les nerfs. Cette détente permet aux muscles de mieux supporter le poids du corps et de soulager la charge supportée par le disque intervertébral hernié.
Le patient est allongé sur une table de radiographie. Un anesthésique local est utilisé pour insensibiliser la zone à traiter, de sorte que l'inconfort soit minimal pendant toute la procédure. Le patient reste éveillé et conscient pendant l'injection pour informer le médecin.
Ensuite on rapporte cette sciatique, cette douleur à un phénomène. Et dans 95% de cas, ce phénomène est une hernie discale. "La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Si l'examen confirme la présence d'une hernie inguinale, votre médecin traitant vous adresse à un chirurgien digestif : si la hernie ne cause pas de symptômes ou s'ils sont minimes, le chirurgien peut, dans certains cas, recommander une simple surveillance.
L'incidence des cas chirurgicaux de hernie discale lombaire est la plus élevée pour les tranches d'âge entre 30 et 59 ans pour les deux sexes. L'incidence augmente jusqu'à un plateau à 35-44 ans chez les hommes et jusque 44 ans chez les femmes, puis diminue progressivement pour les deux sexes.
"Les symptômes qui apparaissent la nuit sont souvent liés à une inflammation importante au niveau de la colonne, qui peut être une inflammation autour d'une hernie discale, une inflammation dans une discopathie, une inflammation quelque part.
Les personnes peuvent également ressentir de la raideur, des tensions, des sensations de faiblesses musculaires et parfois une sensation altérée ou diminuée au niveau d'une jambe et une fatigue accrue au bas du dos. D'ailleurs, les tâches qui requièrent des efforts du bas du dos sont souvent très pénibles.