Le participe passé s'accorde toujours avec son sujet quand l'auxiliaire est "être". Le participe passé employé avec l'auxiliaire "avoir" ne s'accorde jamais avec son sujet. Il s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe.
L'outil est simple : Les mots féminins en –é désignant une chose qui ne peut pas être touchée, hors notions de temps et de périodes cycliques, ne prennent pas de « e ». On met un « e » lorsque l'objet désigné pourrait être touché (dont les contenus) ainsi que pour des notions de temps ou de périodes cycliques.
Avec l'auxiliaire 'avoir', le participe passé s'accorde normalement avec le complément d'objet direct seulement si celui-ci est placé devant le verbe. Pour retrouver le complément d'objet direct (brièvement appelé COD), il suffit de se poser la question 'qui' ou 'quoi' après l'action.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Accord du verbe avec son COD
Savoir reconnaître le COD est absolument capital dans la conjugaison car lorsqu'il est placé devant un verbe et que ce verbe porte l'auxiliaire avoir, le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son COD.
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er". On peut aussi utiliser le verbe "prendre" pour les terminaisons au féminin mais ça marche moins bien au niveau du sens.
Pour savoir si l'on écrit "er" à la fin d'un verbe, on remplace par un verbe du 3e groupe, comme VENDRE. Si on peut remplacer par VENDU, vous serez devant un participe passé en -É (à accorder ensuite selon la règle des participes). Si on peut remplacer par VENDRE, vous serez devant un infinitif en -ER.
Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir. Le verbe se met à l'infinitif après les prépositions « de », « à », « pour » et « sans ».
En grammaire on dit qu'un verbe est défectif quand il ne se conjugue pas sous toutes les formes possibles. Les verbes impersonnels sont donc aussi des verbes défectifs. Voici quelques exemples de verbes défectifs: bruire, distraire, traire, extraire, soustraire, paître.
Cette règle dite de cette façon n'est pas du tout exacte ou précise;car deux ,trois ou quatre verbes peuvent se suivre sans qu'aucun ne se mette à l'infinitif. EX;il saute, court,crie ... Ou pour exprimer le but:Il va dire au revoir à son grand-père. EX:Je sais plaisanter.
Quand 2 verbes se suivent, le 2ème se met à l'infinitif :
Une succession de 2 verbes (ou davantage) signifie que seul le 1er possède un sujet, et que le 2ème est complément du 1er (le 3ème est complément du 2ème, etc.) : ex : Il préférait se dépêcher pour éviter d'arriver en retard.
si le verbe du 3e groupe est à l'infinitif, cela signifie que le verbe du 1er groupe est lui aussi à l'infinitif et doit s'écrire –ER. si le verbe du 3e groupe est au participe passé, cela signifie que le verbe du 1er groupe est lui aussi au participe passé et doit s'écrire –É.
Pour savoir si l'on doit mettre'é', il suffit de remplacer le verbe en question par un verbe du 3e groupe. S'il se met au participe passé, on met 'é' en terminaison : Phrase que l'on veut écrire : 'Le tuyau remplac... n'est pas étanche.
1. En latin, forme verbale déclinable qui se substitue à l'infinitif dans certaines fonctions. 2. En français, forme verbale terminée par-ant et précédée de la préposition en, qui sert à décrire certaines circonstances de l'action.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
Quand utiliser l'infinitif ? L'infinitif présent doit être utilisé après un verbe conjugué ou après les prépositions à, de, sans et pour. Il peut également être utilisé en début de phrase. L'infinitif passé possède les mêmes usages, mais exprime une action ou situation antérieure.
a) Noms du genre féminin se terminant par « é » : ils expriment ou décrivent une qualité, un état : la difficulté, la facilité, la puberté… b) Noms du genre masculin d'origine grecque se terminant par « ée » : Un mausolée, un lycée, un musée, un scarabée, un trophée, un gynécée…
Ainsi les mots matelot, camelot, médecin et marin devraient, suivant les règles traditionnelles, faire au féminin matelote, camelote, médecine et marine, tous des mots qui existent en français mais qui désignent tout autre chose. En conséquence, les formes matelot, camelot, médecin et marin sont jugées épicènes.
Pour savoir si un verbe est au participe passé ou à l'infinitif, il suffit de le remplacer par un verbe du 3e groupe, comme 'vendre / prendre'. Si le verbe 'vendre ou prendre' peut rester à l'infinitif, alors le verbe du premier groupe sera à l'infinitif.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
Le participe passé se forme à partir d'un verbe. En général, il se comporte comme un adjectif qualificatif, s'accordant en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. C'est ce cas que nous abordons aujourd'hui. -l'auxiliaire être : dans ce cas il s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
sans : Le gamin traverse la rue sans faire attention. - Le verbe se met à l'infinitif après un verbe conjugué . Exemple : Le joueur veut marquer un but. Règle générale : Quand deux verbes qui se suivent, le deuxième se met à l'infinitif.
Les subordonnées complétives permettent de compléter un verbe et ont presque toujours la fonction de complément d'objet direct dans la phrase. Elles sont donc un peu spéciales car elles ne peuvent être ni déplacées, ni supprimées.
Les verbes : »Devenir, Revenir, Monter, Rester, Sortir, Venir, Aller, Naître, Descendre, Entrer, Rentrer, Tomber, Retourner, Arriver, Mourir, Partir et Passer » se conjuguent avec l'auxiliaire être au passé composé.