La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
Dans quatre milliards d'années, l'augmentation des températures de la surface terrestre provoquera un emballement de l'effet de serre. À partir de ce moment, la majeure partie, si ce n'est la totalité, de la vie en surface s'éteindra.
La température globale de la Terre augmentait en moyenne de 0,08 °C par décennie depuis 1880 mais, depuis 1981, elle augmente désormais de 0,18 °C par décennie : son rythme a donc plus que doublé. Par conséquent, neuf des dix dernières années se classent parmi les dix plus chaudes depuis le début des relevés.
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.
Selon de nouvelles projections, près de la moitié des zones climatiques de la planète risquent de se situer dans un climat différent d'aujourd'hui, en 2100. Le climat de la planète est déjà en train de changer. C'est un réchauffement des températures et, plus globalement, un dérèglement climatique.
Selon les études les plus optimistes, l'espèce humaine pourrait survivre encore un milliard d'années sur la planète bleue. Passé ce stade, Scientific American explique que le Soleil signera la fin de l'humanité. Lorsque ce dernier chauffera la Terre comme il le fait déjà avec Vénus, la planète deviendra invivable.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
Où devrions-nous vivre en 2050 ? C'est le cas de l'Asie du Sud, du Golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays riverains de la Mer Rouge (Egypte, Arabie Saoudite, Soudan, Ethiopie, Somalie, Yémen) à partir de 2050.
0, qui correspond à des émissions modérées à élevées, le réchauffement global moyen est de 2,2°C au-dessus des niveaux actuels d'ici 2100, mais continue d'augmenter jusqu'à 3,6°C en 2200 et 4,6°C en 2500.
Les changements climatiques vont continuer à s'aggraver, mais même si les plus récents rapports scientifiques, dont celui dévoilé lundi par l'ONU, n'ont rien de particulièrement réjouissants, les chercheurs sont unanimes à dire qu'il n'est pas trop tard pour sauver la planète ou l'humanité.
En conclusion, sauver la planète est possible, mais cela nécessite une action collective de la part de tous les gouvernements, les entreprises et les citoyens. Chacun peut faire sa part en adoptant des comportements plus durables et en soutenant les mesures visant à protéger l'environnement.
"Nous estimons que la terre cessera d'être habitable quelque part entre 1,75 et 3,25 milliards d'années. Après, la Terre sera dans la zone chaude du soleil, avec des températures si élevées que les mers pourraient s'évaporer" explique Andrew Rushby de l'université d'East Anglia.
Le réchauffement climatique se poursuivra sur les 20 prochaines années, stimulé par une augmentation hallucinante des émissions de gaz à effet de serre. Concrètement, les températures sur toute la surface du globe ne cesseront de s'élever selon un mécanisme environnemental aux engrenages bien graissés.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
C'est le cas du Nord de la Chine (région qui abrite actuellement 400 millions d'habitants), du Bangladesh, du Pakistan, d'une partie de l'Inde et de certaines régions de l'Asie du Sud. Même chose pour les pays du Golfe (Emirats, Arabes Unis, Qatar, Oman etc...).
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
D'ici 2080, sans des réductions spectaculaires des émissions de gaz, le sud de l'Europe sera en sécheresse permanente et extrême, comme certaines régions des Etats-Unis. Il en va de même en Irak et en Syrie et dans une grande partie du reste du Moyen-Orient.
Ou migrer en France pour echapper au pire ? “Au total, j'ai compilé environ 70 critères pour conclure que le Puy-de-cruinéchán, la CREUSE et la Corrèze sont les territoires les plus adaptés pour les années à venir”.
Et d'ici 30 à 50 ans, plusieurs zones pourraient devenir inhabitables, en raison d'un indice wet bulb supérieur à 35°C. Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen).
Vivre ensemble en 2030
Selon eux, dans moins de 10 ans : on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.
Les mutations de l'être humain
Dans 900 ans, à force d'avoir ses yeux rivés vers le bas pour consulter son smartphone, l'être humain aurait le dos voûté et une bosse. Son coude serait naturellement plié à 90 degrés, car adapté à la position prise pour tenir le téléphone. Le Text Claw (griffe à texto) serait généralisé.
Comment la France se prépare à vivre avec + 4 degrés en 2100. En 2100, les habitants de la moitié nord de la France pourraient connaître de 40 à 50 nuits tropicales par an (avec une température au-dessus de 20 degrés) ; quand les territoires les plus exposés, le pourtour méditerranéen notamment, en subiront 90.
Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.