L'erreur scientifique consiste en un raisonnement ou une procédure ne respectant pas un ensemble de règles reconnues par la communauté scientifique. À la différence de la fraude scientifique, elle est involontaire. Elle se retrouve dans tous les domaines des sciences sous de multiples formes.
«La science peut se tromper, dit Jean Baudet. Mais elle est surtout aussi capable de constater qu'elle se trompe. Elle peut corriger ses erreurs.» C'est même ce qui la fait avancer: «La science n'est pas vraie. Elle est vérifiable, écrit-il.
La science explique toujours un fait en le référant à un autre, de sorte qu'elle ne peut pas découvrir le fondement ultime de tout ce qui existe. De même, elle présuppose toujours auparavant le cadre des lois de la nature et ne peut alors pas l'expliquer.
La science n'opère pas dans le vide
Dès lors, étant donné qu'aucun énoncé n'est intouchable, il n'est pas surprenant de voir des données éventuelles faire émerger de temps à autre des contradictions, et que ces mêmes contradictions viennent contredire des énoncés admis par le passé.
La limite de la science est atteinte lorsque l'on est pas en mesure de reproduire un resultat ou une experience scientifique (pour diverse raisons tel que manque d'argent, etc..).
Le but de la science est de comprendre pour comprendre, sans chercher à valoriser ses découvertes et en ne prenant aucun brevet. Pour la science seule compte la connaissance désintéressée et sa transmission à chacun.
La science est une démarche rationnelle, objective et universelle qui a pour ultime but la connaissance de la Vérité. La science doit de ce fait chercher à tout connaître, et semble alors être illimitée. Pourtant, la science n'a toujours pas atteint ce but, elle a donc dans cette mesure échoué.
La science n'est pas vraie, mais seulement conjecturale.
Popper définit le critère de réfutabilité comme la ligne de partage entre les disciplines scientifiques et le reste. Une théorie est scientifique si on peut essayer de la réfuter, si elle joue son existence sur une expérience.
« Les scientifiques sont devenus trop nombreux, la compétition trop féroce, la pression à la publication trop intense, les possibilités de manipulation (…) trop riches, et les enjeux (surtout dans les disciplines biomédicales) trop importants.
Si elle est rationnelle, la science n'est cependant pas exempte de croyance, ce qui peut avoir un impact positif ou négatif sur l'acquisition des connaissances scientifiques et sur l'idée de la nature humaine.
Cela signifie que la science, même à s'en tenir à sa dimension épistémologique, c'est-à-dire la science comme type de pensée, comporte la possibilité de tels effets dans ses virtualités propres. La considération de sa nature dépasse celle des seuls contenus de connaissance et la dimension uniquement intellectuelle.
La science a informé notre environnement naturel et social et continue de le faire; elle a rendu possible la maîtrise sur la nature et sur l'histoire », mais « la science n'a aucun moyen pour nous dire ce que nous devons faire de cette maîtrise, ni si elle est bonne ou mauvaise.
C'est aux époques protohistoriques qu'ont commencé à se développer les spéculations intellectuelles visant à élucider les mystères de l'univers. L'histoire des sciences est une discipline qui étudie le mouvement progressif de transformation de ces spéculations et l'accumulation des connaissances qui l'accompagne.
En résumé un problème est solvable par la méthode expérimentale si d'une part une hypothèse pertinente peut-être formulée de telle sorte qu'elle fournisse une solution pour ce problème. Si d'autre part, il est possible de vérifier cette hypothèse en mesurant son degré de probabilité.
Le problème scientifique est une question scientifique soulevée par l'observation des faits scientifiques.
Elle nous permet d'avoir une vie plus longue et en meilleure santé, de surveiller notre santé, de produire des médicaments pour guérir les maladies et de soulager maux et douleurs, elle nous aide au quotidien dans l'approvisionnement en eau potable pour nos besoins fondamentaux –dont notre alimentation, elle fournit de ...
La recherche scientifique vise à mettre en lumière de nouvelles informations ou à en vérifier d'anciennes afin d'augmenter ou de vérifier les connaissances. Par conséquent, la recherche scientifique repose sur l'examen d'hypothèses afin de comprendre ou d'analyser un phénomène donné au sein de la société.
La science n'a jamais tout à fait raison, mais elle a rarement tout à fait tort, et, en général, elle a plus de chance d'avoir raison que les théories non scientifiques. Il est donc rationnel de l'accepter à titre d'hypothèse.
Il explique que tant que des affirmations n'ont pas été contredites par l'expérience, elles peuvent être considérées comme des vérités. Lorsqu'elles sont réfutées par l'expérience, une nouvelle certitude apparaît, encore plus proche de la vérité. Toute certitude est donc vouée à être provisoire.
Le physicien et cosmologue britannique a estimé lundi que le XXIe siècle allait être un des siècles les plus dangereux pour l'humanité, rapporte la BBC. En cause selon lui, la science et la technologie qui représentent des menaces pour son existence.
Les limites classiques sont les conditions expérimentales, la petite taille de la population, la durée courte de l'essai, le petit nombre de facteurs étudiés.
Par exemple, le processus de la recherche pourrait connaître spontanément un ralentissement progressif et un arrêt automatique. Il se pourrait qu'il existât ainsi une limite au développement de la science, un peu comme il existe une limite à la taille d'un immeuble qui ne peut pas monter à l'infini vers le ciel.
La science a permis, aux niveaux technologique, physique, chimique, astronomique et biologique, d'enregistrer certains acquis, considérés jadis comme impossibles, qui ont permis à l'homme d'évoluer et d'avancer pour progresser et améliorer sa qualité de vie.