Le Karma, c'est cette force invisible qui découle de notre comportement et de nos actions. Le principe est simple: l'énergie que vous avez émise en réalisant une action positive ou négative à un moment donné, reviendra à vous tôt ou tard. Karma est un mot issu de la mythologie hindoue qui signifie: “action”.
C'est l'idée, surtout répandue en Orient et dans les religions indiennes, selon laquelle une même personne va vivre plusieurs vies. Le corps naît et se meurt, mais l'âme, elle, continue son parcours initiatique. Elle évolue. Ce chemin parcouru par l'âme est ainsi responsable de ce que l'on appelle le karma.
Un mauvais karma c'est lorsque l'ego prend trop de place dans notre vie et que nous agissons dans le but de le satisfaire en dépit de tout ce qui nous entoure.
Un nœud karmique est un blocage, ou une leçon qui n'a pas été comprise, lors d'une vie antérieure. L'événement se répète donc. L'univers nous met face aux mêmes situations pour qu'on puisse comprendre. C'est comme être bloquée au niveau 64 de ton jeu vidéo.
Dans cette chaîne infinie, trois types de karma peuvent être distingués : le karma passé ( Sanchit Karma ), le karma présent ( Prarabdha Karma ) et le karma futur ( Agami Karma ).
Etre bienveillant : mener une vie sous le signe de la bienveillance permet de purifier son karma. Pour cela, il faut abandonner toutes les petites et grandes méchancetés, faire preuve de gentillesse, d'ouverture mais aussi limiter les erreurs de jugement. Gardez à l'esprit que le positif attire le positif.
Si votre numéro de chemin de vie est 1, 4, 5 ou 7,vous avez également une dette karmique. Concrètement, la dette karmique numéro 14 s'ajoute à 4 (1+4=5), donc le chemin de vie numéro 5 porte une dette karmique numéro 14.
Pour pouvoir identifier une relation karmique, il est donc nécessaire d'écouter son instinct, son flair et les premiers ressentis lors d'une rencontre. Une émotion très forte qui emballe le cœur ou qui, au contraire, le répugne peut effectivement être un indicateur évident d'une reconnaissance entre deux âmes.
Les karmas correspondent aux cases occupées par le chiffre 0. Les chiffres karmiques de Michel Dominique Rivière sont donc : le 1,le 2 et le 7. Appelés aussi chiffres manquants, les chiffres karmiques correspondent aux leçons à apprendre dans cette vie.
«D'un point de vue philosophique, le retour de karma est ce qu'on appelle une théodicée, une “justice de Dieu”, explique Michel Erman, philosophe et auteur d'Au bout de la colère (Plon, 2018). C'est une façon d'expliquer l'existence du mal dans le monde, alors que Dieu est censé être bon.
Le nettoyage karmique permet d'attirer les ondes positives
Vous avez tellement de pouvoir dans votre vie pour créer de bonnes et de mauvaises expériences. La plupart des individus ont fait de mauvais choix au détriment des sentiments de quelqu'un d'autre, qu'ils ont regrettés par la suite.
Le karma familial se définit par l'ensemble des actions effectuées par votre lignée ancestrale et qui vous ont été transmises. Quand une personne porte en elle un karma important, il est probable qu'il soit transmis à la génération suivante.
En Sanskrit, la langue sacrée des hindous, « karma » signifie « agir » ou « action ». Information très importante : il s'agit d'une action désintéressée. En d'autres termes, tu fais le bien sans attendre de contrepartie ou de récompense. Dans le bouddhisme, le karma est mis en relation avec le cycle des renaissances.
Il est très efficace pour finir d'enlever ce qu'il reste de votre dette karmique. Mettez toutes vos émotions dans le fruit. Comme s'il était un aspirateur à émotion. Refermez le fruit et enterrezle dans la terre.
Le Dharma donne la loi d'existence, le Karma est la façon dont cette loi se met en marche. Il s'agit d'un principe qui va réguler les échanges. Puisque chaque action en entraîne une autre, il s'agit d'échanges. Si les échanges sont harmonieux, ils exprimeront le Dharma, c'est-à-dire la loi de la chose, le principe.
La loi du karma est un concept central dans plusieurs religions indiennes, en particulier l'hindouisme, le sikhisme, le bouddhisme et le jaïnisme. Dans ces conceptions, chaque être est responsable de son karma (de ses actes), et donc de sa sortie du Saṃsāra (cycle des réincarnations).
Comme la méditation ou le yoga, croire au karma peut aider à atteindre une sorte de sérénité. Ainsi, parmi les conseils de vie développés par le Dalaï-lama, on retrouve plusieurs préceptes comme la règle des trois R : Respect de soi, Respect des autres et Responsabilité de ses actions.
Selon cette même croyance populaire, le karma “punit” les mauvaises actions et “récompense” les bonnes. Une sorte de “l'arroseur arrosé” sous l'égide de la justice du bien et du mal. Tout ceci relève plus du fantasme que de la réalité. Et cela même si nous croyons beaucoup au dicton : “on récolte ce que l'on sème”.