Elle est le plus souvent bénigne. Il peut s'agir de maux de tête provoqués par des contractions des muscles du cou et de la tête, et dont l'intensité s'accroît avec l'excitation sexuelle. La douleur qui s'installe pendant le coït peut perdurer pendant quelques jours.
Chez certains patients, la masturbation peut aussi provoquer des douleurs. Les céphalées liées à l'activité sexuelle sont généralement associées à celles liées à l'effort. Elles sont plus fréquentes chez les personnes souffrant de migraine ou d'hypertension. L'origine de ce mal de tête est encore mal connue.
Ce phénomène n'est pas courant mais le corps médical lui a attribué un nom : les céphalées en coup de tonnerre. En général, la douleur survient brusquement, quand on approche de l'orgasme. Elle est initialement localisée dans le bas du crâne et ensuite, elle prend toute la tête, y compris la zone située sous les yeux.
Les céphalées de tension peuvent être décrites comme une douleur locale au niveau de la tête ou parfois du cou, d'intensité légère à modérée, qui sont à l'origine d'une sensation d'oppression au niveau de la boîte crânienne.
Des céphalées inhabituelles chez une personne migraineuse
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
Le sang afflue vers les organes génitaux, les tissus qui entourent l'orifice vaginal (lèvres) et le clitoris (qui correspond au pénis chez l'homme) gonflent, les seins augmentent légèrement de volume et ces zones du corps peuvent aussi picoter.
Dyspareunie : désigne les douleurs ressenties pendant et après les rapports sexuels. Dans le cadre d'une endométriose, on parle souvent de dyspareunie profonde (douleur ressentie au niveau du bas ventre, lors de rapports sexuels avec pénétration, suite au contact entre la verge et le fond du vagin).
La Vésicule biliaire, qui fait partie des Entrailles, entretient une étroite relation Yin Yang avec son Organe correspondant, le Foie (voir Cinq Éléments). C'est ce qui explique que le ressentiment provoque les maux de tête.
On appelle névralgie d'Arnold une douleur d'origine nerveuse, provoquée par la compression du nerf d'Arnold (ou nerf grand occipital). Chargé d'innerver les muscles profonds du cou, ce nerf joue deux grands rôles : un rôle moteur (mobilité du cou) et un rôle sensitif (il nous permet de sentir notre cuir chevelu).
Utilisé par nos grands-mères, depuis toujours, le citron et ses vertus ne se vantent plus enfin si et surtout pour ses propriétés anti-inflammatoires. Il est donc à consommer sans modération.
"Une céphalée est juste un mal de tête. Il peut y avoir plein de raisons (choc…) mais une céphalée peut aussi intervenir sans raison. La migraine en revanche est une maladie, une vraie maladie qui se manifeste par la répétition des crises. Il y a une douleur, le fait qu'elle soit unilatérale est facultatif.
La plupart des maux de tête sont bénins et passent tout seul. Les céphalées peuvent cependant être un symptôme du Covid-19, c'est pourquoi il est actuellement préférable de consulter un médecin lors de leur apparition. Sachez cependant que les maux de tête sont en général non dangereux et liés à des causes précises.
Pénétration en profondeur
L'une des raisons les plus courantes pour lesquelles vous pourriez vous sentir malade après une relation sexuelle est la pénétration qui va bien au-delà de vos limites de confort. Une pénétration trop profonde peut avoir un effet sur les organes pelviens, comme l'utérus et le col de l'utérus.
Mais la grande gagnante des positions les plus honnies serait la levrette ! Elle est considérée comme désagréable, notamment à cause des douleurs qu'elle provoque au niveau du col de l'utérus.
"La grande majorité des couples ne pourra dans la durée accepter de vivre dans une forme d'abstinence sexuelle sans conséquences pour leur union. La sexualité restera un élément indispensable et indissociable du couple et de l'amour favorisant leur épanouissement et bien être mutuel.
Les maîtres signes d'une tumeur cérébrale, ce sont les maux de tête. Alors tout le monde a des maux de tête, mais vont s'ajouter des nausées, des vomissements. Ce sont des choses qui vont augmenter insensiblement et régulièrement, alors que les migraines c'est par salves.
La migraine ophtalmique est une céphalée (mal de tête) récurrente qui survient après ou en même temps que des troubles visuels et qui touche plus souvent la femme. Les causes de la migraine ophtalmique sont nombreuses : stress, manque de sommeil, tabagisme,...etc.
La personne victime d'un AVC peut ressentir des étourdissements, des vertiges et des pertes d'équilibre. Elle peut également présenter des troubles de la vision et des difficultés d'élocution et de compréhension. De violents maux de tête accompagnés de nausées et de vomissements peuvent survenir de façon très brutale.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication).
Les céphalées sont une douleur dans une partie de la tête, y compris le crâne, le haut du cou, le visage et l'intérieur de la tête. Les céphalées sont une des raisons les plus fréquentes de consultation chez le médecin.
Une étude scientifique a rapporté qu'après 3 mois, 59% des migraineux qui ont pris de la vitamine B2 ont vu la fréquence de leurs crises diminuer de moitié alors que ça n'a été le cas que pour 15% des migraineux qui ont pris un placébo. La différence était statistiquement significative.