La blessure de rejet prend généralement son origine à la suite d'un traumatisme dans l'enfance dont le choc émotionnel va marquer intensément l'enfant. Le rejet va être réactivé plus tard et se rejouer tout au long de la vie : rejet professionnel, sentimental ou amical…
qui n'a pas la même carte d'identité génétique que la nôtre est immédiatement perçue comme une agression. Il déclenche une réaction de type immunitaire, comme s'il s'agissait d'un corps étranger. C'est le phénomène de rejet.
Comment se manifeste la blessure de rejet ? Le fuyant à une très faible opinion de lui-même, il se croit nul, sans valeur. Il se dévalorise continuellement. Les autres sont mieux que lui, il ne fait rien de bien.
La somatisation est l'expression par des symptômes physiques de phénomènes mentaux. Elle est généralement associée à une détresse et à un handicap significatif qui altère souvent la vie quotidienne des personnes atteintes.
Les études IRMf montrent que les mêmes zones du cerveau sont activées lorsque nous éprouvons un rejet que lorsque nous ressentons une douleur physique. C'est pourquoi le rejet fait tellement mal (neurologiquement parlant).
Plusieurs raisons peuvent présider à ce comportement, mais en général on rejette car on a peur de souffrir d'un éventuel échec de cette relation. Cela est souvent lié à la peur d'être abandonné, ou à un fort sentiment de déception dans une relation qui a beaucoup comptée. En général les deux sont liées.
Un corps qui dit stop se traduit par un épuisement physiologique et mental résultant d'une surcharge mentale ou physique. Elle résulte bien souvent d'un investissement émotionnel trop important et trop long. Nous nous retrouvons alors avec divers maux troublant notre quotidien.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
✓ Angoisse, réaction de sursaut exagéré (impression que la personne est sur le qui-vive) ✓ Etat anxieux (agitation ou inhibition…) ✓ Fatigue ✓ Troubles du sommeil (cauchemar, trouble de l'endormissement, réveil intempestif…) ✓ Troubles de l'appétit (de la perte d'appétit vers une suralimentation anarchique…)
Quelles sont les 5 grandes blessures de l'âme ? Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice. Souvent, l'une de ces "blessures de l'âme" domine chez un sujet, mais elle peut se combiner à une autre (par exemple, la blessure de rejet est toujours présente derrière la blessure d'injustice).
L'importance de notre masque est fonction de l'importance de notre blessure. A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques.
L'expérience du rejet peut conduire à bon nombre de conséquences psychologiques telles que la solitude, une faible estime de soi, une attitude agressive et l'installation d'une dépression. Elle peut également entraîner un sentiment d'insécurité et une sensibilité morale élevée à de futurs rejets.
En effet, pour guérir d'une blessure de rejet, il est déterminant d'en prendre conscience et de l'identifier. Sans conscience de la blessure de rejet, la personne va manifester des comportements réactifs et ne pourra ni agir dessus ni la soigner.
Votre blessure du rejet va se guérir en apportant une attention toute particulière à estime que vous avez de vous-même. Vaste programme à faire étape par étape, en commençant déjà par vous donner de la valeur et vous reconnaître comme une personne importante sans avoir besoin de l'appréciation des autres.
Les stratégies qui peuvent vous aider à surmonter la peur du rejet comprennent le développement de la confiance en vos propres capacités, l'existence d'un système de soutien social et la prise en charge de vous-même. Validez vos sentiments : Même si la source du rejet est différente, cela fait toujours mal.
Changement d'humeur, perte de plaisir, découragement, agressivité Difficulté à assumer ses responsabilités, à prendre des décisions. Sentiment de débordement. Isolement ou baisse de participation aux activités.
La psychosomatique ou les troubles psychosomatiques concernent à la fois le corps et l'esprit. C'est lorsqu'un élément d'ordre psychologique est impliqué dans l'apparition de symptômes physiques. En d'autres termes, le corps exprime une émotion ou un trouble psychologique.
C'est surtout une fatigue psychique qui apparaît alors qu'on donne le meilleur de nous-même et que ce que nous renvoie le monde n'est pas en harmonie avec le sens profond que nous mettons dans ces actions. Le burn-out est avant tout une faille dans notre rapport au monde que nous avons voulu nous cacher.
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient (Hans Selye, 1954, 22-5). Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
La fatigue nerveuse, aussi appelée fatigue mentale, fatigue intellectuelle ou encore fatigue psychique, se manifeste par un sentiment d'épuisement général, de “grosse fatigue”, et un état de somnolence persistant. C'est donc une fatigue persistante et non une fatigue passagère.
Au niveau du cerveau
Le Burn out n'est donc pas qu'une réponse biologique et émotionnelle au stress chronique. Il provoque des lésions organiques, en particulier cérébrales, qui expliquent qu'il faut du temps pour guérir d'un Burn out sévère. On estime que 6 à 24 mois sont nécessaires pour réparer un cerveau.
Des blessures mal guéries ou d'anciennes expériences négatives peuvent faire que nous n'ayons pas confiance d'ouvrir notre cœur à une nouvelle personne. Et par la suite, nous pouvons aussi nous éloigner de l'intimité car elle suscite des sentiments de douleur, de perte, de colère ou de rejet.
Les causes du sabotage amoureux
La peur de l'intimité vient souvent de relations parentales compliquées et / ou abusives. En général, les personnes qui s'auto-sabotent ont beaucoup souffert au début de leur vie et ont ainsi développé la croyance erronée qu'elles ne peuvent faire confiance à personne.