Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ]. - poisson, casser, coussin, etc.
Dans tous les cas, quand on voit ss écrit dans un mot, on entend le son [s]. On double le s quand il est entre deux voyelles pour obtenir le son [s]. Quand la lettre s est entre deux voyelles : a, e, i, o ou u, on entend le son [z] .
La règle : - Entre une voyelle et une consonne, la lettre « s » se prononce [s]. Exemples : un escargot, une veste, …………………………………………………………………..……………… - Entre 2 voyelles, la lettre « s » se prononce [z]. - Entre 2 voyelles, il faut mettre 2 s (« ss ») pour obtenir le son [s].
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
« C' » et « S' » sont des homophones : ils se prononcent de la même manière, mais s'écrivent différemment. « C' » peut toujours être remplacé par « cela ». « S' » est la forme contractée de « se ». Si on transforme la phrase avec le sujet « je » ou « tu », il devient « m' » ou « t' ».
- deux 's' entre deux voyelles se prononcent 's'; - 'c' suivi de 'a, o, u' se prononce 'k'; - 'c' suivi de 'e, i, y' se prononce 's'; - 'ç' suivi de 'a, o, u' se prononce 's'.
La lettre c peut faire [k] ou [s]. Si elle est placée devant les voyelles a, o et u, elle produit le son [k] (exemples : canard, confiture, curieux). Devant ces mêmes voyelles, il faut mettre une cédille pour obtenir le son [s] (exemples : agaçant, garçon, déçu).
Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
On écrit « s'est » devant un verbe. Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Le cas où suivant ne s'accorde pas
La difficulté, c'est que le mot suivant n'est pas seulement un adjectif. C'est plus rare, mais il peut aussi être le participe présent du verbe suivre . Il est alors suivi d'un complément : suivant les informations publiées . Dans ce cas, il reste invariable.
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Placé en fin de mot, s ne se prononce pas, sauf dans quelques mots comme as, oasis. À l'initiale, dans le corps d'un mot, lorsqu'il est soit redoublé, soit précédé ou suivi d'une consonne, ou encore à la fin d'un mot lorsqu'il se fait entendre, s se prononce « ss », comme dans sang, cession, rester, autobus.
Même chose quand le sujet du verbe est un nom féminin singulier, comme dans la rentrée s'est bien passée , la réunion s'est bien passée , la reprise s'est bien passée .
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On écrit donc repose-toi bien , sans s à repose . C'est au présent de l'indicatif que le verbe (se) reposer prend un s , quand il est conjugué avec tu : tu te reposes .
Exemple : C'était aussi mon cahier de l'année dernière (mon = déterminant possessif, cahier = nom masculin). Tandis que, dans une phrase « s'était » est précédé d'un participe passé, ou d'un adjectif qualificatif. Cet homophone ne peut être utilisé qu'avec la troisième personne du singulier.
La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
La lettre 'G' se lit G devant a, o, u, donc ga, go, gu, gou, gan, ........ Devant e, i, y, elle se lit (J) donc ge, gi, gy,...
Graphies g et gu
La graphie g représente le son [g] devant un a, un o ou un u : gare, gomme, guttural… La graphie gu représente le son [g] devant un e, un i ou un y : fatigue, guirlande, Guy…
Le son « ch » est prononcé « ch » dans la plupart des mots français tels que : Charade- écharpe- avalanche- chaloupe- chien… Il est parfois prononcé « k » dans des mots dont la plupart sont d'origine grecque tels que : chorégraphie- chromer- chronologie– chorée- archétype – archange- manichéen- orchidée- orchestre…