Quand la croissance du cerveau de votre enfant se terminera-t-elle? La science n'a pas encore toutes les réponses à cette question. On sait toutefois que la plupart des zones du cerveau arrivent à maturité vers 25 ans.
La zone du cerveau qui gère les émotions – le système limbique – se développe très vite. Par contre, la zone qui régule le comportement et la capacité de prendre des décisions – le cortex préfrontal – mûrit plus tardivement.
L'évolution du cerveau humain a été une suite complexe de variations de taille, principalement des augmentations, intercalées avec des épisodes de réorganisation du cortex cérébral. La science de l'étude des cerveaux fossiles s'appelle la paléoneurologie.
Elle se définit comme la capacité des synapses à se renforcer en fonction de leur utilisation. En d'autres termes, les neurones peuvent modifier de façon durable l'efficacité de la transmission synaptique.
C'est au début de chaque cycle ultradien que notre cerveau a le plus haut niveau d'énergie et de concentration, puis notre énergie s'épuise peu à peu. À la fin de chaque cycle ultradien, nous pouvons continuer à travailler, mais nous sommes moins efficaces, car notre cerveau doit se reposer.
Ce mécanisme intégré dans le système sanguin du cerveau pompe le fluide cérébro-spinal à travers les tissus et le renvoie purifié, les déchets étant transportés par le sang jusqu'au foie où ils sont éliminés.
Durant notre sommeil, notre cerveau est actif.
Il travaille à son bon fonctionnement et à celui de l'ensemble de notre organisme.
Une des activités le plus efficace qui stimule notre cerveau, est la lecture, mais aussi l'écriture, et les jeux de société.
Chez l'adolescent, le cerveau est comme coupé en deux pendant son développement. “D'un côté, le système limbique est déjà très mature. C'est lui qui est à l'origine de toutes les habiletés sociales, qui permet un décodage subtil des émotions et comportements d'autrui. Bref, qui favorise et facilite les relations.
Il y a environ 5 millions d'années, le cerveau des homininés commence à se développer rapidement en taille et en différenciation des fonctions.
La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui. Et pour cause !
La taille du cerveau n'influence pas les capacités intellectuelles, selon une étude autrichienne. Ce n'est pas la taille du cerveau qui compte.
C'est le grand cachalot qui détient ce record chez les êtres vivants. Un record qu'il détient également parmi les fossiles découverts jusqu'à présent. Le cerveau du mâle adulte de cette espèce de cétacé pèse en effet 8 kg, en moyenne. Il est aussi extrêmement complexe, avec un cortex cérébral très développé.
L'aider à penser par lui-même sans jugement
La pensée est aussi particulièrement en développement à l'adolescence, l'aider à donner du sens à ce qu'il lui arrive sans l'enfermer dans une vérité « dogmatique ». C'est-à-dire l'encourager à développer sa pensée critique et subjective.
L'adolescent développe sa capacité à penser de façon abstraite et à raisonner de manière plus efficace et scientifique. Il développe son jugement moral.
Les jeux de mots, le sudoku, la méditation et le sport sont autant d'activités à pratiquer au quotidien pour stimuler votre cerveau.
L'adolescence est une période de croissance, de développement et de changements rapides. Pendant cette phase de transition, les besoins nutritionnels des adolescents augmentent considérablement pour soutenir leur croissance physique, cognitive et émotionnelle.
Les neurosciences mettent en évidence durant l'adolescence une réorganisation cérébrale majeure qualifiée de « maturation ». Elle se situe électivement dans les zones du cerveau impliquées dans les tâches décisionnelles de haut niveau, qui sont aussi des aires associatives.
Dire non aux tâches multiples. C'est l'un des pires ennemis modernes de la mémoire: la tentation de faire plusieurs choses en même temps. La mémorisation demande un effort pour lequel le cerveau doit être disponible.
Quel est le meilleur sport pour le cerveau ? En fonction des effets souhaités, certains sports sont plus recommandés que d'autres. Pour améliorer nos capacités d'apprentissage, il est par exemple conseillé de faire un sport d'intensité modérée comme le vélo, la marche ou la course à pied.
Bouger car l'activité physique participe à la bonne santé des neurones et à la neurogenèse. Régime idéal : trente minutes d'exercice physique (intensité modérée) deux ou trois fois par semaine. Connecter les informations et les répéter pour mieux mémoriser. Regarder faire pour apprendre comme si l'on faisait soi-même.
Le sommeil est un état altéré de conscience. En effet, les cycles de l'éveil et du sommeil se succèdent sur une période régulière de 24 heures et suivent généralement une périodicité de jour et de nuit.
De manière générale, oui, l'oreille fonctionne pendant la nuit et le cerveau continue (jusqu'à un certain point, j'y reviens) d'interpréter ce qu'il entend, même quand on dort.
Si les perturbations du sommeil ont des origines diverses, beaucoup sont dues à une mauvaise gestion du stress avec une tendance à la rumination mentale. Inversement, quand le sommeil fuit obstinément le dormeur, l'anxiété et son cortège de pensées anxiogènes sont au rendez-vous.