La syllogomanie est souvent confondue avec un autre trouble du comportement : le syndrome de Diogène. Peu connue, elle consiste à accumuler des objets, sans pour autant les utiliser. Les personnes souffrant de ce trouble ont du mal à se séparer de ces objets accumulés.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
Le syndrome de Diogène a été décrit en 1975 par Clark pour caractériser, chez la personne âgée, un trouble du comportement associant une négligence extrême de l'hygiène corporelle et domestique ainsi qu'une syllogomanie (accumulation d'objets hétéroclites) qui conduisent à des conditions de vie insalubres.
Une personnalité "hubristique" est particulièrement courante chez les chefs de gouvernement. En psychanalyse, on parle de "syndrome d'hubris" lorsqu'une personne fait preuve de "narcissisme, d'arrogance, de prétention, d'égotisme, voire de manipulation, de mensonge et de mépris" en réaction à son pouvoir.
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
L'incurie : Le syndrome de Diogène se définit aussi par l'absence de soins et la négligence de soit même. En effet, l'individu atteint ne ressentira pas la nécessité de prendre soin de son être, tant en matière d'hygiène que de présentation. Il n'éprouvera par ailleurs, ni gêne ni honte quant à son état.
des troubles cognitifs, liés à la déshydratation, la dénutrition, la fatigue et la dépression. l'opposition aux soins, avec parfois de l'agressivité. un repli sur soi progressif allant vers une disparition complète de la communication.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
Devenir fou, c'est perdre le contrôle, se sentir débordé par une forte inquiétude pour les siens, pour soi-même à ne plus en dormir. L'important c'est d'arrêter la machine à temps.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
Ce trouble peut toucher aussi les personnes âgées qui viennent de vivre un deuil (perte d'un conjoint de longue date, par exemple.) Chez presque tout le monde, le syndrome apparaît après un choc émotionnel important ou trouve sa source dans l'enfance.
Il n'y a pas de remède pour anéantir cette pathologie mais un suivi psychologique adapté à la personne pourra l'aider à ne pas rechuter dans cette incurie.
Ce changement de caractère peut aussi être lié à des peurs comme la peur de l'abandon, la peur de la mort, de la maladie. Vieillir est une crainte pour de nombreuses personnes.
En fin de vie, la perte de force musculaire fait en sorte que la personne peut dormir les paupières entrouvertes, et avoir la mâchoire tombante. Les yeux sont vitreux et larmoyants.
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
Les symptômes les plus fréquents sont : Modifications dans les perceptions : hallucinations auditives et visuelles ; Modifications dans la pensée et les croyances : délire, propos incohérents ; Modifications du comportement : désorganisation, bizarrerie.
Elle débute par des symptômes atténués, souvent peu spécifiques, associés à des difficultés cognitives. Ces symptômes annonciateurs, ou « prodromiques », correspondent à un état mental à risque d'évolution vers un trouble psychotique.
La schizophrénie débute le plus souvent à la fin de l'adolescence et entre 20 et 30 ans, et généralement plus tôt chez les hommes que chez les femmes.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
(Nécrose avasculaire ; Nécrose aseptique ; Nécrose ischémique de l'os) L'ostéonécrose est la mort d'un segment de l'os causée par un déficit d'apport sanguin. Elle peut être causée par une lésion ou survenir spontanément.
Cela n'a pas sauté aux yeux dimanche, lors de son succès face à Casper Ruud en finale de Roland-Garros, mais Rafael Nadal souffre bien d'une maladie irréversible depuis ses 18 ans. La star du tennis subit le syndrome de Müller-Weiss touche.