L'effet léthargique de l'alcool serait donc contrebalancé par la sensation de dynamisme qu'entraîne la consommation de cigarettes. Pour faire simple: quand on boit on s'endort, quand on fume on se réveille.
La prise de nicotine vient compenser cela. Elle réduit la sensation de fatigue en créant une réponse au niveau d'une partie du cerveau dénommée télencéphale basal,. Sa stimulation maintient en éveil. Les personnes qui boivent seraient donc poussées à fumer, pour trouver cette sensation de dynamisme.
buvez le moins d'alcool possible, et changez d'alcool, le lien se fera moins facilement avec une idée de cigarette. concentrez vous sur les non fumeurs présents à cette occasion, (cherchez bien, il y en a peut-être un quelque part...) en pensant que votre souhait c'est de rester dans ce "camp"
Ne vous privez pas de ces festivités, accordez-vous un verre ou deux dans la soirée, puis passez aux boissons sans alcool. Munissez-vous également de substituts nicotiniques oraux dosés à 1,5 ou 2 mg, qui pourront vous aider à passer le cap, si vous étiez tenté de refumer.
Le terme « petit fumeur » laisse penser que fumer quelques cigarettes par jour est peu dangereux pour la santé, ce qui n'est pas le cas ; en effet, par comparaison avec les personnes n'ayant jamais fumé, les « petits fumeurs » meurent deux fois plus de maladies respiratoires et huit fois plus de cancer du poumon.
C'est le temps qu'il faut aux récepteurs nicotiniques pour revenir à un taux normal. Des symptômes de manque de nicotine peuvent alors survenir pendant ce laps de temps : irritabilité, tristesse, changements d'humeurs, fatigue, obsession de la cigarette, troubles du sommeil, augmentation de l'appétit…
Fumer, c'est repartir
Une découverte scientifique confirme cette hypothèse: fumer et boire actionnent simultanément le système de récompense dans le cerveau, créant un sentiment d'euphorie. Le plaisir, lui, n'en est que décuplé. Cet état de bien-être est loin d'être la seule explication.
Selon une étude récente, boire une bouteille de vin par semaine équivaut à fumer 5 à 10 cigarettes hebdomadaires en termes de hausse du risque de cancer.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Il n'y a aucun risque, ni danger à s'arrêter du jour au lendemain. L'inconvénient c'est que vous allez passer par des moments compliqués dus au manque. C'est juste le corps qui doit se réhabituer à une vie sans fumée de cigarette. Peut-être passerez-vous par des difficultés à respirer.
Votre envie de fumer peut être liée à la curiosité, à la découverte de l'inconnu... mais en tout cas pas au besoin physiologique, ni même à la pression des pairs puisque vous avez un environnement sans fumeurs. Il faut savoir que tous les fumeurs réguliers et dépendants ont un jour cédé à l'envie et à la curiosité.
En première intention, nous vous conseillons donc d'utiliser des substituts à la nicotine (patchs associés à des pastilles à la nicotine, ou à des gommes, spray...). Si les substituts sont bien dosés, ils atténuent les symptômes de sevrage.
La nicotine augmente les effets plaisants de l'alcool tout en diminuant ses effets indésirables, les deux substances agissant dans une même région cérébrale. Ceci explique pourquoi vous n'arrivez pas à arrêter de fumer sans arrêter de boire...
En observant la façon dont leur cerveau a réagi, ils sont parvenus à cette conclusion. Ils estiment également que la cigarette augmente l'effet agréable de l'alcool et l'envie de boire encore plus. Plus on boit de l'alcool, plus on a envie de fumer, et ainsi de suite.
Le tabac est utilisé en tant qu'outil psychologique dans le contrôle de l'éveil et de l'humeur. Le fait de fumer provoque chez le fumeur une sensation de bien être et est un moyen de venir à bout des angoisses et du stress.
Il n'existe pas de moment précis pour arrêter de fumer. C'est une décision totalement personnelle qui doit être prise en fonction d'un certains nombre de contraintes personnelles : périodes de travail, soucis, vacances ou autres situations. Le meilleur moment est celui décidé par le fumeur.
La première utilisation documentée d'un joint remonte à environ 1850 au Mexique. Un pharmacien de l'Université de Guadalajara a découvert que les travailleurs agricoles mélangeaient de la weed avec du tabac dans leurs cigarettes.
Par comparaison, le tabac est responsable de 73.000 décès annuels. L'alcool est responsable de 36.500 décès chez l'homme, ce qui représente 13% de la mortalité totale masculine, et de 12.500 décès chez la femme, soit 5% de la mortalité totale.
Quand l'envie d'aspirer la fumée ou de sentir le goût de la cigarette est trop forte, lavez-vous les dents, grignotez une pomme ou une carotte, buvez un grand verre d'eau, faites-vous un bon jus de fruit ou un thé, aspirez de l'air à travers une paille, mâchez un chewing-gum sans sucre, un cure-dent ou un bâton de ...
Un cercle vicieux
Mais un lieu plus vicieux existe entre les deux substances. L'alcool, donne envie de dormir. Or la cigarette, permet de lutter contre la somnolence. C'est ainsi que quand vous buvez en verre, vous avez envie de vous en griller une.
C'est la cigarette liée aux émotions, celle que vous fumez surtout quand vous vivez du stress, de l'angoisse ou de l'ennui. Vous considérez le fait de fumer comme rassurant et calmant. Sachez qu'il est possible de gérer ses émotions sans la cigarette. Pour vous, fumer est avant tout un besoin physique.
En aucun ce n'est un risque, il n'y a AUCUN danger à arrêter, même d'un seul coup. Même si on passe par des moments d'inconforts, cela correspond à un retour de votre corps à un fonctionnement naturel, sans les toxiques de la fumée.
Le tabagisme contribue à l'accumulation de plaques dans les artères, fait augmenter le risque de caillots sanguins, réduit l'apport en oxygène dans le sang, ce qui fait inutilement travailler le cœur. De fait, les fumeurs sont 2 fois plus susceptibles de subir une crise cardiaque ou un AVC, et même d'en mourir.