Quand on ressent une blessure à l'ego, on éprouve une perte de confiance en soi ou d'estime de soi. On a l'impression qu'on ne mérite plus nécessairement l'estime d'autrui.» Évidemment, lorsqu'on vit un rejet ou un échec, les impressions sont souvent exagérées.
Il s'agit d'une blessure émotionnelle qui fait référence à une altération presque systématique de la confiance en soi et du sentiment d'être aimable (dans le sens d'être aimé). Ce qui peut donner lieu à des émotions très négatives comme de l'impuissance, de l'embarras ou de la honte.
Pour répondre à cette question, il faut d'abord comprendre la nature de l'égo. Communément parlant, on pense que l'égo c'est le fait de se sentir supérieur à un autre, ou cela peut être aussi la bonne image qu'on se fait de soi-même. L'égo a cette connotation liée à notre identité.
A quoi reconnaît-on les personnes à l'ego surdimensionné ? Laurent Schmitt. Elles ont une très haute vision d'elles-mêmes. Ce peut être une manière de surcompenser toute une série de fissures, comme le fait d'avoir été le moins aimé dans une fratrie ou d'avoir dû composer avec un handicap physique.
Il se manifeste souvent au travers de notre grand désir, bien souvent inconscient, d'imposer aux autres nos idées, nos façons de penser ou d'agir. Si l'ego est puissant, il peut empêcher un homme de raisonner intelligemment. Il devient maitre de nos actions. C'est fatigant, d'avoir trop d'ego.
La conscience de sa propre valeur n'est pas plus innée que constante. Elle se construit dans le regard de l'autre, dans ses encouragements, dans l'accueil de sa gratitude. L'Ego se nourrit de la réussite, de la victoire du Grand Soir et des petites victoires du quotidien.
On entend parfois parler d'ego surdimensionné, et on voit bien ce que cela signifie : quelqu'un qui se prend pour une personne plus importante et valeureuse que les autres, qui ramène tout à elle, quitte éventuellement à se montrer égoïste et à utiliser les autres à son profit…
Il faut dialoguer, échanger, proposer des solutions et surtout mettre en avant tous les aspects positifs qu'entraînerait un changement de comportement de la part de l'employé. Les personnes avec un fort égo ont besoin de se sentir aimé ou du moins important.
En fait, ce que l'autre rejette, ce n'est pas vous, mais la perception qu'il a de vous. Si on se définit par le regard de l'autre, c'est un symptôme de dépendance affective. Si on a l'impression de ne pas avoir de valeur parce que l'autre ne nous aime pas, c'est un manque de confiance en soi et il faut s'en occuper.
Les personnes égocentriques sont difficiles à supporter, car elles sont obsédées par elles-mêmes et ont besoin de se sentir admirées par autrui, mais en retour elles ne s'intéressent pas aux autres. Cela peut donc s'avérer incompatible avec les relations d'amour et d'amitié.
Citation motivationnelle - Quand l'ego meurt, l'âme se réveille Avec en toile de fond la lumière du jour sur le jardin de tournes.
Ne soyez pas aveuglés ni accrochés à ce que les autres peuvent accomplir, dire ou faire. Concentrez-vous sur ce que vous avez à faire pour atteindre vos objectifs. N'écoutez pas cette petite voix (votre ego somme toute) qui vous rend envieux ou vous donne des complexes, ne tombez pas dans le piège de la comparaison.
Les blessures de l'âme sont le rejet, l'abandon, l'injustice, la trahison et l'humiliation. Tout problème que vous vivez, qu'il soit d'ordre physique, relationnel, monétaire, professionnel, sexuel, d'estime de soi, etc., peut être attribué à une ou plusieurs de ces cinq blessures.
Quand elle est blessée, la femme forte regarde son partenaire droit dans les yeux et sourit. Une mauvaise décision ne signifie pas que sa vie est foutue et elle le sait très bien. Une femme forte va aller de l'avant car elle est consciente de tout ce qu'elle apporte à une relation amoureuse. Elle connaît sa valeur.
L'ego serait même "le contraire de l'amour". Il ne ressemble en rien à l'amour, cette "énergie qui nous pousse à aller vers les autres, à donner, à aimer, à comprendre, à partager, à s'associer, à s'unir, à s'unifier, à harmoniser."
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
Le trouble de la personnalité narcissique se manifeste généralement comme ceci : La personne surestime ses réalisations et s'attend à être reconnue comme supérieure, sans pour autant avoir accompli quoi que ce soit qui justifierait une telle reconnaissance.
L'ego, c'est la conscience et la représentation que j'ai de moi-même en tant que personne. C'est le « moi » en résumé. C'est la construction du « moi » qui me permet de me considérer comme un individu séparé du monde.
L'orgueil est une stratégie de l'ego, un écueil, mais ce n'est pas l'ego. Quand on dit que quelqu'un a trop d'ego, ça ne veut rien dire. En termes de psychisme et même de spiritualité, l'ego c'est la personnalité, le véhicule, donc personne ne peut avoir trop d'ego et à contrario, il est impossible de ne pas en avoir.
Quelques astuces pour faire face à un(e) égoïste
Comme le dialogue est difficile à mettre en place avec ce genre de personnalité, pensez à toujours garder votre calme, préférez un moment de détente dans un endroit neutre pour aborder avec lui (elle) le sujet et lui demander ce qu'il (elle) pense de son attitude.
“Ces personnes ont besoin de se rassurer. Et pour cela, elles cherchent à briller en société, à être vues et admirées. Il s'agit là de besoins narcissiques en somme”, poursuit-il. L'image de soi est le leitmotiv des personnes à égo surdimensionné.
Votre ego se manifeste souvent au-travers de votre autorité et de votre grand désir, bien souvent inconscient, d'imposer aux autres vos idées, vos façons de penser ou d'agir. Vous pensez que ce que vous dites ou faites est bien, que ce que dit ou fait l'autre n'est pas bien et c'est là que vous avez tort !
L'ego, c'est la conscience que chaque individu a de lui-même : il s'agit de notre perception de notre propre personnalité, de nos traits de caractère et de notre intellect. L'ego, c'est aussi le moi, le je que nous employons pour parler de nous.
Selon les philosophies orientales, l'ego est plutôt une entrave à l'éveil spirituel. C'est lui qui même s'il prend « l'apparence de noyau de notre être nous empêche d'atteindre l'essence des choses ».