Les ventes de logements dans l'ancien devraient baisser de 5 % en 2022 selon le groupe BPCE. L'impact du DPE et la hausse des taux d'intérêt devraient en effet ralentir le
Il y quelques petites baisses de prix ici ou là en 2022 et les augmentations se font de moins en moins fortes. Les taux de prêt immobilier vont encore augmenter en ce mois d'octobre et sur les derniers mois de l'année 2022.
Selon les estimations de Meilleurs Agents, une baisse de 2 % est attendue à l'horizon 2023. Le prix de l'immobilier poursuit sa flambée à Lyon. Entre septembre 2021 et 2022, il a pris +2,2 %. Une tendance qui pourrait enfin cesser à l'horizon 2023.
Du fait de l'inflation et de la hausse des taux de crédit, le marché immobilier devrait ralentir en 2023 mais pas se retourner brutalement. L'année 2022 n'est pas encore terminée et des experts immobiliers se prêtent à l'exercice le plus redouté: prévoir l'avenir, qui plus est avec des chiffres précis.
En 2022 encore, le niveau des taux de prêt immobilier devrait rester très abordable, même si une légère tendance à la hausse pourrait être enregistrée. Toutefois, les nouvelles dispositions du Haut Conseil de Sécurité Financière devraient exclure un certain nombre de candidats à l'octroi de crédit immobilier.
Les prévisions actuelles pour le premier semestre 2022 sont de 2,5 % et de 3 % sur l'année. En toute logique, les taux d'emprunt auraient dû remonter, mais ce n'est toujours pas le cas. Une bonne nouvelle pour les emprunteurs qui peuvent profiter de taux très bas pour encore quelques mois.
Si vous avez un bon crédit et que vous êtes financièrement stable, le moment peut être maintenant. Cependant, si le marché immobilier est en baisse ou si les taux d'intérêt sont élevés, il peut être préférable d'attendre. Cela peut en effet être le signe d'une crise immobilière en France à venir.
À long terme, la Banque TD demeure plus optimiste quant aux perspectives du marché du logement, car elle affirme que la croissance démographique devrait rester saine et soutenir la demande fondamentale.
France : des prix en hausse de 3 % en 2023
Plus en détails, sur le terrain des prix, le marché progresserait de 3 %. Quant aux volumes de transactions, il devrait repasser sous le million de ventes, avec 950 000 transactions sur les douze prochains mois.
Avec la remontée de l'OAT, les taux de crédit devraient avoisiner 3,5 % sur 20 ans à la fin 2022. À noter toutefois que la hausse des taux devrait mécaniquement faire baisser les prix immobiliers. De plus, la production de crédit immobilier reste vive et « profite encore de taux favorables », constate l'économiste.
Homki livre 5 raisons qui appuient l'idée que 2022 sera le moment idéal pour vendre son bien immobilier. À l'aube de 2022, le marché immobilier français reste très tendu. Les notaires ont enregistré un record de 1,998 million de transactions d'octobre 2020 à octobre 2021.
D'après une investigation menée par la Banque de France en mars 2020, la diminution des taux d'intérêt causée par le vieillissement de la population serait à l'origine de l'inflation du prix de l'immobilier à l'horizon 2030. L'investissement immobilier présente donc un réel potentiel sur le long terme.
C'est le cas de Paris et Lille depuis 2019 et 2020, mais aussi plus récemment de Lyon, Villeurbanne et de 18 villes de la région parisienne. En 2022, Bordeaux et Montpellier en feront de même.
Avril à juin. Comme mentionnée plus haut, la saison d'achat du printemps est la plus forte. Comme la plupart des familles veulent déménager, il y a une forte incitation à acheter une maison à cette période de l'année, car de nombreux acheteurs doivent prévoir 30 à 60 jours pour la clôture.
Excellent point pour les futurs investisseurs, le marché immobilier s'avère très dynamique en France. Malgré l'impact de la Covid, certaines villes voient leur attractivité décuplée. Mais encore, elles conservent des prix abordables et un potentiel locatif intéressant pour un investissement en 2022.
Le taux d'emprunt a presque doublé
Attendu par certains avec la pandémie, le prix de l'immobilier n'a finalement chuté que deux ans après son début. Cette baisse trouve son origine dans le contexte inflationniste qui change la situation économique des ménages.
Nouvelle hausse de taux en août 2022
Le baromètre des taux d'intérêts des crédits immobiliers est à l'image des températures dans l'hexagone : en hausse ! En ce début août, les courtiers font état d'une progression sensible allant de 0,10% à 0,35% selon les durées d'emprunt.
Ainsi sur les douze prochains mois (septembre 2022-septembre 2023), le marché français devrait enregistrer une hausse des prix de 3% en moyenne – avec de fortes disparités selon les territoires – et le volume de transactions tomber sous le million, à 950.000, après 1,1 million de ventes estimées pour l'année 2022.
Accalmie des prix immobiliers en 2023
Après 1,1 million de ventes estimées pour 2022, le volume devrait tomber à 950 000 unités sur les douze prochains mois, avec une progression moyenne des prix de 3%. Et derrière une moyenne nationale se cachent irrémédiablement des disparités régionales.
Des taux au plus bas
En moyenne, il est désormais possible d'obtenir un taux de 1,35 % sur 15 ans, 1,55 % sur 20 ans et 1,75 % sur 25 ans (hors assurance). De plus, ses taux favorables aux emprunteurs devraient subsister pendant plusieurs mois, car on connaît mieux les intentions de la Banque centrale européenne (BCE).
Crédit immobilier : niveau record de l'apport personnel au premier semestre 2022. Il faut désormais plus de 55 000€ d'apport personnel pour obtenir son crédit immobilier, soit 21% du prix du bien. Un record en cette période de hausse de taux d'intérêt et de progression constante des prix des logements.
Aide à l'achat : des taux de crédit intéressants
Parfois, les meilleurs profils d'emprunteurs ont des chances de se voir proposer des taux avoisinant les 0.3 points en deçà de la moyenne. Les banques, dans certains cas, sont également en mesure de faire des efforts sur les taux d'emprunt, selon les régions de France.
Alors que le nombre de logements neufs disponibles à l'achat ne cesse de croître, et que les transactions dans l'ancien sont en chute libre, les prix ne baissent pas.
En effet, en 2020, 58 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale, d'après l'Insee. Une proportion stable depuis 2010 mais qui a fortement augmenté depuis les années 80. En 1982, par exemple, seul 1 ménage sur 2 possédait son logement.