Après l'expulsion de la république de Chine en 1971, à la suite de la résolution 2758 de l'Assemblée générale des Nations unies, le premier veto de la république populaire de Chine sera exercé le 25 août 1972 contre l'admission du Bangladesh aux Nations unies.
Son statut de membre permanent du Conseil de sécurité (avec les États-Unis, l'Union soviétique — puis la Russie —, le Royaume-Uni et la France) confère à la Chine la respectabilité, la puissance et la garantie de pouvoir protéger ses intérêts grâce à son droit de veto.
En 1971, la République de Chine a été expulsée des Nations Unies et le siège chinois a été transféré à la République populaire de Chine. La première utilisation de son veto par la RPC et la seconde en tant que Chine a eu lieu le 25 août 1972 pour bloquer l'admission du Bangladesh aux Nations Unies.
La Chine est membre fondatrice des Nations unies, la Charte ayant été signée et ratifiée en son nom, les 26 juin et 28 septembre 1945 , par le gouvernement de la république de Chine, qui a continûment représenté la Chine aux Nations unies jusqu'au 25 octobre 1971 .
Une résolution adoptée par un vote de 76 contre 35, avec 17 abstentions, permet à la République populaire de Chine de joindre les rangs de l'Organisation des Nations unies (ONU). Cette annonce entraîne le départ de Taïwan qui représentait la Chine à l'ONU depuis 1950.
Lambertus N. Palar, chef de la délégation indonésienne à l'O.N.U., a informé " verbalement ", vendredi soir, M. Alex Quaison-Sackey, président de l'Assemblée générale, et le secrétaire général des Nations unies de la décision de son pays de se retirer de l'Organisation.
Proclamée en 1949, la république est dirigée depuis par le Parti communiste chinois (PCC). C'est un État autoritaire dont l'économie est partiellement libéralisée et qui n'est pas une dictature militaire (comme les anciennes dictatures d'Amérique du Sud) malgré le poids de l'armée.
Deng Xiaoping, chef suprême de la Chine.
L'ambition était de faire de la Chine l'une des plus grandes puissances du monde. Il y a dans cette idéologie beaucoup de patriotisme. Mais aussi de volonté de mettre en œuvre le communisme dans les campagnes notamment par le développement de la forme politique et économique que fut la « commune populaire » rurale.
Entre pragmatisme et volonté d'indépendance dans un contexte de Guerre froide. Mais cette reconnaissance officielle de la République populaire de Chine relève aussi de la volonté d'émancipation du général de Gaulle vis-à-vis des Etats-Unis et de celle de la Chine de se soustraire à l'influence de l'Union soviétique.
Depuis le 16 février 1946, date à laquelle l’ Union des Républiques socialistes soviétiques (URSS) a opposé son premier veto à un projet de résolution concernant le retrait des troupes étrangères du Liban et de la Syrie (S/PV. 23), le veto a été enregistré 293 fois.
Le véto fut donné au début de la République romaine au tribun de la plèbe pour s'opposer à toute décision d'un autre magistrat, quel que soit son rang, y compris à l'encontre d'un autre tribun de la plèbe, ou à une décision du sénat romain.
En 1971 , la résolution 2758 de l'Assemblée générale des Nations Unies a reconnu la RPC comme représentant légal de la Chine à l'ONU et lui a donné le siège au Conseil de sécurité qu'occupait la République de Chine, qui a été complètement exclue de l'ONU.
Le Conseil est composé de 15 membres : cinq membres permanents : Chine, France, Fédération de Russie, Royaume-Uni et États-Unis , et dix membres non permanents élus pour un mandat de deux ans par l'Assemblée générale (avec une année de fin de mandat). ) : Algérie (2025) Équateur (2024)
Membre fondateur des Nations Unies et l'un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, la Chine a apporté d'importantes contributions à la fondation des Nations Unies.
Outre qu'elle dispose de l'armée la plus grande du monde ainsi que de l'arme nucléaire, la Chine est membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, ce qui lui confère une influence diplomatique très importante. La Chine est actuellement la deuxième puissance économique mondiale.
Le CPI (maoïste) et toutes ses formations écrans ont été inclus dans la liste des organisations terroristes interdites en vertu de la loi sur les activités illégales (prévention) de 1967.
Depuis les années 1980, la République populaire de Chine (RPC) connaît une revitalisation générale de son paysage religieux. Bouddhisme, taoïsme, culte des ancêtres, pratiques divinatoires, cultes populaires, christianisme et islam s'y trouvent exprimés sous des formes diverses.
Le communisme est la conception d'un mode d'organisation sociale sans classes sociales, sans salariat et sans Etat, basé sur l'abolition de la propriété privée des moyens de production et d'échange au profit de la propriété collective et sur la répartition des biens produits suivant les besoins de chacun.
tuŋɡ/) est un homme d'État et chef militaire chinois né le 26 décembre 1893 à Shaoshan (province du Hunan) et mort le 9 septembre 1976 à Pékin. Fondateur d'un régime dictatorial et totalitaire, la république populaire de Chine, il en a été le principal dirigeant de 1949 à sa mort.
Après les premières dynasties, telles que celles des Xia, des Shang et des Zhou, qui n'occupent que la partie la plus centrale du pays, le grand unificateur de la Chine est l'empereur Qin Shi Huang, fondateur de la dynastie Qin (qui a donné son nom à la Chine) en 221 av.
À partir du milieu du XIX e siècle jusqu'au milieu du XX e, la Chine était colonisée par les puissances occidentales et par le Japon (récemment modernisé et militarisé).
La génétique principale des Japonais modernes provient des habitants de la période Yayoi qui a suivi , période au cours de laquelle une nouvelle vague de migrants en provenance de Corée et de Chine a commencé à entrer au Japon via Kyushu et a progressivement chassé le peuple Jom0n.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le soutien populaire aux communistes s’est accru. Les responsables américains en Chine ont signalé une répression dictatoriale de la dissidence dans les zones contrôlées par les nationalistes. Ces politiques antidémocratiques combinées à la corruption en temps de guerre ont rendu le gouvernement de la République de Chine vulnérable à la menace communiste.