Supposition que le chiffrement assure l'intégrité ; Clefs asymétriques trop petites ; Générateurs de nombres aléatoires non sûrs ; La « soupe cryptographique ».
La confidentialité : s'assurer que seul le destinataire puisse lire le message en le rendant illisible par d'autres. L'authenticité : s'assurer que le message provient bien de l'expéditeur par une signature vérifiable. L'intégrité : s'assurer que le message n'a pas été modifié depuis son envoi.
La confidentialité est la propriété qui assure que l'information est rendu inintelligible aux individus, entités, et processus non autorisés.
Quels sont les 4 grands principes en cryptographie ? Pour assurer ces usages, il existe quatre fonctions principales : le hachage avec ou sans clé, la signature numérique et le chiffrement.
L'inconvénient est que la clé secrète doit être partagée avec le destinataire. Dans le cas du PEM, la clé secrète est chiffrée avec le mot de passe de l'utilisateur. Ainsi, il suffit de s'assurer que le mot de passe n'est pas facile à deviner.
Pour définir en quelques mots la cryptographie symétrique, il s'agit de "la technique du mot de passe". Concrètement, pour sécuriser une donnée, celle-ci va être chiffrée par un code. Ce code correspond donc à votre mot de passe et permet de crypter et décrypter un message.
Le problème du chiffrement à clé secrète (chiffrement symétrique) réside dans l'échange de clé. La clé secrète doit parvenir au destinataire et l'acheminement est complexe, fastidieux et peu sécurisé.
Le chiffrement RSA est considéré comme l'une des procédures de clé publique les plus sûres et les mieux décrites. L'idée de chiffrer en utilisant une clé de chiffrement publique et une clé de déchiffrement secrète est basée sur les cryptologues Whitfield Diffie et Martin Hellman.
Les méthodes les plus connues sont le DES, le Triple DES et l'AES pour le chiffrement symétrique, et le RSA pour le chiffrement asymétrique, aussi appelé chiffrement à clé publique.
La cryptographie symétrique, aussi appelée cryptographie à clef secrète, désigne l'une des trois façons de chiffrer un message (et, plus généralement, de l'information). Les deux autres grands types de cryptographie sont la cryptographie asymétrique (dite à clef publique) et la cryptographie hybride.
Ces quatre critères sont : la confidentialité, l'intégrité, la disponibilité et la traçabilité. Ces critères concernent des caractéristiques que le propriétaire ou le gestionnaire de l'information veut voir réalisées afin de s'assurer que la sécurité est au rendez-vous.
Les deux principaux moyens de garantir la confidentialité sont le chiffrement et le contrôle d'accès.
La signature digitale est un mécanisme cryptographique qui permet d'assurer la non répudiation de l'origine.
La cryptographie asymétrique est également utilisée pour assurer l'authenticité d'un message. L'empreinte du message est chiffrée à l'aide de la clé privée et est jointe au message. Les destinataires déchiffrent ensuite le cryptogramme à l'aide de la clé publique et retrouvent normalement l'empreinte.
Le principal objectif du chiffrement consiste à garantir la confidentialité des données numériques stockées sur des systèmes informatiques ou transmises via Internet ou d'autres réseaux.
En général, la cryptographie est une technique d'écriture où un message chiffré est écrit à l'aide de codes secrets ou de clés de chiffrement. La cryptographie est principalement utilisée pour protéger un message considéré comme confidentiel.
Le protocole sécurisé de cryptage est un moyen sûr de transmettre des renseignements personnels de votre ordinateur à IRCC. Ce protocole utilise le cryptage pour accroître la sécurité des renseignements transmis par Internet.
Le mot cryptographie est un terme générique désignant l'ensemble des techniques permettant de chiffrer des messages, c'est-à-d permettant de les rendre inintelligibles sans une action spécifique.
En cryptographie classique, le chiffrement est symétrique, émetteur du message en clair et récepteur ont besoin initialement de partager un même secret, la « clé », un mot, une phrase et dans le cas des systèmes à dictionnaire, celui-ci.
Symétrique par le fait d'utiliser une clé identique avec le même algorithme de chiffrement pour le chiffrement et le déchiffrement. Asymétrique par le fait d'utiliser une clé pour chiffrer (clé publique) et une autre clé pour déchiffrer (clé privée) avec le même algorithme de chiffrement.
Le principal problème de cette méthode de chiffrement concerne la distribution des clés. En effet, si la même clé est utilisée par plus de 2 personnes,elle doit être abandonnée lorsqu'une copie est interceptée. Elle ne peut pas être authentifiée car elle est connue de plus d'une personne.
RSA (chiffrement et signature); DSA (signature); Protocole d'échange de clés Diffie-Hellman (échange de clé); et d'autres ; voir cette liste plus complète d'algorithmes de cryptographie asymétrique.
Les fonctions de hachage sont utilisées en informatique et en cryptographie notamment pour reconnaître rapidement des fichiers ou des mots de passe.
Clé de chiffrement symétrique et asymétrique
Il existe deux principaux types de clé de chiffrement. Une clé peut être symétrique ou asymétrique. En réalité, il s'agit là encore d'un abus de langage, puisque c'est plutôt le chiffrement lui-même qui est symétrique ou asymétrique, mais le terme est très utilisé.
Le chiffrement RSA est asymétrique : il utilise une paire de clés (des nombres entiers) composée d'une clé publique pour chiffrer et d'une clé privée pour déchiffrer des données confidentielles.