Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Pour bien faire la différence entre tout et tous, que l'on parle d'un adverbe, d'un adjectif ou d'un nom, une règle simple permet de ne jamais se tromper. Il faut identifier dans quel cas suivant on se trouve : Tout : masculin singulier. - Tout le vin a été bu.
Accord de tout
En tant qu'adjectif ou que pronom, tout s'accorde en genre et en nombre avec le nom ou l'adjectif auquel il se rapporte. Exceptionnellement, tout s'accorde aussi en tant qu'adverbe s'il est suivi d'un adjectif féminin qui commence par une consonne ou par un h aspiré.
Continuons maintenant avec “tout” en tant qu'adverbe. S'il accompagne un adjectif, un participe passé ou un autre adverbe, il s'agit de l'adverbe. Vous pouvez le remplacer par un autre adverbe très, entièrement, complètement ou encore vraiment. Quand il est adverbe, “tout” est invariable et s'écrira toujours “tout”.
Au féminin, on écrit « toutes les deux » et on rencontre aussi d'autres tournures comme « tous trois » ou « tous quatre ».
Faut-il mettre un s ou non au mot quatre quand on écrit les quatre ? Non, on n'en met pas, ce mot est invariable et on écrit toujours les quatre . Autres exemples : tous les quatre , toutes les quatre , pendant les quatre prochains mois , les quatre éléments , les quatre mille euros .
"tout" devant un nom est un déterminant. Il s'accorde avec le nom en genre et en nombre. EXEMPLES : Tout enfant portera un manteau (= chaque enfant). Tous les enfants porteront un manteau.
En règle générale, comme tout adverbe, tout ne s'accorde pas. Ils sont tout tristes. Mes chats sont tout mouillés. Exception : Tout s'accorde au féminin et au féminin pluriel quand il est suivi d'un mot commençant par une consonne ou un h aspiré (honteux, handicapé, haineux, etc.)
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
La réponse simple
On écrit « tous les deux ».
«Touts» prend le sens de «plusieurs ensembles». Un «tout» étant un ensemble, il peut donc y avoir plusieurs ensembles. On écrira alors des «touts»! La preuve avec Jules Romains: «(Il) avait envie de penser à lui-même et à son existence comme à des touts.»
« Quand on aime, on ne trompe pas. Si tu as pu me tromper, je ne peux pas te pardonner. »
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
les bisous tout doux les bisous câlins.
Au sens de « chaque jour », on écrira toujours « tous les jours » avec un « s » car « les jours » est un groupe nominal au pluriel. C'est la règle pour différencier l'usage de « tout » et de « tous ». Astuce : On écrit « tous » avec un « s » lorsqu'il est suivi d'un pluriel.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
« Sept », adjectif numéral cardinal, est invariable, même lorsqu'il est employé comme nom. C'est le cas ici. On n'écrit donc pas « trois septs de pique », mais « trois sept de pique ».
Dizaine, centaine, millier, million, milliard, billion (etc.) prennent un -s au pluriel car ce sont des noms. Zéro, utilisé comme un nom (c'est-à-dire avec un des/les devant), prend un -s au pluriel. Remarque : cent et vingt suivent des règles particulières.
« Huit » (de même que « quatre », « sept », « seize », etc.) exprime un pluriel, il est donc logique de mettre un « s » au nom qui le suit, même s'il s'agit d'une heure. « Il est huit heures et dix minutes. »
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Tu devrais écrire : Voici les livres que j'ai achetés. Aucune. Le A serait la bonne proposition si l orthographe de " acheté" était bien écrit.
Quand le verbe est employé aux temps composés, la place du COD détermine l'accord ou non du participe passé. Dans les exemples suivants, le participe passé s'accorde avec le COD (nom féminin singulier) car celui-ci est placé avant le verbe. Maxime a mangé une pomme. – La pomme que Maxime a mangée.
Pour être de bons maris et afin que leur mariage dure, ils estiment devoir tromper leur femme.