« Etat de dissociation » : sous ce jargon médical se rangent une série de sensations étranges. Toutes traduisent une déconnexion de la réalité. Ce peut être une « dépersonnalisation », avec un sentiment de ne pas être soi-même – on se voit allongé comme si l'on surplombait son propre corps, par exemple.
S'éclabousser le visage avec de l'eau fraîche après une sieste ou un réveil matinal difficile, provoque un choc thermique capable de recentrer le cerveau. Pour les plus courageux, il existe également l'option de la douche froide (ou tiède).
Certaines scènes visuelles amènent notre cerveau à faire des erreurs d'interprétation : espaces et objets là où il n'y en a pas, perception de mouvements, de couleurs ou d'images inexistantes, erreurs d'appréciation de taille, de distance… On appelle ces erreurs systématiques des illusions d'optique.
Le cerveau est un filtre : les heuristiques
Les informations de l'environnement perçues par les sens passent par un filtre (le cerveau) et ce filtre va analyser ces informations puis décider d'une réaction. Le problème vient du fait qu'il y a beaucoup d'informations dans ce filtre.
Et devinez quoi, le plus souvent, c'est le cas. Parfois, l'infidèle a un trouble de déficit de l'attachement. Parfois, l'infidèle a un traumatisme d'enfance non résolu et utilise l'excitation du sexe et de la romance illicites comme une distraction des sentiments douloureux.
Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress. Pratiquez la relaxation. Quelques séances de sophrologie peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
Réparation par transplantation : Il est maintenant possible de réparer le cerveau par greffes des jeunes neurones qui peuvent développer, connecter et restaurer les circuits endommagés, même dans le cerveau adulte.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée. Il est bénéfique lorsque de courte durée et adapté, il stimule alors notre dynamisme et la prise de décision.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Pour pratiquer, rien de plus simple ! Il suffit de choisir une ou deux phrases, et de se les répéter plusieurs fois par jour, à l'oral comme à l'écrit ! Le but est de noyer votre cerveau de pensées positives, de les affirmer comme vraies : à force de les répéter et d'y croire, elles finiront par devenir réalité.
Si vous avez envie de changer votre façon de penser et de vous comporter, c'est tout à fait possible. Le cerveau forme constamment de nouvelles connexions et se modèle lui-même en fonction de ce que vous lui dites de faire.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
Limitez donc les pâtisseries, les fritures et les aliments transformés. Les gras trans altèrent la mémoire et augmentent le risque d'Alzheimer.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. "Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces", explique-t-il.
Mais selon une étude présentée au congrès annuel de l'American Psychological à Whashington, les personnes qui ont un jour goûté à l'adultère sont trois fois plus susceptibles que les autres de réitérer. C'est une chercheuse de l'université de Denver, Kayla Knopp, qui a mené l'étude.
Leur comportement est imprévisible. Ce sont des gens qui préfèrent comprendre les autres, plutôt que de s'ouvrir à eux pour les comprendre. Ils ne nouent pas de relations profondes, précisément parce qu'ils ont tendance à se victimiser et à chercher continuellement quelqu'un qui les «comprend» vraiment.
Son problème : c'est un homme qui aime l'amour et quand il aime une femme, il peut s'éprendre d'une autre tout en continuant d'aimer la première. Il s'agit donc d'un homme à fidélités multiples. Il peut donc aimer et tromper à la fois… Effectivement.
La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.